07 août 2021

Par la foi

PAR LA FOI
CHANT AVEC PAROLES ET MUSIQUE

Se rendre utilisable par et dans l'amour de Dieu 13

Chers bien-aimés,


Dès les premiers jours de ma vie avec notre Seigneur Jésus-Christ, je me suis considéré dans mon travail comme un missionnaire. 

En effet, Dieu seul a ouvert pour moi la porte de cette entreprise de bâtiment. Alors que je m’étais retrouvé au chômage, j’ai cherché du travail, mais surtout pas dans cette entreprise florissante.

De plus, auparavant j’étais courtier dans un bureau d’assurances. Et là, j’allais me retrouver chauffeur poids lourd avec remorque pour transporter des engins. Cela faisait des années que je n’avais plus conduit de poids lourd. J’avoue que j’ai transpiré !

Mais j’étais heureux de me sentir considéré par mon Seigneur Jésus-Christ comme « envoyé » dans son champ de mission au milieu des âmes perdues. J’étais prêt à tout pour marcher à Sa suite.

J’ai dû endurer le caractère exécrable de mon chef d’équipe qui n’était autre que le fils du patron de 12 ans de moins que mois. Lui 18 ans. Et moi 30 ans . 

La journée commençait à 7h. 

A 6h30 nous devions être sur le dépôt. 

A 6h45 les véhicules devaient être alignés, moteur en marche, et chaque équipe prête à partir. 

Si la journée se terminait à 18h, le retour au dépôt était fixé à 18h départ du chantier. 

Je m’étais convenu dès le commencement que j’étais disposé pour des heures supplémentaires, sauf deux jours en semaine réservés pour une soirée d’étude biblique et une soirée pour la prière d’intercession. 

Durant l’été, lorsque des équipes avaient terminé l’usage d’une grue, avec mon chef d’équipe nous démontions la grue pour aller l’installer sur un nouveau chantier. Notre journée se terminait vers 22h.

La vie active de l’entreprise était animée d’une discipline pour la centaine d’ouvriers que nous étions, c’est ce qui faisait la différence avec d’autres entreprises similaires où il y avait du laisser-aller.

Le repas de midi, nous le prenions, mon jeune chef et moi, à l’arrière de notre véhicule de chantier. Il lui arrivait, malgré son fichu caractère de jeune chef, qu’il prenait son trop plein de nourriture préparée pas sa maman, pour le déverser dans mon assiette qui était déjà vide.

En fait, ce qui l’intriguait et l’exaspérait, c’était de me voir arriver avec ma voiture sur laquelle deux autocollants couleur rouge apposés de chaque côté sur mon véhicule avec la mention : « JÉSUS T’AIME » et « JÉSUS PARDONNE ». 

Et, sur le pare-brise arrière, une grande épitaphe où il était mentionné « VIE ABONDANTE – RADIO …  avec Jean-Louis JAYET ». 

C’était pour moi de l’ordre de ma mission que de rendre visible ce pourquoi je me rendais utilisable par la FOI, l’ESSPÉRANCE, l’AMOUR pour mon Dieu me révélant mon plein salut en Jésus-Chrit !

Dans le bruit de l’activité, soit au dépôt ou sur un chantier ou pendant la conduite, je faisais usage sans modération de la prière en langues. Il était courant que soit le patron ou mon chef d’équipe me surprennent dans la prière tout en assurant mon activité. Il savait qui j’étais ! Cela les faisait sourire.

Comme je l’ai eu dit précédemment dans un de mes propos, ce qu’ils ignoraient c’est que j’avais au-dessus d’eux mon Grand Patron ! Car c’est Lui qui m’avait placé là, pour un but précis qui se révéla au fur et à mesure des jours. Et par Lui, je me suis retrouvé comme l’argile sur le tour entre les mains du potier qui, en me façonnant, me préparait pour son ouvrage. 

