22 mai 2015

72 SACRIFICATEURS ET ROIS

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS :

72
SACRIFICATEURS ET ROIS

INTRODUCTION

A Jérusalem le Temple avec le Saint des Saints est occupé par le Dôme du Rocher et la Mosquée Al Aqsa et le tombeau du Roi David par une église sur le Mont Sion !
Il s’agit d’un paradoxe révélateur.

Le paradoxe prophétique lié au Temple et au Tombeau du Roi David

L’Islam est avant tout une religion dont on ne peut séparer l’aspect politique et terrestre. Il n’acceptera jamais d’être séparé de la notion de territorialité - espace à conquérir où seule la soumission à la religion musulmane peut être tolérée. Là où l’Islam est majoritaire, l’Etat finit toujours par devenir un état islamique avec les intolérances que l’on connaît.
Le Christianisme même s’il ressemblait politiquement à l’Islam au Moyen-Age a fini par se spiritualiser de par une influence helléniste païenne et philosophique.
Il se trouve que le lieu le plus « spirituel » de Jérusalem est occupé par la religion la plus « terrestre et politique », l’Islam, qui veut régner sur le monde.
Il se trouve que le lieu traditionnellement le plus « politique » de Jérusalem, le tombeau du Roi David est occupé par le christianisme qui veut être spirituel, c’est-à-dire accéder au Saint des Saints.
C’est là qu’il y ce paradoxe prophétique lié au Temple et au Tombeau du roi David.
Cela devrait en fait être l’inverse pour pouvoir éventuellement justifier une théologie du remplacement ou de la substitution excluant Israël pour infidélité du plan et de l’actualité de Dieu. Pour les uns c’est l’Eglise le Peuple élu de Dieu, pour les autres ce sont les musulmans le Peuple élu de Dieu. Il s’agit d’une doctrine que l’on retrouve tant dans l’islamisme que le catholicisme romain et une partie du protestantisme notamment luthérien. Les évangéliques en sont fort heureusement largement revenus notamment depuis 1948.
Ismaël (arabes musulmans) et Esaü – Edom (Occident romain – chrétien) sont comme « par hasard » de nouveau au rendez-vous, mais de façon illogique ou inversée !

Cette inversion tend à prouver que les promesses relatives au Temple avec sa dimension spirituelle de sacrificature et à la Terre d’Israël dont le Tombeau de David avec sa dimension politique de règne davidique reviendront, selon les promesses immuables de Dieu, finalement au Peuple Juif. La réalisation de ces promesses divines sera un indicateur certain vers un rétablissement de l’équilibre perdu.
Israël porte fondamentalement en lui un équilibre « existentiel » salvateur au titre de l’élection immuable et nous aidera à retrouver nos marques et donc notre équilibre en tant que chrétiens authentiques.
L’Islam a remplacé Yahvé par Allah qui est en réalité l’Ennemi : les faits historiques et actuels sont plus que probants (cf. aussi écrit « Le Seigneur au masculin et au féminin » pour un argumentaire théologique de fond). L’Islam est politique et conquérant ou n’est pas. Il est considéré en général comme une religion fondamentalement terrestre d’asservissement et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle les musulmans ne tolèrent pas que le petit bout de Terre d’Israël ne soit pas terre musulmane. Cette terre, d’après eux, revient à Ismaël et non à Isaac. Quelles réactions énormes musulmanes mais probablement aussi mondiales surgiront quand la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher seront remplacés par le Temple !
Leur « salut du corps » passe par l’utérus de service de la femme et leur domination terrestre politique totalitaire universaliste. L’homme musulman se met à la place de Dieu et veut tout se soumettre, fut-ce par la violence. Il veut par exemple « venger » Allah, comme si Allah n’en était pas capable par lui-même, et tout lui soumettre. Il n’hésite pas à frapper la femme et lui impose une prison vestimentaire pour la soumettre.
Le Christianisme a fort heureusement gardé Yahvé en Jésus-Christ et la Trinité mais s’est détaché de ses racines vétérotestamentaires fondamentales au profit d’une théologie romano-hellénistique idolâtre apparaissent très clairement dans le catholicisme romain (mariologie, saints, images d’une part et d’autre part idoles païennes ; sacrifice de la messe, prêtrise et papisme d’une part et d’autre part sacrifices d’animaux aux idoles par des prêtres païens etc…) et les aspects libertaires romano-hellénistique d’adaptation à la société du moment notamment dans le protestantisme libéral (cf. mariages homosexuels ; avortements etc…).
Ces deux aspects du Christianisme mènent à leur manière à l’enseignement exclusif du salut intérieur car la superstition, la magie et l’idolâtrie ont surtout des dimensions invisibles, cachées et de mystère. Le salut exclusivement intérieur s’adapte par ailleurs à la réalité espace-matière-temps, soit disant scientifique donc indiscutable parce que perceptible par les cinq sens : on ne croit que ce que l’on voit et le religieux, s’il existe encore, est cantonné dans le spirituel invisible et privé (cf. laïcité). C’est donc « réaliste » ! Il s’agit pourtant d’un déséquilibre évident menant irrémédiablement à la chute et au désastre.
Comment retrouver cet équilibre qui nous apparaît fondamental entre le spirituel et le terrestre, la sacrificature et le règne sur terre, le grand sacrificateur et le roi, le salut de l’âme, de l’esprit et le salut du corps, le ciel et la terre ?      

Les échecs liés à la sacrificature et au règne sur terre.

David dit en 1 Chroniques 28 :3 : «Mais Dieu m’a dit : tu ne bâtiras pas une maison à mon nom, car tu es un homme de guerre et tu as versé du sang ».
Quelle souffrance pour ce roi qui avait écrit des Psaumes d’une spiritualité exceptionnelle et qui était malgré tout selon le cœur de Dieu (Actes 13 :22). Le roi David n’avait pas le droit de construire le Temple parce qu’il avait versé du sang ! Quelle rupture entre la terre d’Israël quasiment conquise et le Temple dans le cœur de David ! Quelle rupture entre le règne et la sacrificature !
L’Eglise en position de dominance politique et terrestre durant des siècles a versé énormément de sang au nom de la royauté et de la sacrificature papistes et autres. Quand elle a perdu cette position, elle s’est énormément spiritualisée, « privatisée », intériorisée en ne gardant pratiquement que la sacrificature. C’est ainsi qu’est née la laïcité présentée comme un idéal séparant de fait la sacrificature du règne.
L’Eglise affaiblie au niveau de la sacrificature n’étant que peu présente dans le domaine du règne a créé un vide, un appel d’air : les nazis et les communistes (« règnes totalitaires » et « spiritualité idéologique meurtrière») ont opéré leurs dégâts terribles. Aujourd’hui cela ne tiendra pas davantage car le vide risque d’être à nouveau rempli par le règne islamique totalitaire et sa sacrificature théologique erronée. Comme Allah est l’Ennemi, le sang coule et coulera très abondamment comme probablement jamais. Nous retrouvons d’ailleurs une sorte de sacrifices humains de type païen des « mécréants ».
Il y a longtemps déjà, l’Eglise, qui n’a pas régné parce que très faible dans le bassin méditerranéen au 6ème, 7ème siècle, avait de la sorte déjà créé ce même vide et y laissa la place à l’Islam. Seul le « règne » totalitaire de l’Eglise du Moyen-Age put contenir partiellement cette poussée islamique mais nous constatons aujourd’hui que ce n’était que provisoire.

