30 janvier 2012

Nouveau mode de mise en pratique de l'Alliance Biblique ?


INTRODUCTION :
L’alliance chrétienne est basée sur la mort et la résurrection du Seigneur Jésus-Christ. Son mode de mise en pratique et de vécu au niveau de l’Eglise est le Baptême d’eau ou Immersion dans l’eau et la Ste Cène sous forme de pain et de vin. La question qui se pose à nous et qui se pose depuis que le Seigneur Jésus-Christ glorieux Lui-même s’est révélé à l’Apôtre Jean est de savoir si les modes de pratique du baptême et de la Cène sont toujours d’actualité ou si le Seigneur n’a pas institué un nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance dans Sa souveraineté.

1. La mort et la résurrection de Jésus-Christ  est à la base de tous les modes de mises en pratique et de vécu de l’Alliance après la chute d’Adam et d’Eve :
La première mention de ce que Jésus-Christ allait accomplir et a accompli se trouve en Genèse 3 : 15 après la chute : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête et tu lui blesseras le talon.» La croix est la blessure du talon de la postérité par le serpent et elle est suivie de la résurrection qui est l’écrasement de la tête du serpent.
En Melchisédek (Hébreux 6-8), Jésus-Christ, le sacrificateur par excellence, tous les modes de pratique d’Alliance contenus dans l’Ancien Testament sont « inclus » dans le sacrifice de la croix.
La Loi qui régit les modalités de l’ancienne alliance « possède une ombre des choses à venir et non l’exacte représentation des chosesne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection » (Hébreux 10 : 1). « Que personne donc ne vous juge au sujet du manger et du boire ou au sujet d’une fêtes, d’une nouvelle lune ou des sabbats : c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ » (Colossiens 2 :17). Ici le « corps », la réalité représente, Christ devenu homme, Christ crucifié, Christ ressuscité et glorieux et l’Eglise, Corps de Christ.
 Colossiens 1 : 17 nous conduit à la même conclusion : « Il est avant toutes choses et toutes choses subsistent en Lui ».
C’est pourquoi Jésus est allé prêcher aux esprits en prison après avoir été mis à mort quant à la chair. L’Evangile a été prêché aux morts par Jésus. (1Pierre 3 : 19 et 4 : 6). Par ailleurs Il tient les clés du séjour des morts (Apocalypse 1 : 18c). Cela signifie que le Seigneur Jésus-Christ, porteur de la véritable alliance parfaite pour tous les temps, apporte l’Evangile, la Bonne Nouvelle de Sa victoire aux morts qui se trouvent dans le séjour des morts et qui sont morts avant l’accomplissement de la Bonne Nouvelle par Son acte rédempteur sur la croix confirmé par Sa résurrection glorieuse.
Avant cet événement central et capital, Dieu avait institué deux modes de pratique de l’Alliance qui avaient une valeur provisoire, pédagogique et ne représentait que « l’ombre des choses à venir ». Les sacrifices avant la croix devaient toujours être renouvelés et n’étaient validés que dans l’accomplissement du sacrifice suprême parfait de l’Agneau sans taches, c'est-à-dire de Jésus parfait et sans péché. C’est le seul sacrifice valable aux yeux du Dieu parfait et juste. Jésus « est mort et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes » (Romains 6 : 10). En l’acte rédempteur de Jésus tout est central, tout est accompli une fois pour toutes.

2. Après la chute, comment les choses évoluèrent-elles ? :
«L’Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau et il les en revêtit » (Genèse 3 : 21)
Pour que  Dieu puisse faire des habits de peau, Il dut sacrifier un ou plusieurs animaux. Il fallait couvrir la nudité d’Adam et d’Eve parce que leurs corps glorieux de feu et de lumière prévus pour l’éternité étaient entachés du péché et de ténèbres. Il fallait que la tache de leur péché sur leur corps soit couverte pour qu’ils puissent simplement subsister, survivre devant Dieu. Le corps et le sang à présent pollués qui avant, étaient vie totale et parfaite à savoir feu et lumière devaient être « mis à l’ombre », enveloppé par une peau. Nous constatons que l’âge des premiers hommes après la chute, devaient avoir une constitution extraordinaire notamment du sang d’une qualité exceptionnelle (cf. Lévitique 17 :11 et 14 : « L’âme (ou l’être ou la vie ou la psychè en grec ou la nephech en hébreu) de la chair est dans le sang…car l’âme de toute chair c’est son sang ») :
800 – 900 ans (Genèse 5 : 1ss.) qui furent réduits à 120 ans (Genèse 6 :3) puis à ….70 – 80 ans (Psaume 90 : 10). L’homme chassé de la proximité d’avec Dieu s’en éloigna progressivement. Au début Dieu parlait de façon audible et très directe avec Caïn comme deux êtres humains peuvent le faire aujourd’hui. A partir de Genèse 4 : 26 fut introduite la prière qui n’est plus une conversation directe avec Dieu comme avant. La dégradation du corps de l’être humain allait de pair avec son éloignement de Dieu.
L’histoire de Caïn et d’Abel montre qu’il fallait sacrifier des animaux pour faire une offrande agréable à Dieu. Dieu ne porta pas un regard favorable sur l’offrande des fruits de la terre de Caïn. (Genèse 4 : 1-5). Il fallait en effet que le sang coule. Pour toute assassinat le sang devait couler (Genèse 9 : 1ss).
Noé, pour remercier Dieu de l’avoir sauvé avec sa famille du déluge sacrifia des « bêtes pures ». Dieu parla à Noé avec lequel il avait fait une Alliance.

