Chers bien-aimés,
Dans cette traversée que nous vivons tous, il m’a semblé judicieux de vous partager une parole à propos nous rappelant de veiller sur notre cœur, sur ce qui sort de notre bouche.
Dieu est au contrôle de tout ce qui se passe dans ce monde.
« Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots,
les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre ; car les puissances des cieux seront ébranlées.
Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une grande gloire.
Quand ces choses commenceront à arriver, redressez–vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche. » - Luc 21 :25-28
« Bien–aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme.
Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera.
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain,
soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien.
Car c’est la volonté de Dieu qu’en pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et insensés,
étant libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais agissant comme des serviteurs de Dieu. » 1 Pierre 2 :11-16
L’œuvre de notre Seigneur Jésus-Christ a consisté à se charger de toutes nos imperfections, de tous nos échecs, maladies, infirmités, et toutes choses venues asservir la nature humaine, rendant le cœur dur comme de la pierre, jusqu’à vivre la crucifixion pour détruire toutes ces œuvres de ténèbres liées à la nature de l’humain séparé de la gloire de Dieu.
Ainsi, il est venu « nous réparer » afin de nous rendre la possibilité de vivre en tant qu’être nouveau dans présence glorieuse de Dieu.
« Éternel, mets une garde à ma bouche, Veille sur la porte de mes lèvres !
N’entraîne pas mon cœur à des choses mauvaises, A des actions coupables avec les hommes qui font le mal, Et que je ne prenne aucune part à leurs festins !
Que le juste me frappe, c’est une faveur ; Qu’il me châtie, c’est de l’huile sur ma tête : Ma tête ne se détournera pas ; Mais de nouveau ma prière s’élèvera contre leur méchanceté. » - Psaume 141 :3-5
« Celui qui veille sur sa bouche et sur sa langue Préserve son âme des angoisses.
L’orgueilleux, le hautain, s’appelle un moqueur ; Il agit avec la fureur de l’arrogance. » - Proverbes 21 :23-24
« Prends donc garde que la lumière qui est en toi ne soit ténèbres.
Si donc tout ton corps est éclairé, n’ayant aucune partie dans les ténèbres, il sera entièrement éclairé, comme lorsque la lampe t’éclaire de sa lumière. » - Luc 11 :35-36
« Des épines, des pièges sont sur la voie de l’homme pervers ; Celui qui garde son âme s’en éloigne.
Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; Et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. » - Proverbes 22 :5-6
« Celui qui veille sur sa bouche garde son âme ; Celui qui ouvre de grandes lèvres court à sa perte.
L’âme du paresseux a des désirs qu’il ne peut satisfaire ; Mais l’âme des hommes diligents sera rassasiée. » - Proverbes 13 :3-4
Voici ce à quoi l’esprit de Dieu nous appelle, faisant des siens des bâtisseurs, des réparateurs de brèches :
« Et comme j’ai veillé sur eux Pour arracher, abattre, détruire, ruiner et faire du mal, Ainsi je veillerai sur eux pour bâtir et pour planter, Dit l’Éternel. » - Jérémie 31 :28
« Alors tu prospéreras, si tu as soin de mettre en pratique les lois et les ordonnances que l’Éternel a prescrites à Moïse pour Israël. Fortifie–toi et prends courage, ne crains point et ne t’effraie point.
Voici, par mes efforts, j’ai préparé pour la maison de l’Éternel cent mille talents d’or, un million de talents d’argent, et une quantité d’airain et de fer qu’il n’est pas possible de peser, car il y en a en abondance ; j’ai aussi préparé du bois et des pierres, et tu en ajouteras encore.
Tu as auprès de toi un grand nombre d’ouvriers, des tailleurs de pierres, et des charpentiers, et des hommes habiles dans toute espèce d’ouvrages.
L’or, l’argent, l’airain et le fer, sont sans nombre. Lève–toi et agis, et que l’Éternel soit avec toi !
David ordonna à tous les chefs d’Israël de venir en aide à Salomon, son fils.
L’Éternel, votre Dieu, n’est–il pas avec vous, et ne vous a–t–il pas donné du repos de tous côtés ? Car il a livré entre mes mains les habitants du pays, et le pays est assujetti devant l’Éternel et devant son peuple.
Appliquez maintenant votre cœur et votre âme à chercher l’Éternel, votre Dieu ; levez–vous, et bâtissez le sanctuaire de l’Éternel Dieu, afin d’amener l’arche de l’alliance de l’Éternel et les ustensiles consacrés à Dieu dans la maison qui sera bâtie au nom de l’Éternel. » - 1 Chroniques 22 :13-19
Conclusion :
« Rejetant donc toute malice et toute ruse, la dissimulation, l’envie, et toute médisance,
désirez, comme des enfants nouveau–nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut,
si vous avez goûté que le Seigneur est bon.
Approchez–vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu ;
et vous–mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez–vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus–Christ.
Car il est dit dans l’Écriture : Voici, je mets en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse ; Et celui qui croit en elle ne sera point confus.
L’honneur est donc pour vous, qui croyez. Mais, pour les incrédules, La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle,
(2–7) Et une pierre d’achoppement Et un rocher de scandale ; (2–8) ils s’y heurtent pour n’avoir pas cru à la parole, et c’est à cela qu’ils sont destinés.
Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière,
vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu, vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, et qui maintenant avez obtenu miséricorde.
Bien–aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme.
Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera.
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain,
soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien.
Car c’est la volonté de Dieu qu’en pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et insensés,
étant libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais agissant comme des serviteurs de Dieu.
Honorez tout le monde ; aimez les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi.
Serviteurs, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et doux, mais aussi à ceux qui sont d’un caractère difficile.
Car c’est une grâce que de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement.
En effet, quelle gloire y a–t–il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu.
Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces,
Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ;
lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ;
lui qui a porté lui–même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris.
Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes. » - 1 Pierre 2 :14-25
En Lui,
Son serviteur,
Yves Gravet