Le Peuple Juif actuel de retour en Terre d’Israël règne partiellement sur le Pays promis. Pourquoi partiellement ? D’abord, il n’a pas récupéré l’ensemble de la terre promise par Dieu à Abraham, ensuite une église se trouve sur le tombeau de David symbole national par excellence. Il n’exerce pas davantage la sacrificature puisque l’espace du Temple est occupé par l’Islam. La fonction capitale du Grand Prêtre ne peut donc être exercée.
Mais comme nous l’avons écrit, ce Peuple exercera à un  moment donné la sacrificature et le règne parce que c’est écrit et promis. La Terre promise lui sera intégralement restituée et le Temple reconstruit. Nous savons que le Peuple élu sera de plus en plus l’indicateur certain et visible du plan de Dieu. Déjà le « règne » partiel sur sa terre est un signe précurseur évident et donc une indication de premier ordre !
La « solution finale » se révèlera être non pas celle de ceux qui ont voulu ou veulent exterminer ce Peuple mais la Révélation ou l’Apocalypse du Messie attendu : le Seigneur Jésus-Christ Glorifié seul véritable Sacrificateur – Victime expiatoire et Roi des rois qu’ils reconnaîtront !

L’Eglise des Vainqueurs est caractérisée à la fois par la sacrificature et le règne sur terre.

«… tu (Agneau) as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, langue et peuple, tu fis d’eux pour notre Dieu un royaume et des sacrificateurs et ils règneront sur terre. » (Apocalypse 5 :10).

Là il s’agit du cantique nouveau chanté à l’occasion de l’accession de l’Agneau sur le Trône.
Nous y retrouvons un « royaume pour Dieu » (=Eglise des Vainqueurs) composé de personnes étant sacrificateurs puis régnants sur terre. Ces deux aspects sont absolument indissociables !
Parallèlement à ces deux aspects, l’être intérieur (esprit-âme – sacrificature, Saint des Saints) de l’homme est tout aussi indissociable de son être extérieur (corps - règne). Les séparer signifie ni plus ni moins la mort ! Ne pas les séparer signifie l’immortalité.

Dans notre passage biblique l’Eglise des Vainqueurs comme sacrificateurs se retrouvera métamorphosée devant le Trône dans l’adoration, la louange, le chant. La description d’Apocalypse 14 :1-5 est à ce titre saisissante et démontre quelle sera l’implication prioritaire et parfaite d’Israël (cf. Apocalypse 7 :4-8) dans le rôle de la sacrificature de l’Eglise des Vainqueurs. Rappelons à ce titre qu’il s’agit de sacrifier notre corps dans le Feu divin pour qu’il soit débarrassé de sa chair ou métamorphosé, ou transfiguré (Romains 12 :1).

L’Eglise des Vainqueurs à partir de la sacrificature, du Saint des Saints, d’une relation parfaite avec Dieu, sera rendue capable de combattre et puis de régner !
Si le texte biblique et 2000 ans d’histoire de l’Eglise avec environ 4000 ans d’histoire d’Israël avec ses échecs cuisants par rapport à l’exercice indispensable, indissociable et parfait à la fois de la sacrificature puis du règne ne nous ont pas convaincus d’entrer préalablement dans la sacrificature du ciel devant le Trône de Dieu alors que dire de plus ?
Le texte de l’Apocalypse relatif aux combats de l’Eglise des Vainqueurs est clair (Apocalypse 6 :2 ; 12 :11 ; 17 :14 ; 19 :14). Ces combats préalables au règne sont indispensables. Il faut que l’Ennemi soit éjecté des lieux célestes (Apocalypse 12 :7-9) puis de la terre (Apocalypse 20 :1-4+10). Cela ne se fera pas sans l’Eglise des Vainqueurs ou les « générations de l’éternité » sinon ce serait déjà fait et cela se saurait… !
 Le Sang de l’Agneau (Feu du Corps de Jésus Glorifié) et la Parole du témoignage (épée de l’Esprit Apocalypse 12 : 11 ; Ephésiens 6 :17) ainsi que l’armure, les armes et le revêtement du sacrificateur combattant (Ephésiens 6 :11-17 ; Apocalypse 3 :18 ; 6 :2) sont indispensables. La fécondation de l’Epouse par l’Epoux sur le Trône l’est tout autant. On reçoit tout cela dans la Salle du Trône et uniquement dans la Salle du Trône.
Bien entendu Jésus en tant que Grand Sacrificateur et Roi, est le garant de la victoire gagnée d’avance,  mais il faut qu’avec Lui et à Sa suite les batailles soient aussi menées par l’Eglise des Vainqueurs, elle-même préalablement devenue sacrificateurs et rois, c’est-à-dire COMME LUI : « Ils (ennemis) combattront l’Agneau et l’Agneau les vaincra, car Il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois et AVEC Lui les appelés, les élus et les fidèles vaincront aussi. » (Apocalypse 17 :14). Nous voyons dans ce passage que Jésus a parfaitement été le Grand Sacrificateur - Victime expiatoire - Agneau et parfaitement le Roi. Il n’a pas versé le sang des autres comme les personnes ou groupes de personnes évoqués dans le paragraphe précédent mais a versé Son propre Sang pour nous ! Parce qu’Il a fait cela notre transfiguration devient possible pour que nous puissions dans Son Feu et Sa Gloire devenir parfaitement comme Lui à savoir sacrificateurs, combattants puis rois, c’est-à-dire Son Epouse semblable à Lui !!!
Enfin vient le règne sur terre et dans le ciel jusque dans l’éternité en passant par le Millénium. Là le texte de l’Apocalypse est tout aussi clair : Apocalypse 2 : 26 ; 3 : 11 ; 5 :10 ; 12 : 5b ; 20 : 4ass ; 22 : 5.