3. Le sacrifice d’animaux pour s’approcher de Dieu :
Le sacrifice  d’animaux est à présent le premier mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance. Noé suivi d’Abraham (Genèse 15 : 9) pratiquèrent les sacrifices d’animaux. Dieu fit alliance par Sa Parole, Ses promesses et ses instructions spécifiques avec Noé (Genèse 9 : 9) et Abraham (Genèse 15 : 18) et avec tous les hommes en relation avec Lui par la suite. L’histoire du sacrifice d’Isaac montre qu’il n’était pas hors de question de pratiquer le sacrifice humain dans le contexte de l’époque. (Genèse 22 : 1ss.). Bref il fallait que le sang coule en vue de la rémission des péchés et aussi pour pouvoir entrer en contact avec Dieu. Pour ce faire, il fallait qu’il y ait substitution par le sacrifice d’un être vivant. Dans le cadre de l’histoire et de la durée, il fallait un renouvellement constant des sacrifices.
Plus tard le sacrifice de l’agneau pascal précédant la sortie d’Egypte avec Moïse (Exode 12 :1ss) introduisit tout un système sacrificiel relativement complexe avec les sacrificateurs et les prêtres devant le tabernacle puis plus tard dans le Temple.  Le second mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance était institué. Le cérémoniel avec les objets symboliques s’est aussi largement amplifié. Mais tout cela n’était qu’une « ombre des choses à venir » et, comme nous l’avons dit plus haut, ne trouvait validité que dans le sacrifice de Jésus-Christ Lui-même étant intervenu plus tard.

4. Le sacrifice de Jésus-Christ introduit un nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance.
Le système sacrificiel était provisoirement valable jusqu’à la croix et la résurrection. Au moment de la mort de Jésus sur la croix, le voile du Temple se déchira (Matthieu 27 : 51). L’accès à Dieu, dans le Lieu très saint ou Saint des Saints est rétabli. L’accès au Paradis est ouvert.
Le baptême d’eau (Romains 6 : 1ss) dans la conformité à la mort et à la résurrection de Jésus est établi. La St Cène (Matthieu 26 : 26ss ; Marc 14 : 22-25 ; Luc 22 : 15-20 ; 1 Corinthiens 11 : 23-25), où dans la tradition juive de la fête de Pâques, le pain devient le symbole (réformés, évangéliques) du corps de Jésus et le vin celui du sang de Jésus.
Pour d’autres il ne s’agit pas simplement d’un symbole mais de la réalité du corps et du sang du Christ via la transsubstantiation (catholiques romains) et/ou la consubstantiation (luthériens).
Jésus-Christ Lui-même dans Sa souveraineté ordonna le baptême comme la Cène à Ses disciples (Matthieu 28 :19 et Matthieu 26 : 26ss). Bien entendu à ce mode de mise en pratique et de vécu s’ajoute « le contrat » ou les paroles, les instructions et les promesses de Dieu.
A la naissance de l’église à la Pentecôte, le baptême après la repentance fut ordonné par Pierre (Actes 2 : 38) et les chrétiens « rompaient le pain » c’est à dire célébraient la Ste Cène dans les maisons (Actes 2 : 46b). A présent, pour s’identifier à Jésus-Christ et à l’accomplissement total du salut dans Sa mort et Sa résurrection, on pratiquait le baptême en tant que rite d’intronisation dans l’église confirmant la repentance et l’acceptation de l’Evangile de Jésus-Christ préalablement.
Par la Ste Cène ou l’Eucharistie, on mange symboliquement le corps de Jésus et on boit symboliquement le sang de Jésus en mémoire de Lui et on annonce Sa mort jusqu’à ce qu’il vienne (1Corinthiens 11 : 25ss). Voici donc le nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance (baptême et Ste Cène) basée sur la croix et la résurrection du Seigneur Jésus-Christ.
D’ailleurs en 70, avec la destruction du Temple de Jérusalem, s’arrêta le système sacrificiel juif. L’ancien mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance s’arrêta alors que le nouveau mode était déjà en vigueur et pratiqué.

