06 août 2015

1 QUELLE PLACE POUR LES DIX COMMANDEMENTS DANS NOTRE VIE ?

  
Beaucoup de personnes parlent des dix commandements, sans toutefois les connaître. La société évolue, et selon certains, les lois aussi doivent évoluer. La loi devrait donc s’adapter à la société qui bouge.
Posons-nous la question : Y a-t-il des lois immuables ?

Certaines lois physiques ne bougent pas, comme la loi de la gravité. De même, il y a des lois importantes pour l’ensemble de l’humanité qui ne bougent pas en fonction de la société, de la mode, ou selon l’humeur des gens.
La Bible nous dit, dans 2 Timothée 3:16 : Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre.
Dans chaque partie de l’Ecriture, nous pouvons trouver quelque chose pour notre édification ou enseignement. Dans le contexte des 10 commandements, notre étude n'est pas faite pour nous plonger dans le légalisme.
2 Corinthiens 3:6 nous dit : Le Seigneur nous a rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’Esprit ; car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie.
Nous avons en tant que chrétiens des ressources extraordinaires, et c’est le Seigneur par l'Esprit qui nous rend capables d’être serviteurs dans un nouveau cadre, une nouvelle alliance.


                       Comment les 10 commandements ont-ils été donnés ?

Dans notre société, c’est souvent très long jusqu’à ce qu’une loi puisse sortir. Mais les 10 commandements ont été donnés très simplement par Dieu lui-même, directement et en une seule fois.
Le peuple d’Israël sortait de 400 ans d’esclavage dans le pays d'Egypte, et pendant le voyage vers le pays promis, Dieu donne un rendez-vous à Moïse, leur leader, et lui donne les lois gravées sur des tables de pierre : les 10 commandements. Les 10 commandements n’étaient pas le fruit d'une réflexion humaine. Plus tard, des prescriptions se sont rajoutées pour régler le quotidien de la vie des gens et leurs relations les uns avec les autres.

Parmi les 5 premiers livres de la Bible, il y a celui de l’Exode, la sortie d’Egypte, et au chapitre 20, nous trouvons les 10 commandements tels qu’ils ont été donnés à Moïse.
Mais le livre du Deutéronome reprend certains aspects des 10 commandements. Au chapitre 4, versets 1 à 2, nous lisons : Maintenant Israël, écoute les lois et les ordonnances que je vous enseigne. Mettez-les en pratique, afin que vous viviez et que vous entriez en possession du pays que vous donne l’Eternel, le Dieu de vos pères. Vous n’ajouterez rien à ce que je vous ai prescrit, et vous n’en retrancherez rien ; mais vous observerez les commandements de l’Eternel, votre Dieu, tels que je vous les ai prescrits.

Nous avons vu plus haut, dans la deuxième épître aux Corinthiens, que la lettre tue. Mais les commandements étaient destinés à donner la vie. Ils étaient bons pour tout le monde. Si le simple commandement : "Tu ne tueras point" était appliqué, cela faciliterait grandement notre vie à tous. Il ne s’agit donc pas de se demander si nous devons l'observer ou non, car si nous lui désobéissons, c’est la loi de la jungle, le Far West, ou la loi du plus fort.
Ce sont des lois qui conduisent le peuple à vivre ensemble.
Aux versets 5 et 6, il est dit : Je vous ai enseigné des lois et des ordonnances, comme l’Eternel, mon Dieu, me l’a commandé, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession. Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent.

La plupart des peuples ont développé peu à peu des traditions, ordonnances, règles qu’ils ont adaptées selon le bon vouloir des dirigeants. Ce qui est démontré dans ce texte, c’est que les autres peuples, en voyant Israël, devaient voir un peuple différent, particulier.
Aux versets 7 et 8, il est dit : Quelle est, en effet, la grande nation qui ait des dieux aussi proches que l’Eternel, notre Dieu, l’est de nous toutes les fois que nous l’invoquons ? Et quelle est la grande nation qui ait des lois et des ordonnances justes, comme toute cette loi que je vous présente aujourd’hui ?
Dans beaucoup de religions, les dieux sont mystérieux, lointains. Mais nous, nous avons un Dieu proche de son peuple et nous pouvons profiter de sa sagesse.


            Avons-nous encore besoin des 10 commandements dans notre vie du 21è siècle ?

Nous allons voir 3 points qui vont nous aider à comprendre l'impact positif de la connaissance des 10 commandements pour chaque être humain.

1. La loi n’a pas été abolie.

Saint Augustin aurait dit : « Aime Dieu et fais ce que tu veux. »
Nous avons besoin d’étapes intermédiaires pour arriver à cette perfection.
L’apôtre Paul a dit dans 1 Corinthiens 6:12 : Tout m'est permis, mais tout n’est pas utile.

Quel est le message que j'envoie aux autres par ma façon de vivre, ou en minimisant la Parole de Dieu par des déclarations qui peuvent être mal comprises ou mal interprêtées ?
Dans Matthieu 5:17-20, Jésus dit : Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais celui qui les observera et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. Car je vous le dis, si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.