Conclusion

L’erreur fondamentale de l’Eglise d’abord, aura été d’essayer de faire le travail de sacrificature, de combats et de règne à partir de conditions et d’un contexte terrestre et corporel déchu, vulnérable et mortel avec évidemment les résultats désastreux que l’on connaît, alors que Jésus-Christ Glorifié voulait et veut toujours que cela se fasse à partir de conditions et d’un contexte céleste et corporel glorifié et immortel avec les résultats glorieux promis que l’on connaît entre autres par le texte de l’Apocalypse ! Dieu ne nous demande pas de communiquer et de transmettre ce que nous ne sommes pas et ce que nous ne connaissons pas réellement. Si on y réfléchit, cela paraît tellement évident et logique !
C’est vraiment pour cela que le Père par amour a donné Son Fils unique pour que nous ne périssions pas mais que nous ayons la vie réellement et dès à présent éternelle !
        En Jésus,  Martin BUSCH

19 mai 2015

REFLEXION: Vivre à partir de la victoire de Jésus 1

250 NE TRANSPIREZ PAS, RESTEZ DANS LE REPOS !


250 
NE TRANSPIREZ PAS, RESTEZ DANS LE REPOS !



Ruth 3 :18

18 Et Naomi dit : Sois tranquille, ma fille, jusqu’à ce que tu saches comment finira la chose, car cet homme ne se donnera point de repos qu’il n’ait terminé cette affaire aujourd’hui.


Dieu ne veut pas que vous « transpiriez ». Transpirer ici ne fait pas référence à votre transpiration corporelle, mais à la confiance en vous-même ou en vos propres efforts. Dieu ne veut pas que vous croyiez que si vous ne faites rien, rien ne se passera. C’est peut être vrai pour quelqu’un sans Dieu dans sa vie, mais ce n’est pas vrai pour vous, parce que vous avez Dieu. Et quand Il est dans le coup, le fait qu’Il soit là change tout !

Quand vous vous reposez en Dieu, Il travaille pour vous. En fait, quand Il travaille, vous finissez avec plus. Il est Celui qui vous donne. Il ne s’agit pas de vous, essayant de vous donner à vous-même.

C’est ce qui est arrivé à Ruth dans l’Ancien Testament. Après avoir travaillé durement dans les champs d’orge depuis le matin jusqu’au soir, elle a pu glaner un épha d’orge (Ruth 2 :17) ce qui est l’équivalent d’une provision de 10 jours d’orge. Certainement que cette quantité était une bénédiction pour elle.

Mais quand elle s’est reposée aux pieds de Boaz, son parent ayant le droit de rachat, elle a reçu 6 épha d’orge (Ruth 3 :15) ce qui est l’équivalent de 60 jours de provision ! Quand Ruth a cherché sa propre bénédiction, elle n’a obtenu qu’un épha. Mais quand elle a cherché Celui qui bénit, elle a reçu beaucoup plus.

La bénédiction de Ruth ne s’est pas arrêtée là. Pendant que Ruth se reposait et restait tranquille, comme sa belle-mère lui en avait donné l’instruction, Boaz, qui était le propriétaire du champ d’orge, est allé travailler, a entrepris des actions, les a exécutées et a parlé en faveur de Ruth. Pendant ce temps-là, Ruth était assise tranquillement, et se reposait. Finalement, Boaz  a épousé Ruth. (Ruth 4) Ce qui signifie, qu’elle ne possédait  plus seulement six épha, mais la production totale de tout le champ d’orge !

Boaz est une représentation de Jésus, notre parent céleste ayant le droit de rachat. Quand nous nous reposons dans le Seigneur, Il ne se repose pas. Il travaille pour nous. Alors qu’est-ce que nous devons faire ? Nous devons simplement Lui faire confiance, et profiter de Son amour pour nous.

Bien aimé, arrêtez de vous battre, et restez dans le repos. Si le salut, qui est la plus grande bénédiction, est venu à nous pendant que nous nous reposions sur le tout-accompli de Jésus, combien plus toutes les autres bénédictions viendront-elles à nous de cette façon !




Pasteur Joseph Prince

249 VENU AU MONDE POUR MOURIR, AFIN QUE VOUS PUISSIEZ VIVRE

249 
VENU AU MONDE  POUR MOURIR, 
AFIN QUE VOUS PUISSIEZ VIVRE



Luc 2 :12

12 Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. (dans une mangeoire : version anglaise)


L’histoire de la naissance de Jésus à Bethlehem, vous est probablement familière. La Bible dit : « Quand  le temps où Marie devait accoucher arriva, elle enfanta son fils premier-né. Elle l’emmaillota, et le coucha dans une crèche (mangeoire) ». (Luc 2 :6-7). Mais ne vous êtes-vous jamais demandé, pourquoi l’ange a dit aux bergers que le bébé emmailloté et couché dans une mangeoire serait un « signe » ?

Une mangeoire est en fait une auge dans laquelle on  nourrit le bétail. Est-ce que vous savez à quoi cette auge ressemblait à cette époque ? J’ai vu la même dans les écuries de Salomon à Méguido, en Israël. C’est en fait un grand bloc de pierre rectangulaire, dans lequel l’auge est taillée. Donc, le bébé Jésus emmailloté, a été mis dans une mangeoire en pierre comme celle-ci.

Mais pourquoi cela était-il un signe ? Parce que si vous voyez le tombeau vide de Jésus qui se trouve dans le jardin du tombeau à Jérusalem, vous pouvez remarquer que l’endroit où Son corps a été mis, dans un tombeau taillé dans le roc, ressemble à une mangeoire en pierre. La Bible dit, qu’après la crucifixion et  la mort de Jésus, Joseph d’Arimathée a pris le corps de Jésus, l’a enveloppé dans un linceul et l’a placé dans un tombeau en pierre. (Marc 15 :43-46)

Voyez-vous la similitude ? Emmailloté et mis dans une mangeoire, le bébé Jésus allait être un jour enveloppé dans un linceul, et mis dans un tombeau. C’est là le signe auquel l’ange faisait allusion. Il montrait la mort de Jésus.

Jésus a été le seul enfant dans toute l’humanité, à naître pour mourir. Une fois que vous avez réalisé cela, vous réalisez combien Dieu vous aime. Vous réalisez qu’Il a abandonné Son Fils dans ce seul  but, et que Son Fils est venu seulement pour cette raison : mourir pour vos péchés et les miens.

Bien-aimé, est-ce que vous pouvez vous imaginer vivant votre vie, en sachant que vous êtes juste en train de vous préparer à mourir sur la croix pour sauver le monde ? C’est la vie que Jésus a vécue. Il a vécu pour mourir, afin que nous puissions vivre et jouir de la vie en abondance aujourd’hui !




Pasteur Joseph Prince

30 Quoi 2 - 9 sur le Net ? N°30

30

Quoi 2 - 9 sur le Net ? 

           
Gérard et Priscille VESSIERE                                 Bulletin N° 30

Une histoire vraie… à méditer !

"Afin que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté !"  Colossiens 1.9
Juillet 2008, Josiane vient me trouver lors de la réunion de prière. C’est une femme d’affaires en retraite active ; elle doit vendre un bien immobilier important qu’elle possède ; mais voilà, c’est la crise et les choses stagnent. "Peux-tu prier pour moi, Samuel ?" "Bien entendu et même, dans la discrétion, nous allons demander à l’église de prier avec toi" ! Je ne vois pas trop quoi d’autre à lui dire, si ce n’est que, dans le monde de Dieu, la crise immobilière n’existe pas ! 