5. Jésus-Christ dans Sa Souveraineté introduit-Il un nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance dans le livre de l’Apocalypse ou Révélation ?
Si ce n’est pas le cas, il faudrait que nous arrêtions ici notre propos. Nous resterions dans le discours jusqu’alors connu des églises chrétiennes.
Si c’est le cas, le mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance est renouvelé au moment où le Seigneur Jésus-Christ est apparu à l’Apôtre Jean sur l’île de Patmos.
Deux passages seraient à la base de ce nouveau mode pratique :
Apocalypse 1 : 17ss : « Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant : ne crains point ! Je suis le premier et le dernier et le vivant. J’étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. »
Ce premier texte est à mettre en rapport avec le discours baptismal de Romains 6 : 3ss : « Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit pour que nous ne soyons plus esclaves du péché. »
Le baptême c’est mourir en conformité avec Sa mort et ressusciter en conformité avec Sa résurrection. Le fait d’être baptisé, plongé, immergé dans l’eau, signifie cette mort et le fait d’en ressortir signifie la résurrection. Il s’agit d’un acte symbolique c'est-à-dire un acte où la réalité spirituelle et/ou céleste d’une part et la réalité matérielle (corps) d’autre part sont mis ensemble (symballo en grec : « jetés ensemble ») pour signifier que par cet acte on appartient à Dieu et que l’on fait partie de l’Eglise Son corps d’une façon « juridiquement garantie ». Tout cela pourrait nous satisfaire bibliquement et théologiquement et on pourrait en rester là comme ce fut le cas depuis environ 2000 ans.
Toutefois, dans sa souveraineté, Dieu, le Seigneur Jésus-Christ glorieux, étant apparu à Jean l’Apôtre, lui a fait vivre un baptême d’un genre nouveau.
En Exode 33 : 20 il est écrit que l’homme ne peut voir Dieu et vivre. D’ailleurs Jean a vu Dieu en Jésus-Christ glorieux et était « comme mort ». Jésus glorieux a posé Sa main droite sur lui et lui donna une mission.
En Apocalypse 4 : 2, il pourra voir le Père. Jean dans la gloire était comme mort, mais Jésus lui donna la capacité d’écrire ou tout au moins d’écouter attentivement donc d’être relevé à un moment ou à un autre. Le discours de Jésus-Christ glorieux fut les lettres aux sept églises, c'est-à-dire un long discours, jusqu’au moment où Jean put monter dans la salle du trône et voir. L’homme de chair naturel ne peut voir Dieu. Jean l’a pu parce que son corps avait été transformé (métamorphoo en grec aussi traduit par transfiguration) de gloire en gloire (2 Corinthiens 3 : 18). Sinon il n’aurait pas pu « contempler » Dieu et subsister devant Lui dans la salle du trône et même avant devant Jésus-Christ glorifié.
Les paroles, les instructions et les promesses liées à ce nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance sont le discours relatif aux sept églises. On passe du symbolique au céleste ou spirituel réel. Le contenu des lettres aux sept églises veut clairement amener les chrétiens à cette réalité. Jean était comme mort conformément à la mort de Jésus et s’est relevé pour être métamorphosé, longuement écouter et écrire puis monter au ciel dans la salle du trône conformément à la résurrection et la glorification de Jésus. Il s’agit du baptême de gloire (gloire signifie présence réelle, effective de Dieu) voulu et institué par Jésus Lui-même, d’un nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance basée sur la mort et la résurrection de Jésus ! La gloire ou la présence réelle de Jésus glorieux est un bain de régénération (nouvelle génération, nouveaux gènes, nouvelle naissance), de mort réelle du vieux corps mortel pollué par le péché, la maladie et le vieillissement suivi d’une résurrection d’un nouveau corps métamorphosé, transformé et transfiguré.
Le second texte, à savoir Apocalypse 3 : 20 : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. », est le nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance lié à la Ste Cène. Ici il s’agit de la présence réelle de Jésus qui partage le saint repas avec le chrétien. Il mange alors qu’Il disait qu’il ne mangerait plus du fruit de la vigne jusqu’à son retour et/ou dans le Royaume de Son Père (Matthieu 26 :29). Paul dit aussi qu’en mangeant le pain (corps de Jésus) et en buvant le vin (sang de Jésus) on annonçait la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne (1Corinthiens 11 : 26).
