Chers bien-aimés,
Par la grâce de Dieu, j’ai reçu de notre Seigneur Jésus-Christ de vous décrire certaines de ses œuvres vécues en partenariat avec des bien-aimés qui se sont rendus utilisables en suivant le conseil du Saint-Esprit, sans concertation humaine.
N’ayant aucune connaissance du contenu de la Bible, lorsque Jésus entré dans ma vie, par Sa divine puissance je e suis retrouvé le corps allongé comme mort ; cela a duré plus de 15 minutes pendant lesquelles j’ai vu le sang qui coulait de chaque côté de l’autel formé de pierres qui n’avait pas été taillées par la main de l’homme, et par trois fois j’ai pu entendre la voix de Dieu : « Je te purifie ! »
En effet, le lendemain matin, à mon réveil, l’odeur du tabagisme, de la nicotine avait quitté mon corps.
Mais ce soir-là, tandis que me relevant, un genou au sol, au milieu de la petite assemblée de 20 personnes environ, regardant sur ma gauche le jeune pasteur Jean-Michel Pannier qui venait de prier pour moi, et on épouse Danièle qui chantait des chants de reconnaissance à Dieu, sans retenue je Lui ai exprimé ma première requête :
« Dieu, donne-moi du travail pour que je sois en mesure de payer cet homme, il sait parler ton message, moi je ne le sais pas encore. Mais cet homme doit faire entendre ton message à tous ceux-là au dehors qui sont morts dans les sépulcres blanchis. »
Je venais de me rendre utilisable pour l’ouvrage dans la moisson d’âmes.
Trois jours après cette première requête, une enveloppe était glissée sous la porte de notre habitation. Aucune adresse d’expéditeur, simplement mon nom et mon prénom, et un petit courrier m’invitant à me présenter dans une entreprise de bâtiments comme chauffeur poids lourd. Mystère jusqu’à ce jour, j’ignore qui de la terre a eu mission de m’apporter ce courrier. Je n’étais pas inscrit à l’ANPE !
Sans aucun doute, le service du ministère du Corps de Christ ne reste dans la passivité ! C’est ce que j’ai retenu.
Et j’ai été retenu dans cette entreprise. Inutile de vous dire, qu’au-delà du patron de l’entreprise, j’étais convaincu qu’il y avait plus élevé que lui sur mon travail. Jésus était mon Grand Pasteur, et moi son ouvrier.
En me rendant utilisable, je l’étais dans tous les domaines, à commencer dans la gestion de nos finances. Dimes et offrandes se résumaient en un seul mot : « Libéralité ! » ce qui veut dire surtout plus.
Nous étions devenus Michelle et moi des co-ouvriers de Christ avec Jean-Michel et Danièle.
En Jésus,
Son serviteur,
Yves Gravet