D’un coup Josiane comprend tout de la bonté de Dieu pour elle...

Septembre 2009, Josiane ne m’a jamais reparlé de cette affaire, ni moi non plus d’ailleurs ; mais c’est le statu quo ; aucun acheteur en vue ! Elle a besoin de cet argent pour vivre, désormais ! Elle a déjà son plan, bien préparé ; cet argent, elle en donnera une part pour son Dieu ; une partie pour ses enfants et le reste, elle va le placer dans une banque au Luxembourg, la "B.L…", mais pour cela, elle doit au moins avoir un client, et là, rien !

Il est quatre heures ce matin, quand, soucieuse, Josiane se lève pour prier à nouveau et dire au Seigneur tout ce qu’elle pense ; et ce qu’elle pense n’est pas tendre à l’endroit de son Seigneur ; je résume : "Pourquoi me laisses-tu tomber ; je te fais confiance et rien ; pas une réponse, pas un signe ; je ne te comprends plus du tout Seigneur !" Elle se relève, le cœur gros, et avant d’aller prendre son café, allume machinalement sa radio ; Europe 1 à quatre heures trente du matin, le thème de l’émission : "La crise" !


Une dame de soixante-neuf ans, l’âge de Josiane, est au téléphone et veut témoigner de ce qui vient de lui arriver ; cette personne s’appelle Josiane, elle aussi ; du coup l’attention de notre amie est plus soutenue ! Et là, la dame explique son cas au journaliste et aux auditeurs à l’écoute : "Voilà, j’ai vendu un bien immobilier il y a un an, une sommes très importante (plusieurs centaines de milliers d’euros) et j’ai tout placé dans une banque au Luxembourg, la "B.L…" et aujourd’hui je suis ruinée, totalement ruinée, plus un sou !"

D’un coup Josiane comprend tout de la bonté de Dieu pour elle ; même prénom, même âge, même projet, même banque au Luxembourg, mais une si grande différence, d’un côté pas de Dieu, pas de prière et la ruine au bout ; de l’autre, des questions, de la révolte, de l’incompréhension, mais aujourd’hui notre Josiane a vendu son bien immobilier et elle n’a rien perdu de ce qui lui est nécessaire pour vivre !

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, je ne comprends pas le chemin que tu me fais prendre, mais je décide de te faire totalement confiance. Au nom de Jésus j’ai prié. Amen.
Source : Samuel Foucart

Que Dieu vous bénisse

Pour tous ceux qui possèdent Internet, quelques sites à visiter :

Rendez-vous sur le site : http://www.jesustheme.com


29 Quoi 2 - 9 sur le Net ? N°29

29

Quoi 2 - 9 sur le Net ? 

           
Gérard et Priscille VESSIERE                                 Bulletin N° 29

Une petite histoire qui mérite Réflexions ……

Pour moi, c'est plus que l'espoir, c'est une réalité. L'amour et le pardon (ou l'inverse) sont des armes puissantes.


Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. 

Elle leur dit :
- Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger.
- Est-ce que les enfants de la maison sont là ?  demandent-ils.
- Non, ils sont sortis, leur répond-elle.
- Alors nous ne pouvons pas entrer.
*****

En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes.
- Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison, répondent-ils. Un des vieillards explique :
- Son nom est Richesse, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, lui c'est Succès,  et moi je suis Amour.
Il ajoute alors,

- Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison.

La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit.
- Comme c'est étrange! S'exclament les enfants.
- Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse

 La mère n'était pas d'accord.
- Pourquoi n'inviterions- nous pas
Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires...

La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour :
- Veux mamours, veux mamours.... 

 Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter Amour à entrer... Amour se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent.
Etonnée, la femme demande à Richesse et Succès:
- J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi?
Les vieillards lui répondent ensemble
:
- Si vous aviez invité Richesse ou Succès, les deux autres d'entre nous seraient restés dehors, mais  vous avez invité Amour et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès

Mon souhait pour toi qui me lit :

Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix, 
Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée 
Où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force...
Où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage.

La valeur d’une personne se mesure toujours au bonheur qu’elle donne aux autres.

Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3 / 16

Que Dieu vous bénisse

Pour tous ceux qui possèdent Internet, quelques sites à visiter :

Rendez-vous sur le site : http://www.jesustheme.com


Ezéchiel 37 Ministères - 37 - 2 Timothée 3.5


Ezéchiel 37 Ministères
37
2 Timothée 3.5 - Ayant l'apparence de la piété mais reniant ce qui en fait la force.  
   
   L'humanité est en souffrance. Beaucoup de personnes souffrent du rejet, de solitude, de maux de toutes sortes qu'ils soient physiques, psychiques, affectifs... Nous cherchons le bonheur, nous en rêvons, mais souvent nous ne savons où et comment le trouver. Qu'en est-t-il de nous "chrétiens" ? Avons-nous trouver le réel bonheur ?

   Ne sommes-nous pas trop souvent à l'image de ce que nous disait l'Apôtre Paul dans notre verset du jour. Nous sommes dans une communauté, nous faisons des œuvres, nous chantons des louanges, nous proclamons que nous sommes chrétiens, mais avons-nous conscience de ce qu'est la croix ? Le lieu unique où tout est accompli ? Nous pensons souvent à Jésus qui résout nos problèmes, qui guérit, qui délivre, qui console et tout cela est vrai et merveilleux. Mais pensons-nous à celui qui nous sauve ? Celui qui a tout donné de Lui à la croix pour que nous puissions être sauvé(e)s, pour nous préparer une place près de Dieu, Celui qui nous rend blancs comme la neige et qui jette nos péchés au fond de la mer. 

   Vous savez mes ami(e)s, la chose la plus terrible qui puisse arriver à une personne, est de croire qu'elle est coupée de Dieu ! C'est quelque chose de terrible et qui amène un tourment incroyable. Le véritable bonheur c'est la force qui émane de la croix, de se savoir pardonné(e), revêtu(e) d'un vêtement blanc et accepté(e) pleinement dans la présence de Dieu. Cela provoque en nos cœurs une joie tellement forte ! Oh c'est si bon. 

   Si toi qui lis ces lignes, tu ne connais pas cette joie, qu'en cet instant le Saint-Esprit touche ton âme et qu'Il te révèle la croix et l'œuvre de Jésus. Que tu puisses rentrer dans ce "tout est accompli". Le pardon de tes péchés et une vie restaurée. Ne cherche plus ailleurs, le bonheur ne se trouve nulle part si ce n'est au pied de cette croix où Jésus a tout fait pour toi. 

   Avec tout notre amour !