Nous savons que le Seigneur Jésus n’est pas encore revenu en gloire à la vue de tous les hommes. Mais il est revenu en gloire à la vue des siens notamment pour l’Apôtre Jean et même avant pour 500 chrétiens à la fois ! (1 Corinthiens 15 : 6). Toutefois cette dernière apparition aux 500 n’est pas le « retour » dont Jésus parlait quand Il disait de Jean : « Si je veux qu’il demeure jusqu’à je vienne ? » Jean est effectivement resté en vie pendant le retour en gloire de Jésus prévu pour Son église et les Siens.
Jésus dit aussi : « Je vous le dis en vérité, quelques uns de ceux qui sont ici ne mourront point qu’ils n’aient vu le Fils de l’homme venir dans son règne ». (Matthieu 16 : 28 ; cf aussi : Marc 9 :1 ; Luc 9 : 27). En fait il ne s’agit pas dans ce cas de Son retour en vue de l’enlèvement (1 Thessaloniciens 4 : 16-17), ni du retour « avec les nuées »  visible de « toutes les tribus de la terre » (Apocalypse 1 : 7 et Apocalypse 19 :11ss pour le millénium). Le retour de Jésus glorieux pour Jean et pour l’église est à considérer comme un retour différent qui correspond à celui que Jésus indiquait dans les évangiles.
Jésus revient vers les Siens pour souper c'est-à-dire manger et boire avec celui ou celle qui Lui ouvre la porte, c’est celui ou celle qui accepte de le laisser « revenir » et entrer en gloire chez lui et le cas échéant dans son église.
Que mange-t-on pendant ce souper ? Les ingrédients célestes du corps de Jésus sont au menu. Il a dit « …mon Père vous donne le vrai pain du ciel ; car le pain de Dieu c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde…..Je suis le pain de vie…celui qui en mange ne meurt point…Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jean 6 : 32ss et 48ss).
Par ailleurs, si nous voyons en quoi Jésus glorieux est fait  nous lisons : « … ses yeux étaient comme une flamme de feu ; ses pieds semblables à de l’airain ardent, comme s’il eut été embrasé dans une fournaise…son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force. » Nous absorbons pendant ce repas le feu divin, la chaleur divine, la lumière divine du corps de Jésus qui est le pain du ciel. Il nous accorde l’immortalité. Jésus nous revêt de vêtements blancs et d’or et nous applique un collyre pour les yeux pour voir notamment les choses célestes (Apocalypse 3 : 18 ss). Il veut nous rendre bouillants, brûlants au vrai sens du terme par ce repas. Voilà la véritable Ste Cène qu’Il a lui-même instituée pour notre métamorphose ou transfiguration. De surcroît Il veut que nous « demeurions » en Lui, qu’Il devienne notre « arche » de feu et de gloire. (Jean 15 : 4,7 ;  17 : 20ss ; 1 Jean 2 : 27,28 ainsi que tous les autres passages où nous sommes invités à être EN Christ).
Toujours basé sur la mort et la résurrection de Jésus-Christ, voici le nouveau mode mise en pratique et de vécu de l’unique Alliance une et indivisible. Le Baptême de gloire et la Ste Cène de gloire étaient prévus et institués environ depuis l’an 95 de notre ère (date de rédaction du livre de l’Apocalypse ou Révélation par Jean). Mais l’église n’a pas reçu ce nouveau mode de mise en pratique et de vécu. L’histoire de l’église nous montre les désastres que cela a entraînés.
Aujourd’hui si tu entends Sa voix, si tu te repens, si tu Lui ouvres ta porte alors tu seras baptisé dans la gloire et tu prendras la Ste Cène de gloire avec tous les ingrédients célestes en vue de ta métamorphose pour aller sans mourir dans la salle du trône comme Jean et selon la parole de Jésus qu’Il a dite Lui-même : « Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône » (Apocalypse 3 : 21).
Voici le nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance de l’Eglise des Vainqueurs, sachant que l’eau du baptême, le pain et le vin de la Ste Cène furent ce que le Seigneur a voulu pour Son église jusqu’en 95, c'est-à-dire jusqu’au moment où dans Sa souveraineté et Sa gloire par son retour vers les Siens, Il a accordé le baptême de gloire à l’Apôtre Jean et Il a proposé Son repas glorieux dans Sa lettre à l’Eglise de Laodicée. Il faut donc passer du symbolique à la « réalité réelle » du spirituel, du divin et du céleste. Que le Seigneur Jésus-Christ glorieux vous baptise et prenne le repas céleste avec vous pour que vous soyez transfigurés, métamorphosés, transformés de gloire en gloire par le St Esprit !  (2 Corinthiens 3 :18).
En Jésus-Christ,

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