05 août 2022

174 RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS : MYTHE OU REVELATION ?

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RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS :

MYTHE OU REVELATION ?


DEFINITION


« Un mythe est une construction imaginaire qui se veut expliquer des phénomènes cosmiques ou sociaux et surtout fondatrice d'une pratique sociale en fonction des valeurs fondamentales d'une communauté à la recherche de sa cohésion. Il est porté à l'origine par une tradition orale, qui propose une explication pour certains aspects fondamentaux du monde et de la société qui a forgé ou qui véhicule ces mythes :

•la création du monde (cosmogonie) ;

•les phénomènes naturels ;

•le statut de l'être humain, et notamment ses rapports avec le divin, avec la nature, avec les autres individus (d'un autre sexe, d'un autre groupe) ;

•la genèse d'une société humaine et ses relations avec les autres sociétés.

L'étude des mythes est la mythologie. La mythification est l'action ou le processus par lequel l'historiographie, la production artistique ou les représentations populaires considèrent, interprètent ou transforment un personnage ou un épisode historique en un mythe.

Le terme mythe est souvent employé pour désigner une croyance manifestement erronée au premier abord, mais qui peut se rapporter à des éléments concrets exprimés de façon symbolique et partagée par un nombre significatif de personnes. Il met souvent en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine.

Le mythe (qui se veut explicatif en se fondant sur des constructions imaginaires) se distingue de la légende (qui suppose quelques faits historiques identifiables), du conte (qui se veut inventif sans expliquer), et du roman (qui "explique" avec peu de fondements). Ces quatre types de récits fictifs sont parfois confondus » Wikipédia.

INTRODUCTION


Le mythe, une construction imaginaire, veut transmettre une connaissance pour tenter de se rapprocher d'une réalité se voulant plus ou moins objective mais reste en fait toujours partiale, partielle et relative voire carrément fausse. 

Son caractère de construction imaginaire le définit comme venant de celui qui imagine, c'est à dire qui se fait une image propre qui devient au bout compte une création humaine pouvant même être l'objet d'une forme d'idolâtrie.  

Le mythe à caractère « religieux », une croyance, s'apparente entre autres à la gnose combattue dans la Bible (cf. Nicolaïtes ; Apocalypse 2:6)  englobant un mix d'ésotérismes, de cultes à mystères, de magie, des superstitions etc... bref, un peu les ancêtres du New Age. 

Par contre la Révélation biblique, qui n'est pas par définition une construction imaginaire, relève de l'ordre du rapport personnel réel et vrai de la confiance et/ou de foi en YHWH ELoHiM, le Véritable que L'on aura préalablement effectivement et réellement rencontré d'une façon ou d'une autre.

 

1. La Rencontre personnelle réelle avec YHWH ELoHiM, base de la Révélation


La confiance/foi en YHWH ELoHiM est basée sur une rencontre véritable, personnelle, esprie, âme et corps, un fait non imaginaire, avec Celui qui Se révèle ou se dévoile. Un témoignage authentique relatif à cette rencontre devient possible parce qu'il s'agit justement d'un fait réel et non du fruit d'une imagination quelconque. 

L'objectivité, la réalité, la vérité d'une Rencontre non relative, sont par conséquent du domaine de la Révélation bannissant le mystère, l'imaginaire, la magie, la croyance, les divers systèmes de pensée ne pouvant, voire ne voulant se dégager du relativisme spatio-temporel de toute manière incontournable.

Quand par exemple un homme rencontre une femme ou vice versa et que cela aboutisse au mariage, à la fondation d'une famille suite à la Révélation de l'amour mutuel esprie, âme et corps, il n'y a plus d'imaginaire mythique, de croyance mais la confiance réciproque, la réalité de la durée de la vie à deux, et plus s'il y a des enfants, qui, eux, sont loin d'être imaginaires car ils se chargent de nous le rappeler vigoureusement s'il le faut... !