Ezéchiel 37 Ministères © Juillet 2014


-- 
Claudy et Corinne d'Ezéchiel 37 Ministères


http://www.mfpg.be

Ezéchiel 37 Ministères - 36 - 2 Timothée 3.2

Ezéchiel 37 Ministères

2 Timothée 3.2 - Car les hommes seront égoïstes ...
   
Dans cette société, la devise pourrait être un pour tous et tous pour moi ! Effectivement, l'individu est de plus en plus tourné vers lui-même, ne pensant bien souvent qu'à son ventre, son portefeuille, sa "réussite", bref son moi et moi encore ! Quand est-il de nous chrétiens ? 

   Nous aimerions dire que nous sommes différents ! Malheureusement, il faut faire le triste constat que nous sommes bien souvent pas mieux que ceux qui croisent nos chemins chaque jour. Nous rêvons d'un monde qui tourne autour de notre moi et qui nous apporte tout ce dont nous avons besoin, rêvons et plus encore. Notre portefeuille semble également faire partie de notre moi, car tant que nous recevons, tout va bien, mais dès qu'il s'agit de donner, cela demande grande réflexion !

   Quant à notre temps, nous sommes très heureux quand une personne prend de son temps pour nous apporter consolation, parole encourageante, prière, mais quand il s'agit de nous investir pour quelqu'un, là encore, nous y réfléchissons à deux fois, voire trois. Tout nous vient en tête, notre feuilleton préféré, le match qui va bientôt se jouer, notre sortie au magasin pour les soldes, ... Enfin, bref, des excuses qui tournent autour de notre moi !

   Pour d'autres, comme il semblerait que la communauté tourne autour d'eux seuls et que par eux seuls, ils n'ont plus de temps à consacrer pour ceux du dehors. A contrario, il est triste également de voir de nos jours des serviteurs et des servantes de Dieu engagés dans le ministère à temps plein et se donnant jour après jour pour l'œuvre de Dieu et pour les gens, devoir se gratter la tête ou les fonds de tiroir pour finir le mois. Il semblerait que les enfants de Dieu aient de plus en plus de mal à soutenir les ministères de la Parole. Nous sommes trop souvent devenu(e)s que de simples consommateurs. Nous voulons tout, tout de suite et de plus, gratuitement. 

   Nous lisions un texte de Joseph Prince qui parle de Jésus qui a toujours du temps pour nous et qui, quand Il rencontrait quelqu'un dans le besoin, la souffrance, s'arrêtait pour prendre du temps pour cette personne. Jésus oubliait ses propres besoins pour les autres. 
Pourquoi n'aspirerions-nous pas tous à vivre cela ? Nous oublier un peu pour nous tourner vers les autres et leurs besoins. Le Seigneur nous dit dans sa Parole qu'il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir (Actes 20.35).

   Si nous examinons nos cœurs, qu'est-ce qui provoque en nous le bonheur ? Retrouvons ce cœur rempli de joie de donner, donner notre temps, donner notre écoute, notre argent ! 
Détournons nos regards de notre moi pour voir ce que Dieu veut nous montrer ! Une vaste étendue et un sol où semer sera devant nos yeux si nous les levons ! 

   Bonne réflexion !

   Ezéchiel 37 Ministères © Juillet 2014


-- 
Claudy et Corinne d'Ezéchiel 37 Ministères


http://www.mfpg.be

71 GLOIRE, HONNEUR, IMMORTALITE

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS : 

71
GLOIRE, HONNEUR, IMMORTALITE


INTRODUCTION
« … pour les uns la vie éternelle, recherchant par leur œuvre persévérante la gloire, l’honneur et l’immortalité. » (Romains 7 :2 ; trad. litt.). 
Nous avons déjà traité les concepts évoqués dans ce passage. Toutefois il est intéressant de se poser la question pourquoi ils ont été mis ensemble par l’Apôtre Paul.
 La vie éternelle après la mort du corps est de toute manière pour celles et ceux qui ne considèrent que le salut « intérieur » et ne recherchent pas assidûment avec persévérance et patience la gloire, l’honneur et bien entendu l’immortalité.
La vie éternelle sans la mort du corps devrait être pour celles et ceux qui considèrent à la fois le salut « intérieur » et « extérieur » à savoir le salut du corps et le recherchent assidûment. C’est de cette vie dès à présent éternelle dont il s’agit ici dans ce passage.
Gloire, honneur et immortalité
 
La gloire (doxa) est la corporéité céleste visible et tangible de Dieu concrètement perceptible par les cinq sens de l’homme. L’être entier, notamment le corps, perçoit la présence et l’action concrètes de Dieu (cf. écrit « La Gloire »).  
Elles doivent être recherchées avec zèle, patience et persévérance (Dzèteo cf. zèle, aspirer à, rechercher).
L’honneur, la dignité, la réputation (timè) de Dieu sont révélés et démontrés par Sa gloire. C’est pourquoi elle est nommée en premier lieu. Dès qu’il se passe surnaturellement quelque chose dans le concret, le visible et le tangible, le bouche à oreille fonctionne, de nos jours les médias et les réseaux sociaux. La réputation, l’honneur de Dieu sont ainsi assurés.
  Le top du top de ce qui peut se passer, c’est la métamorphose du corps charnel en un corps glorieux c’est-à-dire l’immortalité. Il s’agit en effet du summum puisque la mort est de ce fait vaincue. A ce jour rien ni personne n’a vaincu la mort si ce n’est le Ressuscité ! Alors ne pas mourir du tout, passer dans le ciel etc. quels scoops !

Honorer Dieu, c’est croire qu’Il peut réaliser infiniment au-delà de ce que nous pouvons demander et imaginer !  

« Au pouvant [= le Tout Puissant] au-delà de tout, faire infiniment au-delà de ce que nous demandons ou pensons… » (Ephésiens 3 :20 ; trad. litt.).
Dieu veut aller au-delà de tout et au-delà de ce que nous pouvons demander ou penser !
Par conséquent ne pas croire que Dieu veut aller au-delà de tout et ne pas rechercher assidûment cela, c’est déshonorer Dieu, car en fait nous ne croyons pas vraiment en Sa Toute Puissance. Par contre y croire, et rechercher l’inimaginable c’est honorer Dieu, car nous croyons en Sa Toute Puissance ! 
La gloire et l’immortalité sont des réalités inimaginables à l’infini, impensables, au-delà de tout, notamment de ce que nous pouvons nous représenter ou penser dans notre condition de vie actuelle déterminée par la mort, il faut bien le constater ! Le contexte de notre verset ne fait que confirmer cette interprétation.


Ephésiens 3 : 14-21 : le passage

« …je fléchis mes genoux devant le Père de qui toute famille aux cieux et sur terre est nommée afin qu’il vous donne selon la richesse de sa gloire afin d’être fortifiés en puissance par son Esprit en l’homme intérieur, que Christ habite par la foi dans  vos cœurs, ayant été enracinés et fondés dans l’amour afin que vous soyez rendus capables de comprendre avec tous les saints ce qu’est la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur et en surpassant [ lançant, jetant les mesures normales de côté, dépassant  =  upperballo], vous connaissiez l’amour de Christ afin que vous soyez comblés [plèroo] jusqu’à la plénitude [plèroma, plérôme) de Dieu…à lui la gloire dans l’Eglise et EN Christ Jésus pour toutes les générations de l’éternité [de l’ère des ères], amen » (Ephésiens 3 :14-21 excepté v.20 cité plus haut ; trad. litt.).

