Beaucoup
de personnes parlent des dix commandements, sans toutefois les connaître. La
société évolue, et selon certains, les lois aussi doivent évoluer. La loi
devrait donc s’adapter à la société qui bouge.
Posons-nous
la question : Y a-t-il des lois immuables ?
Certaines
lois physiques ne bougent pas, comme la loi de la gravité. De même, il y a des
lois importantes pour l’ensemble de l’humanité qui ne bougent pas en fonction
de la société, de la mode, ou selon l’humeur des gens.
La
Bible nous dit, dans 2 Timothée 3:16 : Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour
convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de
Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre.
Dans
chaque partie de l’Ecriture, nous pouvons trouver quelque chose pour notre
édification ou enseignement. Dans le contexte des 10 commandements, notre étude
n'est pas faite pour nous plonger dans le légalisme.
2
Corinthiens 3:6 nous dit : Le
Seigneur nous a rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non
de la lettre, mais de l’Esprit ; car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie.
Nous
avons en tant que chrétiens des ressources extraordinaires, et c’est le
Seigneur par l'Esprit qui nous rend capables d’être serviteurs dans un nouveau
cadre, une nouvelle alliance.
Comment les 10 commandements ont-ils été
donnés ?
Dans
notre société, c’est souvent très long jusqu’à ce qu’une loi puisse sortir.
Mais les 10 commandements ont été donnés très simplement par Dieu lui-même,
directement et en une seule fois.
Le
peuple d’Israël sortait de 400 ans d’esclavage dans le pays d'Egypte, et
pendant le voyage vers le pays promis, Dieu donne un rendez-vous à Moïse, leur
leader, et lui donne les lois gravées sur des tables de pierre : les 10
commandements. Les 10 commandements n’étaient pas le fruit d'une réflexion
humaine. Plus tard, des prescriptions se sont rajoutées pour régler le quotidien
de la vie des gens et leurs relations les uns avec les autres.
Parmi
les 5 premiers livres de la Bible, il y a celui de l’Exode, la sortie d’Egypte,
et au chapitre 20, nous trouvons les 10 commandements tels qu’ils ont été
donnés à Moïse.
Mais
le livre du Deutéronome reprend certains aspects des 10 commandements. Au
chapitre 4, versets 1 à 2, nous lisons : Maintenant
Israël, écoute les lois et les ordonnances que je vous enseigne. Mettez-les en
pratique, afin que vous viviez et que vous entriez en possession du pays que
vous donne l’Eternel, le Dieu de vos pères. Vous n’ajouterez rien à ce que je
vous ai prescrit, et vous n’en retrancherez rien ; mais vous observerez
les commandements de l’Eternel, votre Dieu, tels que je vous les ai prescrits.
Nous
avons vu plus haut, dans la deuxième épître aux Corinthiens, que la lettre tue.
Mais les commandements étaient destinés à donner la vie. Ils étaient bons pour
tout le monde. Si le simple commandement : "Tu ne tueras point"
était appliqué, cela faciliterait grandement notre vie à tous. Il ne s’agit
donc pas de se demander si nous devons l'observer ou non, car si nous lui
désobéissons, c’est la loi de la jungle, le Far West, ou la loi du plus fort.
Ce
sont des lois qui conduisent le peuple à vivre ensemble.
Aux
versets 5 et 6, il est dit : Je
vous ai enseigné des lois et des ordonnances, comme l’Eternel, mon Dieu, me l’a
commandé, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez
prendre possession. Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ;
car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples qui
entendront parler de toutes ces lois et qui diront : cette grande nation
est un peuple absolument sage et intelligent.
La
plupart des peuples ont développé peu à peu des traditions, ordonnances, règles
qu’ils ont adaptées selon le bon vouloir des dirigeants. Ce qui est démontré
dans ce texte, c’est que les autres peuples, en voyant Israël, devaient voir un
peuple différent, particulier.
Aux
versets 7 et 8, il est dit : Quelle est,
en effet, la grande nation qui ait des dieux aussi proches que l’Eternel, notre
Dieu, l’est de nous toutes les fois que nous l’invoquons ? Et quelle est
la grande nation qui ait des lois et des ordonnances justes, comme toute cette
loi que je vous présente aujourd’hui ?