Adam et Eve créés comme tels pour se rencontrer et vivre ensemble, avec l'ordre d'avoir une descendance, révèlent, dans cet ordre d'idées, de quelle nature doit être la Révélation à l'homme de YHWH ELoHiM, notre Père, notre Mère (Esprie Sainte) et notre Epoux (Jésus-Christ) divins par la Rencontre. 

L'imaginaire mythique essaye de signifier un « invisible » à partir du matériel visible, immanent. C'est pourquoi il fut, est et restera toujours voué à l'échec parce que dépendant de l'imaginaire futile des modes religieuses, de pensées, de cultures, d'habitudes diverses liés à l'espace-matière-temps, donc évolutifs et par conséquent relatifs. D'ailleurs, ne dit-on pas que ce qui semble vrai aujourd'hui ne le sera pas obligatoirement demain.

La Révélation biblique, dont particulièrement le livre de l'Apocalypse, se veut au contraire de signifier un « invisible » A PARTIR du céleste divin, à partir d'En-Haut, à partir de YHWH ELoHiM non lié à l'espace-matière-temps mais d’Éternité et de Gloire.

C'est pourquoi seule la Révélation biblique est en capacité de rétablir l'UN archétypique d'avant la chute de l'homme initial à l'image, à la ressemblance à l'UN, le CREATEUR divin YHWH ELoHiM (Romains 8:19+23) dont il dépend totalement en tant que CREATURE. 

L'invisible céleste divin et l'actuel espace-matière-temps libéré de la « servitude de la corruption » par sa transformation en Eternité, Lumière céleste et Gloire (Romains 8 :19-23), redeviennent à leur tour UN, harmonieux, de par la Révélation qui est la Rencontre des deux. 

La Révélation, de par cette métamorphose, dévoile, révèle justement ce qui est actuellement invisible, caché et mystérieux. L'espace-matière-temps est en effet par nature en incapacité ontologique de s'adapter au céleste-divin sans être préalablement transformé ou métamorphosé voire au bout du compte même recréé (Apocalypse 20:11 ; 21:1). 

Il en est de même de l'être humain. C'est pourquoi, naturellement, il génère le mythe à partir d'éléments de l'espace-matière-temps pour s'essayer au dépassement vers le Tout Autre, Dieu dont il sait consciemment ou inconsciemment qu'Il est existentiellement nécessaire, mais en vain. 

Seule la Rencontre personnelle révélatrice avec YHWH ELoHiM initiée par Lui et acceptée par l'être humain, engendrant la Révélation, peut unir Réalité et Vérité.


2. De l'interprétation mythique des textes bibliques à la Révélation


Pour paraître « sérieuses », raisonnables, crédibles, nombreuses sont les exégèses religieuses qui se réfugient dans le mythe symbolique pour ne pas dire la légende, le conte et sa structure, très largement réducteurs pour aborder certains textes bibliques. Les textes de création et surtout celui de l'Apocalypse sont particulièrement concernés par cette critique historique. 

Pourtant ces textes sont fondés sur des témoignages de rencontres préalables de leurs auteurs avec YHWH ELoHiM. Il leur a parlé, montré en clair, révélé, notamment à Moïse et à Jean, respectivement le début et la fin réels de l'Histoire. Nombreuses sont d'ailleurs les récentes études scientifiques sérieuses de diverses disciplines qui se rapprochent merveilleusement du texte biblique.

Le mythe non fondamentalement historique mais imaginaire est attribué par ladite critique historique aux textes au premier abord invraisemblables. 

Les textes bibliques, Parole écrite vraie de Dieu, ne sont pas le fruit de l'imaginaire mythique de tel ou tel supposé auteur mais bien le fruit de rencontres personnelles avec YHWH ELoHiM communiquant Sa Parole et la faisant vivre par des expériences révélatrices, réelles et concrètes dépassant toute intelligence (Cf. Ephésiens 4:18 ; Philippiens 4:7). La réduction mythique n'est plus envisageable au nom d'une soi-disant critique historique d'ailleurs très évolutive et relative mais est hors sujet, hors du thème biblique pour ne pas dire « anathème ».