Personne ne conteste en général dans le monde chrétien la présence de Dieu dans l’homme intérieur et le cœur du croyant. Cette présence de Dieu permet de commencer à comprendre ou de « saisir pour en faire le tour », en quelque sorte « maîtriser, s’emparer, se rendre compte » ( = katalambano) de l’espace qui est décrit ici par la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur. Celui-ci ne peut évidemment exister sans la matière car il faut toujours des éléments matériels pour déterminer, délimiter un espace ou un vide. Il en est de même du temps puisque sa relativité a été démontrée en relation avec la vitesse qui ne peut s’opérer que dans un espace entre un ou plusieurs matériaux, d’où son indissociabilité d’avec l’espace et la matière. 
Mais pour se rendre réellement compte de l’espace-matière-temps, il est indispensable de comprendre qu’il ne peut exister sans ce qui est hors de l’espace-matière-temps à savoir Celui qui est, Yahvé, par nécessité relationnelle donc existentielle, le Tout Autre, le Tout Puissant et l’éternité (cf. écrit « La Preuve Ontologique »).
Commencer par saisir, comprendre l’espace-matière-temps et ses limites grâce à la présence de Dieu en nous qui renouvelle notre intelligence, nous avons la possibilité de surpasser, de dépasser, d’aller au-delà des mesures normales pour avoir la connaissance de l’amour de Christ jusqu’au plérôme ou la plénitude ou la vie comblée de Dieu. 
En fait il s’agit du passage du salut intérieur au salut total incluant le corps. C’est le passage qui permet d’aller de l’enracinement dans l’amour au niveau du cœur à la connaissance au sens biblique du terme (Genèse 4 :1) de l’amour du Christ, c’est-à-dire une union Epoux – Epouse véritable entre le Christ et l’Eglise. Christ peut ainsi « honorer » ou encore féconder son Epouse ! Pour ce faire, il est indispensable que le corps soit métamorphosé, glorifié, rendu immortel car la chair et le sang ne peuvent hériter du royaume de Dieu.
Paul peut alors parler de gloire, de cette présence tangible, telle que nous l’avons définie plus haut et du fait d’être EN Christ Jésus. 
Enfin pour couronner le tout, il parle des générations de l’éternité c’est-à-dire des générations pouvant évoluer dans l’éternité et sur terre aussi longtemps que cette dernière existe ou l’Eglise des Vainqueurs que Jésus Glorifié a instituée au début de l’Apocalypse. Amen, c’est ainsi !!!

Conclusion

Combien de fois avons-nous lu ces merveilleux passages sans en saisir la portée ! 
Que demandons-nous à Dieu ? Quel est le contenu de nos prières ? Que recherchons-nous ? Est-ce de l’impensable, de l’impossible, de l’inimaginable ou est-ce de « l’encadré », de « l’habituel », du religieusement politiquement correct soit disant biblique ? 
Tout dépend si nous honorons ou pas Dieu pour ce qu’Il est, à savoir glorieux tout puissant et amour parfait ! 
Tout dépend de l’amour dont nous sommes animés qui ne peut que nous porter à vouloir passer à l’immortalité, à l’au-delà infini, à la plénitude véritable concrète et tangible dans l’expérience de la connaissance de l’amour de Christ. 
Recherchons prioritairement comme la perle, le trésor du champ la gloire, l’honneur et l’immortalité réalités inséparables pour passer dans les dimensions divines et célestes qui sont toujours infiniment « au-delà de tout » !


En Jésus,     


Martin BUSCH

22 avril 2015

70 EGLISE EPOUSE - MERE

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS : 

70
EGLISE EPOUSE - MERE


INTRODUCTION
« Ne t’allie avec aucun d’eux (non juifs). Ta fille, ne la donne pas à son fils et sa fille, n’en fais pas l’épouse du tien ! » (Deutéronome 7 :3)
«Oui, dès maintenant, contractons avec notre Dieu l’engagement de renvoyer toutes ces femmes et les enfants nés d’elles, conformément au conseil de mon seigneur et de ceux qui sont zélés pour le commandement de notre Dieu. Que tout se passe selon la loi. » (Esdras 10 :3) 
« Et Adam connut Eve (mère)  son épouse (ischa : épouse, femme). Elle conçut et enfanta Caïn en disant : « J’ai fait naître un homme conjointement avec Yahvé. » (Genèse 4 :1).
« Je ferai régner la haine entre toi et la femme, entre ta postérité et la sienne : celle-ci t’écrasera la tête et toi tu la blesseras au talon. » (Genèse 3 :15)

Il se trouve que l’identité juive se transmet par la femme ou l’épouse devenue mère. Le passage du Deutéronome laisse entendre que la lignée ou la postérité juive passe par la femme. Cela semble se confirmer dans ce passage très dur du livre d’Esdras, où pour restaurer le Peuple Juif dans la lignée selon la Loi après l’exil à Babylone, les femmes « étrangères et leurs enfants » furent renvoyés !!! Il faut savoir en outre que par confort la grande majorité des juifs dont les femmes évidemment, n’avaient pas fait le voyage de l’Aliyah ou du retour au Pays à ce moment-là !
Il fallait donc que la judaïté soit sauvée et restaurée à tout prix et qu’il fallait des mères juives que cela puisse se faire ! 
Au passage où il est écrit qu’Eve connut Adam, elle dit qu’elle avait accouché conjointement, avec l’aide de Yahvé ! Cela prouve qu’au moment où l’épouse, ischa, devint mère, Ève, le processus de la postérité qui pouvait écraser la tête du Serpent avait tenté une « première sortie ». Avec Caïn ce sera certes un échec mais ce n’était que partie remise
Quoi qu’il en soit, cette aide conjointe de Yahvé dans le processus qui fit de l’épouse – femme une Eve - mère va aussi dans le même sens.
C’est probablement dans une perspective semblable que nous pouvons comprendre le passage souvent considéré comme « macho » de Paul à la première à Timothée 2 :15 : elle sera sauvée cependant par la maternité… » !!! C’est tout de même étonnant dans le Nouveau Testament vu que Jésus-Christ était né et avait accompli Sa mission terrestre ! Le salut par la maternité ? Et la foi dans le sacrifice expiatoire de Jésus ?

La femme épouse et/ou mère chez les descendants d’Ismaël ?