Ainsi, confronté au caractère de ce jeune chef, comme exprimé récemment dans un de mes écrits, le fils du Père nommé Barabba dit le révolutionnaire caché en moi, était tenté de réagir. 

Or, le Fils de Dieu, Jésus en moi, devait triompher, afin que sa Vie puisse croître en moi et soit reconnue, identifiable. J’étais bien conscient de cette réalité. 

Aussi, toute épreuve à laquelle j’étais confronté, était en moi un duel entre Barabba et Jésus ! Entre ma propre nature et la nature divine qui m’habitait. 

Cette dualité était le bon combat de la FOI ! J’’ai fini par considérer cela comme un sujet de joie, car je savais d’avance qui était le perdant et qui était le gagnant. Alors pourquoi lutter ? Je suis rentré en résistance contre Barabba : silence ! tais-toi !

Un jour, il m’est arrivé au volant de mon camion, d’avoir une rage de dents à en verser des larmes et difficile de conduire dans cet état de souffrance. M’arrêtant chez moi pour le repas de midi, je suis allé m’allonger, me tenant la tête entre les mains. Comment reprendre la conduite du camion ? 

Michelle, consternée de me voir dans cet état de souffrance, m’imposa les mains et ordonna au Nom de Jésus que cette dent soit dévitalisée. La rage de dent cessa immédiatement. Et je pris mon repas, puis je suis reparti à la conduite de mon camion.  

Michelle avait pris soin de prendre un rendez-vous urgent avec un dentiste. Et lorsqu’à la sortie de mon travail, je me suis présenté chez le dentiste, il examina ma dentition. A la vue de la dent qui avait été la cause de la souffrance, le dentiste me dit sèchement : 

- Vous avez consulté un confrère ? 

- Non !

- Ne mentez pas Monsieur Gravet, votre dent a été récemment dévitalisée !

Sans mot dire, J’ai payé la consultation.  Ce que Dieu fait, il le fait parfaitement.

Les derniers jours de mon activité, sachant que je partais pour travailler à plein temps sur le champ missionnaire de Vie Abondante, tandis que nous étions mon chef d’équipe et moi sur la route pour nous rendre sur un nouveau chantier pour la construction de plusieurs maisons individuelles, à ma grande surprise, mon jeune chef se confiant me dit :

- Yves, je sais que tu es un croyant, voici je rencontre tel problème dans ma vie, est-ce que tu accepterais de prier pour moi ?

- Et de suite j’ai prié pour lui !

Avant de quitter l’entreprise en pleine expansion, son père et lui m’assurèrent que si mon nouveau travail n’allait pas, que je pouvais revenir, et qu’il y aurait toujours une place pour moi.

C’est avec reconnaissance à Dieu que je les ai quittés, conscient que ma place dans ce lieu d’activité avait été une étape de préformation dans ma vie de missionnaire, et qu’en finalité j’avais été identifié comme « chrétien ! »

En Jésus,

Son serviteur

Yves Gravet 


QU’EST-CE QUE VOUS DITES ?

 QU’EST-CE QUE VOUS DITES ?

 

 

 

 

 

 

Proverbes 18 :21

 

21 La mort et la vie sont au pouvoir de la langue…

 

 

Beaucoup de choses dans la vie peuvent nous faire peur – perdre notre travail, les maladies mortelles, les attaques terroristes, et cetera. Quand nous sommes confrontés à ces choses, nous avons tendance à tomber dans l’inquiétude et dans la peur, et à commencer à parler de nos craintes.