Nos systèmes de pensées et d'interprétations fruits de connaissances partielles donc partiales doivent être radicalement transformés, métamorphosés par la Révélation du « face à face » de la Rencontre qui seule peut prétendre à la globalité de la Vérité ! (Cf. 1 Corinthiens 13:9-12).

De plus la Révélation englobe notre transformation et notre métamorphose notamment corporelle parce que visible, objective impliquant la montée réelle dans l'environnement céleste pour pouvoir pleinement recevoir la globalité de la Vérité. Il s'agit de la « ré-union » de la Réalité avec la Vérité en ce qui concerne nos personnes, esprie, âme et corps ré-unis.

Quand on est En-Haut dans la Rencontre et la Révélation « on sait », on « voit », on « connaît », on « entend et comprend » parfaitement. 

Changer d'environnement esprie, âme et corps change toujours la « façon de voir et de comprendre les choses » ! C'est déjà un peu vrai ici-bas quand on change d'endroit (« le voyage forme la jeunesse ») et c'est d'autant plus vrai de par la montée dans le merveilleux environnement d'En-Haut. 

Comme les textes bibliques viennent d'En-Haut, seul l'environnement d'En-Haut nous permet de les aborder avec une totale justesse. Ce qui nous paraît encore inextricable en-bas devient alors clair comme l'eau de roche En-Haut ! Les « voiles » du mythe, du symbolisme, de la légende, du conte, du roman ne peuvent en aucun cas trouver leur place dans l'herméneutique biblique. 

Les paraboles utilisées par Jésus entre autres (parabolè : parabole, comparaison, juxtaposition, rapprochement, rencontre, projection ; MaSCHaL : parabole, sagesse, proverbe, sentence) n'ont rien à voir avec le mythe. Elles sont un rapprochement, une rencontre, une sagesse, une projection lumineuse éclairant la Vérité, un chemin balisé qui doivent ouvrir la voie à la Révélation claire et nette de l'UN dans le Plérôme du tout en tous. 

Nombreuses sont par exemple les paraboles de Jésus qui devaient aboutir à la Révélation de Sa Personne (Marc 12:1-12 ; cf. aussi Apocalypse 1:1 ; 19:10), de qui Il était, à l'époque dans le cadre de Ses Rencontres avec Ses auditeurs et plus particulièrement celles avec Ses disciples !

Sans Révélation pas d'interprétation juste du texte biblique, Parole écrite inspirée de Dieu, Vérité divine écrite (2 Timothée 3:16). La Révélation est le moyen de Dieu pour « submerger » la Réalité par la Vérité (Cf. Esaïe 11:9 ; Habakuk 2:14).


3. Les effets du mythe dans les religions chrétiennes


Le mythe religieux, une construction imaginaire, rappelons-le, fonde par définition la séparation fondamentale entre l'invisible céleste, divin et le visible matériel-temporel, le spirituel et le temporel, le sacré et le profane, l'élite religieuse et le commun des mortels, l'âme-esprie (invisible) et le corps (visible), l'essence et la substance tangible, la vérité et la réalité. Bref, il s'agit de la division fondamentale, du tohu-bohu par l'instauration du « voile » séparateur obscurcissant du désordre. 

Le spiritualisme issu principalement de la philosophie grecque en est un aspect. Il a largement infesté les enseignements chrétiens et littéralement créé la religion chrétienne. 

La religion veut par le mythe signifier un « spirituel » mais à partir du terrestre donc automatiquement d'un imaginaire voilé très souvent réservé à des initiés. Il ne peut se construire qu'à partir de l'immanent, de soi et au-delà du Royaume des ténèbres. 

La religion veut certes par définition « relier » (du latin religare) l’être humain à Dieu mais pour ce faire, elle met en place un système où elle lie, crée des liens religieux pour soi-disant essayer de permettre l'accession à Dieu. La religion part toujours de l'immanent, vu qu'il s'agit d'une construction imaginaire de l'homme et pas du céleste, exactement comme le mythe imaginaire religieux symbolique. 