Il nous est dit qu’il ne faut pas supprimer l’un de ces plus petits commandements, car ils sont utiles pour nous, puisque nous vivons le royaume des cieux dès à présent. Nous pouvons vivre les réalités célestes dans la mesure où nous sommes capables de comprendre les choses que Dieu a établies.

Connaissez-vous les 10 commandements ?
Petit test : Essayez, sans lire la suite, de réciter les commandements, dans l'ordre ou dans le désordre !

La réponse à notre test est dans la Bible, dans Deutéronome 5 :

1) Je suis l’Eternel ton Dieu, tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d’images taillées ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre et dans les eaux plus basses que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point, car moi, l’Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.
2) Tu ne prendras point le nom de l’Eternel ton Dieu en vain.
3) Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier.
4) Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel ton Dieu te donne.
5) Tu ne tueras point.
6) Tu ne commettras point d’adultère.
7) Tu ne déroberas point.
8) Tu ne porteras point de faux témoignages contre ton prochain.
9) Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain.
10) Tu ne convoiteras pas quoi que ce soit qui appartienne à ton prochain.

Beaucoup de commandements contiennent une promesse. Si nous observons ces choses, notre vie s’en trouvera améliorée. La malédiction est sur 3 ou 4 générations, mais la bénédiction est sur 1000 générations. Le péché abonde, mais la grâce de Dieu surabonde. La bénédiction de Dieu l’emporte largement sur la malédiction.


2. Ce sont des lois bonnes, mais inapplicables !

Pour la société, nous voyons le défi que cela représente de faire appliquer les lois, car il faudrait des moyens énormes au niveau policier, judiciaire, pour pouvoir les faire appliquer. Mais, surtout, elles sont inapplicables à cause de notre nature humaine.
Paul dit dans Romains 7:12 : La loi est donc sainte et le commandement est saint, juste et bon. Et au  verset 14 : Nous savons en effet, que la loi est spirituelle, mais moi, je suis charnel, vendu au péché.
Ephésiens 2:1-2 décrit notre situation telle qu’elle était : Vous étiez morts par vos offenses et vos péchés dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion.

Tous les êtres humains sont héritiers du diable, de sa nature de rébellion : nous sommes devenus comme lui. C'est l'histoire de la chute d'Adam et Eve, et avec eux, de tout le genre humain. Mais maintenant, pour nous qui croyons, nous avons été adoptés par Dieu. Nous sommes ainsi devenus ses enfants et avons reçu la nouvelle nature de Dieu. La loi ne pouvait pas être appliquée par l’être humain tel qu'il est. C’est pourquoi tous les efforts de l'homme sont la plupart du temps voués à l’échec.
Par exemple, à une table de négociation, l’esprit qui agit dans les fils de la rébellion veut que l’un l’emporte sur l’autre, et on ne peut donc pas trouver raisonnablement un moyen pour apaiser le conflit. Il est difficile de résoudre les problèmes économiques, sociaux, diplomatiques, même avec des lois excellentes.

Voyons un exemple, dans la vie de Jésus, sur la manière dont il a rendu un homme attentif sur sa connaissance des commandements.
Marc 10:17-22 : Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut, et, se jetant à genoux devant lui (cet homme avait soif de Dieu, des choses spirituelles) : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit (selon la loi) : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Il n’y a de bon que Dieu seul. Tu connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère ; tu ne tueras point ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; tu ne feras de tort à personne ; honore ton père et ta mère. Il lui répondit : Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus l’ayant regardé, l’aima et lui dit : Il te manque une chose ; va et vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. Mais affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste, car il avait de grands biens.

Jésus a vu qu’il manquait quelque chose à la compréhension de cet homme, mais il n’a pas cité le premier commandement qui dit : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ta force et de toute ta pensée." Souvent, les gens veulent bien observer les commandements de Dieu qui leur conviennent et les arrangent le plus, et oublient certaines choses principales.
Le jeune homme accourt, se jette aux pieds de Jésus, et a soif de Dieu. Il reçoit la réponse de Dieu, mais ne l’accepte pas et repart tout triste.

Dans Luc 10:25-28, nous avons une illustration similaire.
Un homme de la loi se leva et dit à Jésus pour l’éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ? Qu’y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même (c’est le résumé parfait de la loi). Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela et tu vivras.
Il ne l’a probablement pas fait, car il était venu pour éprouver Jésus, et dans le verset 29, il est marqué qu’il voulait se justifier.

Ce qui est important pour nous, c’est de lire la Parole de Dieu, de la parler et de la mettre en pratique. Avons-nous 10/10 dans l'application des dix commandements ? Certains pensent, selon notre système d’évaluation, que si nous avons 5 sur 10, nous avons la moyenne, et donc nous avons réussi. Mais avec la Parole de Dieu, cela ne marche pas de cette façon.
Dans Jacques 2:8-10, il nous est dit : Si vous accomplissez la loi royale, selon l’Ecriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous faites du favoritisme, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs. Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.
C’est un peu extrême, mais il faut se rappeler ce que Jésus a dit : Si votre justice ne dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume de Dieu.