 

Job n’était pas différent. Il avait constamment peur que Dieu les punisse lui et sa famille, parce qu’il pensait constamment que ses fils avaient péché contre Dieu. Il se levait tôt le matin pour offrir des holocaustes, en disant : « Peut-être mes fils ont-ils péché et ont-ils offensé Dieu dans leur cœur. » Et la Bible nous dit que c’est comme cela qu’il avait coutume d’agir. » (Job 1 :5)

 

Donc Job continuait à confesser les péchés de ses fils en craignant que quelque chose de terrible lui arrive, ainsi qu’à sa famille. En fait sa conscience du péché ne produisait pas que de la peur. La Bible nous dit qu’il « redoutait. » (Job 3 :25)

 

Il est important que nous comprenions que c’est la conscience que Job avait du péché qui a ouvert la porte à Satan. Le fait qu’il soit préoccupé par les péchés que sa famille pouvait commettre, a donné à Satan l’opportunité d’amener la mort et la destruction dans sa vie. Dieu avait mis une haie de protection autour de Job. Mais quand il a commencé à avoir conscience du péché, et à attendre le jugement dans la peur, cette haie de protection a été retirée, et Satan a pu l’attaquer. (Job 1 :9-12)

 

Mon ami, aujourd’hui si vous avez péché, ne dites pas : « J’ai encore échoué. Je mérite d’être puni par Dieu. » Sachez que vous avez déjà été pardonné de vos péchés, parce que Jésus a été puni et condamné à votre place ! (Ephésiens 1 :7) Alors, dites : « Je suis la justice de Dieu en Christ. Jésus, tu es ma sainteté et ma perfection. » (1 Corinthiens 1 :30 ; 2 Corinthiens 5 :21)

 

Nous devons faire attention à ce que nous pensons et disons régulièrement, parce que « la mort et la vie sont au pouvoir de la langue ». Alors, lorsque vous entendez dire qu’un virus mortel a fait beaucoup de morts, ne dites pas : « Je serai le prochain, parce que je n’ai pas été un bon chrétien ! » Au lieu de cela, dites : « Jésus, tu es ma justice et ma protection. De façon certaine tu me délivreras du filet de l’oiseleur, de la peste et de ses ravages. » (Psaumes 91 :3)

 

Bien-aimé, une telle croyance et une telle confession ne font pas seulement plaisir à Dieu, mais elles ferment aussi la porte à Satan, afin qu’il ne puisse avoir aucun accès dans votre vie !

 

 

Pasteur Joseph Prince

 

 

 

La pensée du jour

 

Faites attention à ce que vous dites et pensez régulièrement, parce que la vie et la mort sont au pouvoir de la langue

La persévérance


 «Nous qui sommes forts, nous avons le devoir de supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas et de ne pas rechercher ce qui nous plaît. Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain pour son bien, en vue de le faire grandir dans la foi. En effet, Christ n'a pas recherché ce qui lui plaisait, mais, comme il est écrit, les injures de ceux qui t'insultent sont tombées sur moi. Or tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction afin que, par la persévérance et par le réconfort que donnent les Ecritures, nous possédions l'espérance. Que le Dieu de la persévérance et du réconfort vous donne de vivre en plein accord les uns avec les autres comme le veut Jésus-Christ, afin que tous ensemble, d'une seule voix, vous rendiez gloire au Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Accueillez-vous donc les uns les autres comme Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu. J’affirme [en effet] que [Jésus-]Christ est devenu le serviteur des circoncis pour prouver que Dieu est vrai en confirmant les promesses faites à leurs ancêtres. Quant aux non-Juifs, ils célèbrent Dieu à cause de sa bonté, comme le dit l’Ecriture: C'est pourquoi je te louerai parmi les nations et je chanterai à la gloire de ton nom. Il est dit encore: Nations, réjouissez-vous avec son peuple! et encore: Louez le Seigneur, vous toutes les nations, célébrez-le, vous tous les peuples! Esaïe dit aussi: Il paraîtra, le rejeton d'Isaï, il se lèvera pour régner sur les nations; les nations espéreront en lui. Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous débordiez d’espérance, par la puissance du Saint-Esprit!»