La religion infestée par le mythe engendre de la sorte d'infinis symboles accompagnés de rituels, une culture religieuse, pour essayer de fédérer un maximum d'adeptes s'identifiant à ces croyances et pratiques.

Mais malheureusement on reste toujours enfermé dans des constructions imaginaires religieuses. Elles ont entre autres engendré des constructions de beaux bâtiments avec leurs clochers, tours et autres constructions-œuvres en tous genres se voulant chargées de symboles, de mythes et de légendes dans le but d'atteindre le ciel, s’élever à Dieu à partir de la terre, de l'immanence.

Pensons à la tour de Babel (cf. clochers) où les hommes voulaient eux aussi se regrouper pour atteindre à partir d'en-bas le ciel et même le conquérir par la religion, la sorcellerie et la magie pratiquées au sommet de ladite tour !!!

Ainsi la religion se situe très exactement dans la démarche inverse de celle de la Révélation qui vient au contraire de YHWH ELoHiM Lui-même, d'En-Haut.


4. Le mythe implique l'impersonnalisme existentiel religieux


Le mythe est fondamentalement impersonnel puisqu'il est une construction imaginaire dont les généralités relativistes suppriment automatiquement le côté personnel, individualisé ou de personne à personne. 

La rencontre personnelle réelle avec le Tout Autre et l'environnement tout autre céleste, glorieux véritable n'est, de ce fait, pas préconisée. Pour preuve, il ne tient pas compte de qui est Dieu le Véritable, de Sa Sainteté existentielle d'Amour indispensable parce que Créateur parfait (Cf. Apocalypse 3:14) de la vraie Vie de plénitude que l'on découvre lors de cette Rencontre personnelle. 

Par là le mythe ne préconise pas la repentance profonde et réelle de l'homme devenu imparfait, mauvais et pécheur par le péché, la chute, libre choix au départ effectué par le couple initial Adam et Eve. Leur histoire est d'ailleurs souvent considérée comme un mythe, ce qui lui ôte toute crédibilité et sérieux. Ainsi la grâce, le pardon, le sacrifice expiatoire total de Jésus, la rédemption n'ont plus lieu d'être ou alors au mieux relèvent aussi du mythe religieux. Nous ne parlons même pas de la Résurrection récupérée comme mythe peut-être sympathique mais tellement étrangère au « raisonnable » (Cf. 1 Corinthiens 15:12 -18).

L'impersonnalisme existentiel de par ces glissements vers le mythe, enlève tout crédit à la nécessité d'une rencontre personnelle directe d'amour, de repentance et de pardon incluant l'ensemble de l'être humain et notamment le corps. Les constructions imaginaires, les images, les symboles veulent faire des adeptes mais dans le cadre d'un impersonnalisme existentiel religieux. 

Pour illustrer notre propos : dans les médias vous pouvez voir l'image souvent trafiquée (cf. symbole) d'une personnalité politique, du sport, du show-biz ou autre et les infos souvent « mythiques » l'entourant. On croit connaître ladite personne alors que l’on ne connaît que son image et celle qu'elle veut donner d'elle ou qu'on veut donner d'elle. Seule une rencontre personnelle physique et un vécu commun permettraient de mieux la connaître réellement. La religion fait un peu pareil avec Dieu et notamment avec Christ.

La notion de rédemption totale esprie-âme-corps n'est pas nécessaire pour le mythe religieux à couleur chrétienne, restant malgré lui, même « à son corps défendant », une construction imaginaire, d'image, par définition toujours voilée et obscure.

Le « chrétien » doit avoir une certaine image de Dieu correspondant à celle que la dénomination religieuse veut véhiculer à travers le mythe et les symbolismes qu'elle met en avant. Pour maintenir l'autorité du mythe, la réalité, notamment un corps mortel déchu, malvoyant, ne doit surtout pas rejoindre la Lumière de la Vérité du salut total à savoir un corps glorieux, métamorphosé, monté pour justement y voir clair (Cf. Apocalypse 3:17-18). 