Dans
beaucoup de religions, les dieux sont mystérieux, lointains. Mais nous, nous
avons un Dieu proche de son peuple et nous pouvons profiter de sa sagesse.
Avons-nous encore besoin des 10 commandements dans
notre vie du 21è siècle ?
Nous
allons voir 3 points qui vont nous aider à comprendre l'impact positif de la
connaissance des 10 commandements pour chaque être humain.
1. La loi n’a pas été
abolie.
Saint
Augustin aurait dit : « Aime Dieu et fais ce que tu veux. »
Nous
avons besoin d’étapes intermédiaires pour arriver à cette perfection.
L’apôtre
Paul a dit dans 1 Corinthiens 6:12 : Tout
m'est permis, mais tout n’est pas utile.
Quel
est le message que j'envoie aux autres par ma façon de vivre, ou en minimisant
la Parole de Dieu par des déclarations qui peuvent être mal comprises ou mal
interprêtées ?
Dans
Matthieu 5:17-20, Jésus dit : Ne
croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis
venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant
que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas un seul iota
ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui
supprimera l’un de ces plus petits commandements et qui enseignera aux hommes à
faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais
celui qui les observera et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé
grand dans le royaume des cieux. Car je vous le dis, si votre justice ne
dépasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le
royaume des cieux.
Il
nous est dit qu’il ne faut pas supprimer l’un de ces plus petits commandements,
car ils sont utiles pour nous, puisque nous vivons le royaume des cieux dès à
présent. Nous pouvons vivre les réalités célestes dans la mesure où nous sommes
capables de comprendre les choses que Dieu a établies.
Connaissez-vous
les 10 commandements ?
Petit
test : Essayez, sans lire la suite, de réciter les commandements, dans l'ordre
ou dans le désordre !
La
réponse à notre test est dans la Bible, dans Deutéronome 5 :
1) Je suis l’Eternel ton
Dieu, tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point
d’images taillées ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut
dans les cieux, qui sont en bas sur la terre et dans les eaux plus basses que
la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point,
car moi, l’Eternel ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis l’iniquité des
pères sur les enfants jusqu’à la troisième et quatrième génération de ceux qui
me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui
m’aiment et qui gardent mes commandements.
2) Tu ne prendras point le
nom de l’Eternel ton Dieu en vain.
3) Souviens-toi du jour du
repos pour le sanctifier.
4) Honore ton père et ta
mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel ton Dieu te
donne.
5) Tu ne tueras point.
6) Tu ne commettras point
d’adultère.
7) Tu ne déroberas point.
8) Tu ne porteras point de
faux témoignages contre ton prochain.
9) Tu ne convoiteras point
la maison de ton prochain.
10) Tu ne convoiteras pas
quoi que ce soit qui appartienne à ton prochain.
Beaucoup
de commandements contiennent une promesse. Si nous observons ces choses, notre
vie s’en trouvera améliorée. La malédiction est sur 3 ou 4 générations, mais la
bénédiction est sur 1000 générations. Le péché abonde, mais la grâce de Dieu
surabonde. La bénédiction de Dieu l’emporte largement sur la malédiction.
2. Ce sont des lois
bonnes, mais inapplicables !
Pour
la société, nous voyons le défi que cela représente de faire appliquer les
lois, car il faudrait des moyens énormes au niveau policier, judiciaire, pour
pouvoir les faire appliquer. Mais, surtout, elles sont inapplicables à cause de
notre nature humaine.
Paul
dit dans Romains 7:12 : La loi est donc
sainte et le commandement est saint, juste et bon. Et au verset 14
: Nous savons en effet, que la loi est spirituelle, mais moi, je suis charnel,
vendu au péché.
Ephésiens
2:1-2 décrit notre situation telle qu’elle était : Vous étiez morts par vos offenses et vos péchés dans lesquels vous
marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance
de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion.
Tous
les êtres humains sont héritiers du diable, de sa nature de rébellion : nous
sommes devenus comme lui. C'est l'histoire de la chute d'Adam et Eve, et avec
eux, de tout le genre humain. Mais maintenant, pour nous qui croyons, nous
avons été adoptés par Dieu. Nous sommes ainsi devenus ses enfants et avons reçu
la nouvelle nature de Dieu. La loi ne pouvait pas être appliquée par l’être
humain tel qu'il est. C’est pourquoi tous les efforts de l'homme sont la
plupart du temps voués à l’échec.
