Jean-Louis JAYET nous raconte...
de son ami Papy Djo
Papy DJO
continue en disant :
(Estomac fragile, s'abstenir de lire ce qui suit)
J'étais à Brazzaville en tournée d’évangélisation et là, je rencontre deux de mes enfants spirituels. Nous sommes chez eux autour d’une tasse de thé, me dit Papy DJO. Nous bavardons, en nous souvenant du bon vieux temps, et la femme me rappelle comment elle avait rencontré le Seigneur dans un avion entre Bangui et Paris. Je voyageais sur une compagnie où elle était hôtesse de l'air. C’était une musulmane. Elle à rencontré Jésus pendant l'escale de N'Djamena.
J'étais fatigué par la mission que je venais de terminer en RCA, mais elle ne m'a pas lâché tant que je ne lui ai parlé de ce Jésus qui avait fait des guérisons et délivrances à Bangui. Et dans la cabine du DC 10 de sa compagnie, elle est devenue une fille du Seigneur.
L’heure du repas arrive, et son mari me demande :
- Papy DJO, tu veux manger du serpent ce soir ?
Surpris, mais toujours prêt pour de nouvelles aventures, je lui réponds :
- Pourquoi pas, c’est bon le serpent !
Nous partons au restaurant. Après la salade le serveur nous apporte de belles tranches de Python. Le gout est indéfinissable, mais la viande ressemble à des tranches de thon. C’est bon ! (bof)
Le repas se termine dans la bonne humeur. Nous rentrons. Eux à la maison et moi a l'hôtel.
Environ cinq ans après, le mari (il est converti lui aussi) me dit :
- Tu te souviens, Papy DJO, quand on avait mangé du serpent ?
- Oh, Oui, bien sur, et c'était bon !
- Ma femme à été malade toute la nuit. Moi, j'ai fait des allers incessants aux toilettes jusqu'au matin. C'était la première fois qu'on mangeait du serpent avec ma femme. On a été malades comme des bêtes. Et toi ?
- Moi non! Mais j'en mangeai pour la première fois moi aussi. J'ai cru que vous aviez l'habitude d'en consommer souvent. Donc, j’ai voulu vous faire plaisir en vous accompagnant au restaurant. Ça me rassurait de penser que vous en aviez l’habitude. C'est, je crois, ce qui m'a sauvé de tous les désagréments que vous avez vécus.
Et Papy DJO de conclure : la naïveté a parfois du bon pour les adultes.
Papy DJO
continue en disant :
(Estomac fragile, s'abstenir de lire ce qui suit)
J'étais à Brazzaville en tournée d’évangélisation et là, je rencontre deux de mes enfants spirituels. Nous sommes chez eux autour d’une tasse de thé, me dit Papy DJO. Nous bavardons, en nous souvenant du bon vieux temps, et la femme me rappelle comment elle avait rencontré le Seigneur dans un avion entre Bangui et Paris. Je voyageais sur une compagnie où elle était hôtesse de l'air. C’était une musulmane. Elle à rencontré Jésus pendant l'escale de N'Djamena.
J'étais fatigué par la mission que je venais de terminer en RCA, mais elle ne m'a pas lâché tant que je ne lui ai parlé de ce Jésus qui avait fait des guérisons et délivrances à Bangui. Et dans la cabine du DC 10 de sa compagnie, elle est devenue une fille du Seigneur.
L’heure du repas arrive, et son mari me demande :
- Papy DJO, tu veux manger du serpent ce soir ?
Surpris, mais toujours prêt pour de nouvelles aventures, je lui réponds :
- Pourquoi pas, c’est bon le serpent !
Nous partons au restaurant. Après la salade le serveur nous apporte de belles tranches de Python. Le gout est indéfinissable, mais la viande ressemble à des tranches de thon. C’est bon ! (bof)
Le repas se termine dans la bonne humeur. Nous rentrons. Eux à la maison et moi a l'hôtel.
Environ cinq ans après, le mari (il est converti lui aussi) me dit :
- Tu te souviens, Papy DJO, quand on avait mangé du serpent ?
- Oh, Oui, bien sur, et c'était bon !
- Ma femme à été malade toute la nuit. Moi, j'ai fait des allers incessants aux toilettes jusqu'au matin. C'était la première fois qu'on mangeait du serpent avec ma femme. On a été malades comme des bêtes. Et toi ?
- Moi non! Mais j'en mangeai pour la première fois moi aussi. J'ai cru que vous aviez l'habitude d'en consommer souvent. Donc, j’ai voulu vous faire plaisir en vous accompagnant au restaurant. Ça me rassurait de penser que vous en aviez l’habitude. C'est, je crois, ce qui m'a sauvé de tous les désagréments que vous avez vécus.
Et Papy DJO de conclure : la naïveté a parfois du bon pour les adultes.