Apocalypse 13:11-18, lors du règne de l'Anti[é]-Christ, illustre bien comment la religion satanique utilisera l'image et le symbole. Cette religion totalitaire anti-christique sera mise en place par l'imitation bestiale diabolique de l'Esprie Sainte présentant l'imitation bestiale diabolique du Christ dont l'image sera à adorer : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque (cf. symbole, signe) sur leur main droite ou sur leur front et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Le mythe religieux symbolique d'origine diabolique sépare, divise le corps de l'esprie-âme comme la religion infestée par le spiritualisme mensonger. De par cette division, la mort et la perte de l'homme sont inéluctables (Cf. diabolos : Diviseur).

Cette division mortelle comprend l'impersonnalisme religieux qui ne peut comporter la Réconciliation du soi de l'homme avec lui-même, non seulement avec son corps mais aussi avec son être intérieur, ni avec son prochain, ni avec Dieu puisqu'il ne peut Le rejoindre réellement par la Montée ou la glorieuse Rencontre personnelle totalement salvatrice à la Salle du Trône. 

Le mythe même à couleur chrétienne ignore cette rédemption totale excluant le salut du corps par la métamorphose opérée par l'Esprie Sainte (Jean 3:5ss ; 6:63 ; 2 Corinthiens 3:18)) qui permet la Révélation suite à la Rencontre accompagnée par la suppression totale du mythe et du symbole religieux. Sans Révélation suite à la Rencontre, il ne peut y avoir que le glacial impersonnalisme religieux totalitaire, anti-christique mensonger par nature totalement opposé à la Réconciliation et à la Rencontre. 

Ainsi la religion chrétienne, avec ses infinies dénominations donc divisions, est mythe avec ses solutions imaginaires, ses symboles et ses rituels indiquant de faux chemins du salut aboutissant à des impasses terribles qui ne disent évidemment pas leur nom. 

L'impersonnalisme religieux aboutit inexorablement au terrible « Je ne vous connais pas » puisqu'il n'y avait pas eu les conditions de Rencontre réelle personnelle de Connaissance notamment physique de gloire avec Jésus, l’Époux (Cf. Vierges folles ; Matthieu 25:12 par ex.). 

La Rencontre, la Révélation et la Connaissance personnelles existentielles ne peuvent qu'aboutir au merveilleux « Je vous connais » (Jean 13:18 par ex.) carrément aux antipodes du mythe chrétien religieux trompeur, diviseur et meurtrier.

Conclusion


Mythe ou Révélation ? Jésus avait un discours radical et surtout lorsqu’Il apparut à l'Apôtre Jean. A chaque introduction des lettres destinées aux sept églises Il trouvait nécessaire de S'identifier comme le Glorieux, Dieu, le Guerrier, le Fils de Dieu, Celui qui a la Plénitude de l'Esprie, le Saint et le Véritable, pour donner davantage d'Autorité, de Réalité et de Vérité à Ses Paroles. 

Il ne voulait surtout pas être « mythologisé », ni « symbolisé » et voulait arracher les églises à l'emprise du mythe religieux par la Révélation en se présentant justement comme la Révélation ! 

Il voulait que la Rencontre réelle et véritable avec Lui ait lieu au Ciel, dans l'Immortalité, dans l’Identité nouvelle glorieuse, dans l'exercice de la Puissance et de l'Autorité sur les nations, dans la Pureté, dans le Temple céleste et sur le Trône. 

Si cette Rencontre n'est pas prônée, crue et n'a pas lieu, nous sommes clairement dans le Mythe religieux chrétien. 

Si elle est prônée, crue et a lieu, nous sommes clairement dans la Réalité métamorphosée apocalyptique de la Révélation UNE avec la Vérité de Gloire caractérisant la « 8ème Eglise » ou l'Eglise des Vainqueurs assise dans les lieux célestes parce que réellement montée sur Trône (Apocalypse 3:21) !




En Jésus, Martin BUSCH


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