‭‭Romains‬ ‭15:1-13‬ ‭S21‬‬

https://bible.com/bible/152/rom.15.5-13.S21

Les ennemis du coeur 3

 Andy Stanley: Les ennemis du cœur

Jour 3

"Lâcher prise sur la souffrance et la colère"

Référence biblique: Éphésiens 4:25-32

Le deuxième ennemi du cœur est la colère. Nous nous mettons en colère quand nous n’obtenons pas ce que nous voulons.

Montrez-moi une personne en colère et je vais vous montrer une personne en souffrance. Et je vous garantis que cette personne est blessée parce que quelque chose lui a été pris. Quelqu'un lui doit quelque chose.

Nous connaissons tous des gens dont la colère pourrait être exprimée de l'une des manières suivantes: "Tu m’as pris ma réputation." "Tu m’as pris ma famille." "Tu m’as pris les meilleures années de ma vie." "Tu m’as volé mon premier mariage." "Tu m'as volé mon adolescence." "Tu m'as volé ma pureté." "Vous me devez une augmentation." "Vous me devez une chance d'essayer." "Vous me devez une deuxième chance." "Tu me dois de l'affection."

La racine de la colère est la perception que quelque chose vous a été pris. Quelque chose vous est dû. Et maintenant, une relation de dette à débiteur s’est installée.

Et vous? Quelle dette provoque la colère que vous ressentez?

Pendant combien de temps allez-vous permettre aux personnes qui vous ont fait du mal de contrôler votre vie? Un mois de plus? Une année de plus? Une saison de plus de votre vie? Combien de temps?

Je voudrais vous inviter à ce qu'aujourd'hui soit le jour où vous lâchez votre douleur!

S'il est vrai que vous ne pouvez pas annuler ce qui a été fait, il est également vrai que vous n'avez pas à laisser le passé contrôler votre avenir. Dans Éphésiens 4, il nous est ordonné de nous débarrasser "de toute amertume, toute fureur, toute colère." Nous le faisons en nous "pardonn[ant] réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ." (d’après Eph 4:31-32)

Le remède à la colère est le pardon. Si nous persistons à attendre d'être dédommagés pour les torts qui nous ont été causés, c'est nous qui paierons. Si, en revanche, nous annulons les dettes qui nous sont dues, nous serons libérés.

Des quatre forces monstrueuses dont nous discutons dans ces méditations, je crois que celle-ci - la colère non résolue issue de blessures volontaires ou involontaires - est la plus dévastatrice. Pourtant, à certains égards, c'est la plus facile à surmonter. Vous décidez simplement d'annuler la dette. Vous décidez et déclarez: "Tu ne me dois plus rien."

Suivez ce processus en quatre étapes aujourd'hui: (1) Identifiez contre qui vous êtes en colère. (2) Déterminez ce qu'ils vous doivent. (3) Annuler la dette en leur pardonnant. (4) Ne laissez pas la colère s'accumuler à nouveau.

«C'est pourquoi, vous débarrassant du mensonge, dites chacun la vérité à votre prochain, car nous sommes membres les uns des autres. Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas. Que le soleil ne se couche pas sur votre colère, Que celui qui volait cesse de voler; qu'il se donne plutôt la peine de travailler honnêtement de ses [propres] mains pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin. Qu'aucune parole malsaine ne sorte de votre bouche, mais seulement de bonnes paroles qui, en fonction des besoins, servent à l’édification et transmettent une grâce à ceux qui les entendent. N'attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été marqués d’une empreinte pour le jour de la libération. Que toute amertume, toute fureur, toute colère, tout éclat de voix, toute calomnie et toute forme de méchanceté disparaissent du milieu de vous. Soyez bons et pleins de compassion les uns envers les autres; pardonnez-vous réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ.»

‭‭Ephésiens‬ ‭4:25-26, 28-32‬ ‭S21‬‬

https://bible.com/bible/152/eph.4.25-32.S21

Hébreux 20

HÉBREUX 20
JACQUES COLANT
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