  Nous savons que dans la mentalité des descendants d’Ismaël, la femme n’est pas considérée comme une épouse mais avant tout comme une mère écrasée voire un « simple utérus… ! » Il ne lui est laissé aucune dignité en tant qu’épouse et femme car elle est rejetée en tant que telle !
Il s’agit d’un héritage de l’histoire d’Agar qui n’était considérée que comme une espèce de mère porteuse pour Saraï et sans plus !!! Dès qu’elle voulut aussi devenir « épouse » d’Abram par le fait qu’elle était la mère du fils du patriarche, elle trouva « l’épouse » Saraï sur son chemin… ! Ismaël a gardé et porté cette vision de la « première femme de sa vie », sa mère, à savoir Agar, qui n’était que « mère porteuse » écrasée et rejetée.
La femme épouse et/ou mère chez les descendants d’Esaü ?

Nous avons démontré dans des écrits précédents que les occidentaux étaient les descendants d’Esaü, d’Edom, des Nabatéens (cf. civilisation de Pétra) des Grecs, plus tard absorbés par les Romains à l’origine de la civilisation occidentale. 
Il se trouve que Rébecca, la mère d’Esaü, était une épouse « émancipée » qui n’a pas hésité à vouloir influer sur le cours de l’Histoire en voulant « aider » Dieu dans la réalisation de Ses promesses concernant Jacob, son petit préféré. Quelle que soit le jugement moral que l’on peut porter sur l’attitude de la belle Rebecca, nous voyons qu’elle prenait des initiatives et « gérait » à la fois Jacob mais aussi Isaac ! Bref, elle était passablement indépendante !
Elle était certes mère des deux jumeaux Esaü et Jacob, mais avant tout elle était « épouse » ! Bref, elle prenait ses responsabilités même si c’était de façon critiquable ! La réalisation du plan de Dieu en fut malgré tout issue !
Esaü a gardé cette vision de la « première femme de sa vie », sa mère, à savoir Rebecca qui était avant tout « épouse émancipée » qui gérait.
C’est très exactement ce qu’est devenu la femme - épouse dans la civilisation occidentale. Elle est émancipée, elle gère et prend ses responsabilités de plus en plus peut-être, au point qu’elle « oublie » de devenir mère ! Elle est avant tout femme, éventuellement épouse, quelquefois seulement copine, concubine mais surtout indépendante …. Le ratio de natalité occidental n’assure plus le maintien de la population, ne parlons même pas de l’augmentation ou de la multiplication de ladite population !

La femme épouse et/ou mère chez les descendants de Jacob ?

Jacob du s’éloigner de Rébecca et d’Isaac pendant des années. Malgré les années difficiles d’exil auprès de Laban, cela lui fut probablement nécessaire notamment pour couper sa relation avec sa mère.
Il eut malgré lui deux sœurs Léa et Rachel. Il aimait Rachel, l’émancipée qui gérait même ses idoles (Genèse 31 :19+30-35) et sa soif de prééminence (Genèse 30 :1-8). Elle ne put devenir mère au début. 
Il avait Léa qu’il n’aimait pas mais qui était à un  moment donné « l’utérus de service » de Jacob. Elle espérait en vain se faire aimer (Genèse 30 :20) par ce dernier en lui donnant de nombreux fils ! En effet Jacob n’habitait pas avec elle sous la même tente, mais habitait avec celle qu’il aimait : Rachel. 
Rachel devint finalement mère par la suite avec Joseph et Benjamin. Elle mourut à l’accouchement de Benjamin (Genèse 35 :16-18)
Chez les descendants de Jacob, il y a effectivement partiellement cet équilibre entre les deux sans vouloir idéaliser certes. Le rôle public de certaines épouses - femmes juives fut éminent dans l’Histoire mais elles tenaient aussi à devenir des mères !
Cet équilibre devrait tout autant se retrouver chez les chrétiennes authentiques. 

Marie épouse et/ou mère ?

Marie, la juive, descendante de Jacob savait qu’elle risquait la lapidation en acceptant de tomber enceinte sans avoir été préalablement mariée à un homme. Elle assuma sa responsabilité, elle accepta de gérer cette situation plus qu’inconfortable voire très risquée dans la société d’alors. Elle accepta de devenir l’épouse du Père céleste puis par-là de devenir mère de Jésus vrai Dieu et vrai Homme, le Messie, le Christ, Seigneur et Sauveur du monde !!! 
Elle a vécu l’équilibre d’épouse – femme avec celui de mère dans cette situation. Le cantique de Marie est d’ailleurs exceptionnel suite à sa rencontre avec Elisabeth. (Luc 1 :46ss).
Toutefois elle fut remise en place par la suite par Jésus lorsqu’elle voulut « gérer » en tant qu’épouse – femme du Père d’une certaine façon le début du ministère de son Fils aux noces de Cana et finalement par déduction aussi la suite des opérations (Jean 2 :4ss). Jésus dit clairement : « Qu’il y-a-t-il entre toi et moi femme (gunè= épouse, femme) ». Mais il est intéressant de noter la suite : « Sa mère (mèter = mère) dit aux serviteurs : quoi qu’il vous dise, faites-le »
En fait elle voulait jouer le rôle de la femme épouse du Père, la « bienheureuse » et gérer les choses en tant que telles notamment auprès de son Fils à elle. Comme cela ne lui fut pas accordé parce qu’elle n’était ni Dieu, ni médiatrice entre Dieu et les hommes, elle essaya de rejouer la partie avec son statut de mère de Jésus. Elle était certes bien intentionnée mais il fallait qu’elle comprenne qu’elle devait rester dans le rôle prévu pour elle par Dieu à savoir une « humble servante » consciente de ses imperfections et limitations. Il n’y a en effet qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes, c’est Jésus-Christ ! (1 Timothée 2 :5).
Elle a dû tenter d’en remettre une couche quand elle voulut avec ses autres fils, les frères de Jésus, lui « parler » pendant qu’il était dans l’exercice du ministère. Mais la réponse de Jésus fut cinglante : « Qui est ma mère et qui sont mes frères. Puis étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères. Car quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, ma sœur et ma mère. » (Matthieu 12 46-50 ; cf. aussi Marc 3 :32 ; Luc 8 :20).
 Les choses ne furent totalement rétablies qu’au pied de la croix où c’est Jean qui devint le fils de Marie et Marie la mère de Jean selon la parole de Jésus (Jean 19 :26-27).

L’Eglise épouse et/ou mère ?