Par
exemple, à une table de négociation, l’esprit qui agit dans les fils de la
rébellion veut que l’un l’emporte sur l’autre, et on ne peut donc pas trouver
raisonnablement un moyen pour apaiser le conflit. Il est difficile de résoudre
les problèmes économiques, sociaux, diplomatiques, même avec des lois
excellentes.
Voyons
un exemple, dans la vie de Jésus, sur la manière dont il a rendu un homme
attentif sur sa connaissance des commandements.
Marc
10:17-22 : Comme Jésus se mettait
en chemin, un homme accourut, et, se jetant à genoux devant lui (cet
homme avait soif de Dieu, des choses spirituelles) : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie
éternelle ? Jésus lui dit (selon la loi) : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Il n’y a de bon que Dieu seul. Tu
connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère ; tu ne
tueras point ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux
témoignage ; tu ne feras de tort à personne ; honore ton père et ta
mère. Il lui répondit : Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma
jeunesse. Jésus l’ayant regardé, l’aima et lui dit : Il te manque une
chose ; va et vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras
un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. Mais affligé de cette parole,
cet homme s’en alla tout triste, car il avait de grands biens.
Jésus
a vu qu’il manquait quelque chose à la compréhension de cet homme, mais il n’a
pas cité le premier commandement qui dit : "Tu aimeras le Seigneur
ton Dieu de tout ton coeur, de toute ta force et de toute ta pensée."
Souvent, les gens veulent bien observer les commandements de Dieu qui leur
conviennent et les arrangent le plus, et oublient certaines choses principales.
Le
jeune homme accourt, se jette aux pieds de Jésus, et a soif de Dieu. Il reçoit
la réponse de Dieu, mais ne l’accepte pas et repart tout triste.
Dans
Luc 10:25-28, nous avons une illustration similaire.
Un homme de la loi se leva
et dit à Jésus pour l’éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la
vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ?
Qu’y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout
ton cœur, de toute ton âme, de
toute ta force et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même (c’est le résumé parfait
de la loi). Tu as bien répondu, lui dit
Jésus ; fais cela et tu vivras.
Il
ne l’a probablement pas fait, car il était venu pour éprouver Jésus, et dans le
verset 29, il est marqué qu’il voulait se justifier.
Ce
qui est important pour nous, c’est de lire la Parole de Dieu, de la parler et
de la mettre en pratique. Avons-nous 10/10 dans l'application des dix
commandements ? Certains pensent, selon notre système d’évaluation, que si
nous avons 5 sur 10, nous avons la moyenne, et donc nous avons réussi. Mais
avec la Parole de Dieu, cela ne marche pas de cette façon.
Dans
Jacques 2:8-10, il nous est dit : Si
vous accomplissez la loi royale, selon l’Ecriture : Tu aimeras ton
prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous faites du favoritisme,
vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des
transgresseurs. Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul
commandement, devient coupable de tous.
C’est
un peu extrême, mais il faut se rappeler ce que Jésus a dit : Si votre justice ne dépasse pas celle des
scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume de Dieu.
La
justice qui doit être la nôtre est différente par sa nature, car elle ne dépend
pas de nous et de notre observation des commandements, mais de la justice de
Dieu qui est plus élevée.
Donc
la loi est sainte, juste et bonne pour nous.
3. Pourquoi la loi ?
La
loi nous oblige à capituler, et nous montre que la nature humaine ne peut pas
atteindre Dieu, ni la perfection. Une citation en latin, fort connue dans les
milieux juridiques, dit : « dura
lex sed lex », c'est à dire "la loi est dure, mais c’est la
loi", que cela nous plaise ou non.
Ce
que nous venons de lire dans l’épître de Jacques doit choquer la mentalité de
beaucoup. Une petite peccadille nous fait couler, car nous avons mis notre
espoir dans notre propre justice. C’était la grande erreur de Job. Le livre de
Job est souvent mal interprété. Il a mis son espoir dans sa propre justice et
s’est appuyé sur son intégrité, et a chuté pour cela. Puis il a vécu une
transformation intérieure et extérieure, et à la fin du livre, au chapitre
42:5, Job dit : « J’avais une certaine conception des
choses, mais maintenant mes yeux se sont ouverts et ont vu. »
Si
vous lisez la Bible, vous sentez-vous condamné ? Vous devriez, car la
Bible mettra en avant des exigences, même des exigences d’amour (voir 1 Corinthiens
13). Elle pourra vous condamner, car la loi est faite pour cela.