La justice qui doit être la nôtre est différente par sa nature, car elle ne dépend pas de nous et de notre observation des commandements, mais de la justice de Dieu qui est plus élevée.
Donc la loi est sainte, juste et bonne pour nous.


3. Pourquoi la loi ?

La loi nous oblige à capituler, et nous montre que la nature humaine ne peut pas atteindre Dieu, ni la perfection. Une citation en latin, fort connue dans les milieux juridiques, dit :  « dura lex sed lex », c'est à dire "la loi est dure, mais c’est la loi", que cela nous plaise ou non.
Ce que nous venons de lire dans l’épître de Jacques doit choquer la mentalité de beaucoup. Une petite peccadille nous fait couler, car nous avons mis notre espoir dans notre propre justice. C’était la grande erreur de Job. Le livre de Job est souvent mal interprété. Il a mis son espoir dans sa propre justice et s’est appuyé sur son intégrité, et a chuté pour cela. Puis il a vécu une transformation intérieure et extérieure, et à la fin du livre, au chapitre 42:5,  Job dit : « J’avais une certaine conception des choses, mais maintenant mes yeux se sont ouverts et ont vu. »

Si vous lisez la Bible, vous sentez-vous condamné ? Vous devriez, car la Bible mettra en avant des exigences, même des exigences d’amour (voir 1 Corinthiens 13). Elle pourra vous condamner, car la loi est faite pour cela.
Dans Romains 7:15, il est dit : Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.
Par moments, nous sommes tiraillés et nous n’arrivons pas. Par exemple, si vous êtes dans un déni de maladie et que vous ne suivez pas de traitement, vous ne serez pas guéri non plus. Il faut un diagnostic. La Parole de Dieu, et la loi en particulier, servent à établir un diagnostic.

Dans Romains 3:23, il est dit : Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
Pour faire prendre conscience à une personne qu’elle est éloignée de Dieu à cause du péché, elle est "obligée" de passer par l'étape de reconnaître son état, avant de suivre le plan de salut de Dieu.
Pour nous qui voulons changer des choses dans notre vie, nous avons aussi la Parole de Dieu qui nous montre le chemin.

Romains 7:22 nous dit : Je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur.
Cela montre qu’il y a une transformation. Celui qui n’a aucune relation avec Dieu ne prend pas plaisir à la loi de Dieu. Mais celui qui connaît Dieu se rend compte d’une dualité entre les choses qu’on aimerait faire et celles qui dominent sur nous.
L’apôtre Paul s'écrie dans Romains 7:24-25 : Misérable que je suis, qui me délivrera de ce corps de mort ?.... Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même, je suis par l’entendement (la compréhension) esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.

Mais, c’est là qu’il y a la révélation de la libération par l’Esprit. A peine avez-vous compris que vous êtes condamné, que vous avez la solution que Dieu vous offre en Jésus.
Nous lisons dans Romains 8.1-7 : Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’Esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort. Car, chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi soit accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l’Esprit. Ceux, en effet, qui vivent selon la chair s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’Esprit s’affectionnent aux choses de l’Esprit. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'Esprit, c’est la vie et la paix ; car l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas.

1Timothée 1:8 nous dit que nous devons faire de la loi un usage légitime, et ne pas condamner les autres à tort et à travers. Il faut la prendre pour la lire, pour se comparer soi-même à la situation telle que la Bible la décrit, et comprendre ce que nous pouvons en retirer de bon.


Conclusion

La conclusion se trouve dans l’épître aux Galates, qui parle du combat contre le légalisme. 
Au chapitre 3:11 et 13, Paul explique : Que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu'il est dit que le juste vivra par la foi... Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous.

Le contexte de ces enseignements bibliques partagés avec vous, c’est notre civilisation judéo-chrétienne, ou plutôt post-judéo-chrétienne. Si on lui enlève les influences judéo-chrétiennes, notre civilisation s’écroulera (ce qui est en train de se passer sous nos yeux), car elle était basée sur ce qui a été donné par Dieu.
Ce n’est donc pas un enseignement vieillot, inutile : c'est pleinement d’actualité.
Notre monde met les lois de Dieu de côté, et les remplacent par d'autres qui correspondent mieux à notre société et aux désirs de quelques minorités qui exercent leurs influences et pressions. 

Si le diagnostic est faux, les réponses apportées seront fausses également, et personne ne sera aidé de cette façon. Nous avons besoin d’un retour à la Parole de Dieu et à sa loi pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans notre monde.

En tant que chrétiens, faisons notre check-up, confessons ce qui ne va pas, demandons la grâce de Dieu ; ainsi nous ne serons plus sous la condamnation, mais libres en Jésus-Christ, en nous rappelant qu’il y a des commandements, mais accompagnés d'une promesse.


Pasteur Claude SOLD


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