L’Eglise est l’épouse de l’Agneau ou du Christ. L’acte de mariage fut signé avec le sang de l’Agneau sur la croix. Nous avons déjà évoqué la problématique dans notre écrit de la Rubrique de l’Eglise des Vainqueurs intitulé « Epoux Epouse ».
L’Epouse – Eglise ne vit pas avec son époux. Elle est restée sur terre dans l’imperfection intermédiaire de l’espace-matière-temps. Son corps n’a pas été sauvé mais évolue vers le vieillissement et la mort. 
Toutefois, elle a le statut d’Epouse du divin Epoux. Elle est la femme - épouse de Jésus-Christ d’un point de vue juridique donc effectif. 
Par conséquent, tout naturellement elle gère, prend ses responsabilités, est émancipée mais dans les limitations. Cela fait 2000 ans qu’elle gère en tant qu’Epouse mais elle gère mal,  même très mal. A l’époque des Actes des Apôtres elle avait bien commencé mais elle n’a pas considéré qu’une épouse est destinée à devenir mère. Elle est restée « copine » avec Jésus. Elle en est restée aux mails, sms, webcams avec Jésus. Elle est toujours encore en train de lire le « mode d’emploi » (Bible) pour devenir mère mais dans les limitations alors qu’en réalité la fécondation par l’Epoux n’y est tout simplement pas prévue en vue de la maternité.   
Marie n’était pas restée dans le rôle et la position que Dieu avait prévus pour elle, l’Eglise n’est pas rentrée dans le rôle et la position que Dieu avait prévus pour elle. Pour les deux tout avait bien commencé mais elles avaient peine à comprendre la suite des événements.
Jésus a parfaitement accompli Sa mission. Nous voyons clairement qu’il fallait une fécondation de la part de Dieu le Père pour que les choses avancent réellement et de façon déterminante et irréversible. Il fallait que Marie en tant qu’épouse choisie par Dieu, accepte de se laisser féconder en vue de devenir mère. Le côté juridique du salut a ainsi pu être réglé. 
A ce titre, Jésus a ouvert la porte du ciel pour que nous puissions avoir le droit d’y entrer. En tant qu’Epouse, légalement mariée à l’Epoux, l’Eglise a parfaitement le droit d’intégrer la « maison familiale » par le salut de l’esprit, de l’âme et du corps. Elle y est même fortement invitée pour qu’elle puisse y être fécondée en vue de devenir mère !!! 
Rien que la fécondation rendue possible par la métamorphose ou le salut du corps des chrétiens formant l’Eglise des Vainqueurs provoquera le réveil d’Apocalypse 7 !
Mais seule la maternité de l’Eglise des Vainqueurs d’Apocalypse 12 :1ss rendra possible une seconde victoire (la première étant celle de Jésus sur la croix et par Sa résurrection) déterminante sur le Dragon et ses acolytes jetés hors des lieux célestes ! Ceux-ci n’avaient plus accès aux lieux spirituels ce qui est capital et énorme !  
  Nous voyons clairement qu’il fallait une fécondation de la part de Dieu le Fils, l’Epoux pour que les choses avancent réellement et de façon déterminante et irréversible. Il fallait que l’Eglise en tant qu’épouse choisie par Dieu, accepte de se laisser féconder par Jésus en vue de devenir mère.
 Souvent la femme (gunè) d’Apocalypse 12 fut confondue avec Marie et l’enfant mâle avec Jésus !  En fait, il s’agit de l’Eglise des Vainqueurs qui donne naissance à une nouvelle génération de Vainqueurs encore plus puissants qui arriveront à mener paître les nations avec une verge de fer. La victoire d’Apocalypse 12 porte en elle celles d’Apocalypse 19 – 20 avec la victoire définitive sur le Dragon et ses acolytes sur terre.
La confusion dont nous venons de parler est gravissime car elle bloque tout le  processus victorieux qui aurait déjà dû s’enclencher depuis longtemps. Tout est arrêté parce que l’Epouse refuse ou pire, ne sait pas comment devenir mère. 
Tellement souvent les « pourquoi » face à la souffrance, aux malheurs, à la maladie, aux guerres, aux meurtres se heurtent à un mur infranchissable d’incompréhensions voire de révoltes. Les voies sans issue se multiplient. 
A quoi sert la libération juridique acquise par Jésus sur la croix s’il n’y a pas d’application ?
A quoi sert une décision de justice si elle n’est  pas appliquée ? A rien !
A quoi cela sert-il d’être Epouse si la maternité n’est pas au rendez-vous ?    
En fait, si l’homme est initialiseur, celui qui met la semence. La réalisation et la finalisation est du domaine de la femme – épouse par la maternité. 
L’homme est bloqué, inefficace pour la transmission d’une nouvelle vie si la femme reste uniquement épouse et ne devient pas mère. 
C’est le choix souverain du Créateur, de Yahvé qui a créé l’être humain à Son image, mâle et femelle. Il a d’emblée voulu que la réalisation et la finalisation de la vie passe par la femme. 
Ce choix souverain initialiseur L’a rendu dépendant de Sa femme pour la finalisation et la réalisation. Le Père l’initialiseur avait besoin de Marie devenue mère et Jésus l’Epoux l’initialiseur a désespérément besoin de Son Epouse, l’Eglise, qui doit encore devenir enceinte puis mère. Cette dépendance est une incroyable preuve d’amour dans la réciprocité de la part du Dieu Créateur des cieux et de l’univers ! C’est énorme !
Ce ne peut être saisi que dans la compréhension de la métamorphose qui est une caractéristique constante dans les lieux célestes à opposer aux notions idolâtres du symbolique et de l’image ces derniers ne pouvant être la réalité mais seulement une soi-disant représentation toujours plus ou moins fausse de ladite réalité. 
Par la métamorphose, la fécondation de l’Eglise des Vainqueurs par Jésus l’Epoux et l’accouchement de l’enfant mâle sont réels et effectifs ! Il en est d’ailleurs de même de l’enlèvement qui concerne l’enfant mâle en Apocalypse 12 :5c où la métamorphose est décrite comme en 1 Corinthiens 15 :51ss.
   
Conclusion

L’Eglise femme – épouse légale de Christ doit impérativement prendre ses responsabilités, s’émanciper, vaincre, se laisser libérer de l’esclavage de l’espace-matière-temps, de la chair de son corps par le Saint Esprit (2 Corinthiens 3 :18) pour devenir Sa femme – épouse dans les faits et la réalité sur le Trône dans un contexte de métamorphose constante. Là elle est appelée à se laisser féconder par son Epoux pour ensuite devenir mère, accoucher d’un enfant, d’une génération nouvelle de l’Eglise des Vainqueurs enlevée au Trône et victorieuse à ce moment-là du Dragon et de ses acolytes dans les lieux célestes. 
Il faut bien comprendre que chez les Juifs la judaïté pour les enfants se transmet par les femmes mères. L’initialisation vient certes du Père, de l’Epoux mais la réalisation, la finalisation vient de la femme – épouse en devenant mère, qui a porté l’enfant en son sein et l’a mis au monde ! Dieu en a souverainement décidé ainsi ! 
L’équilibre épouse – mère mène vers la perfection, tire vers le haut car l’un  ne va pas sans l’autre !  Il allie prise de responsabilité, état adulte, liberté, amour au niveau de l’Epouse pour son Epoux et don de soi quasi-total, amour maternel quasiment sans limite au niveau de la mère pour son enfant.



En Jésus, 

         Martin BUSCH

TV-VIECOM - 313 - TIKTOK