Dans
Romains 7:15, il est dit : Car je
ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais
ce que je hais.
Par
moments, nous sommes tiraillés et nous n’arrivons pas. Par exemple, si vous
êtes dans un déni de maladie et que vous ne suivez pas de traitement, vous ne
serez pas guéri non plus. Il faut un diagnostic. La Parole de Dieu, et la loi
en particulier, servent à établir un diagnostic.
Dans
Romains 3:23, il est dit : Car tous
ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
Pour
faire prendre conscience à une personne qu’elle est éloignée de Dieu à cause du
péché, elle est "obligée" de passer par l'étape de reconnaître son
état, avant de suivre le plan de salut de Dieu.
Pour
nous qui voulons changer des choses dans notre vie, nous avons aussi la Parole
de Dieu qui nous montre le chemin.
Romains
7:22 nous dit : Je prends plaisir à
la loi de Dieu, selon l’homme intérieur.
Cela
montre qu’il y a une transformation. Celui qui n’a aucune relation avec Dieu ne
prend pas plaisir à la loi de Dieu. Mais celui qui connaît Dieu se rend compte
d’une dualité entre les choses qu’on aimerait faire et celles qui dominent sur
nous.
L’apôtre
Paul s'écrie dans Romains 7:24-25 : Misérable
que je suis, qui me délivrera de ce corps de mort ?.... Grâces soient
rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même,
je suis par l’entendement (la compréhension) esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du
péché.
Mais,
c’est là qu’il y a la révélation de la libération par l’Esprit. A peine
avez-vous compris que vous êtes condamné, que vous avez la solution que Dieu
vous offre en Jésus.
Nous
lisons dans Romains 8.1-7
: Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour
ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet,
la loi de l’Esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et
de la mort. Car, chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans
force, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché,
son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la
justice de la loi soit accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair,
mais selon l’Esprit. Ceux, en effet, qui vivent selon la chair s’affectionnent
aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’Esprit
s’affectionnent aux choses de l’Esprit. Et l'affection de la chair, c'est la
mort, tandis que l'affection de l'Esprit, c’est la vie et la paix ; car
l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet
pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas.
1Timothée
1:8 nous dit que nous devons faire de la loi un usage légitime, et ne pas
condamner les autres à tort et à travers. Il faut la prendre pour la lire, pour
se comparer soi-même à la situation telle que la Bible la décrit, et comprendre
ce que nous pouvons en retirer de bon.
Conclusion
La
conclusion se trouve dans l’épître aux Galates, qui parle du combat contre le
légalisme.
Au
chapitre 3:11 et 13, Paul explique : Que
nul ne soit justifié devant Dieu par la
loi, cela est évident, puisqu'il est dit que le juste vivra par la foi...
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction
pour nous.
Le
contexte de ces enseignements bibliques partagés avec vous, c’est notre
civilisation judéo-chrétienne, ou plutôt post-judéo-chrétienne. Si on lui
enlève les influences judéo-chrétiennes, notre civilisation s’écroulera (ce qui
est en train de se passer sous nos yeux), car elle était basée sur ce qui a été
donné par Dieu.
Ce
n’est donc pas un enseignement vieillot, inutile : c'est pleinement
d’actualité.
Notre
monde met les lois de Dieu de côté, et les remplacent par d'autres qui
correspondent mieux à notre société et aux désirs de quelques minorités qui
exercent leurs influences et pressions.
Si
le diagnostic est faux, les réponses apportées seront fausses également, et
personne ne sera aidé de cette façon. Nous avons besoin d’un retour à la Parole
de Dieu et à sa loi pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans notre
monde.
En
tant que chrétiens, faisons notre check-up, confessons ce qui ne va pas,
demandons la grâce de Dieu ; ainsi nous ne serons plus sous la
condamnation, mais libres en Jésus-Christ, en nous rappelant qu’il y a des
commandements, mais accompagnés d'une promesse.
Pasteur Claude SOLD