188
RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS :
MYTHE-CULTE CONTRE REVELATION
INTRODUCTION
Le culte dans les différentes dénominations chrétiennes comporte toujours plus ou moins un côté mythique irréel, imaginaire collectif obligatoirement introduit par les limitations de nos connaissances dans le cadre de l'espace-matière-temps, conséquence de la chute.
En effet le culte peut être une mise en contexte, voire une mise en condition religieuse des fidèles selon un ou des modèles préétablis donnés, des discours répétitifs traditionnels voire incantatoires, par là indiscutablement partiellement mythiques. Ils n'ont de ce fait que peu à voir avec le Véritable culte nécessitant une relation directe, visible, authentique liée à la Révélation avec Celui qu'on veut adorer et glorifier.
Précisons toutefois que YHWH ELoHiM connaît les cœurs sincères de celles et de ceux qui veulent Le célébrer où qu'ils soient, quels qu'ils soient, quelque soit leur manière de faire et le contexte dans lequel ils se trouvent ! Il ne s'agit pas de rabaisser ou culpabiliser ici qui que soit !
Toutefois au vu de l'unité biblique indissociable esprie-âme ou cœur d'une part et corps d'autre part, les maladies, le vieillissement des participants aux cultes ne correspondent pas aux promesses de guérison et d'immortalité faites dans la Parole. Il s'agit là d'une illustration significative de notre propos relatif aux célébrations en dichotomie avec les effets que l'on serait en droit d'expérimenter normalement, sans vouloir encore une fois culpabiliser celles et ceux qui souffrent.
Nous voulons au contraire compatir et surtout lutter dans la prière, l'amour fraternel et la foi en vue de la guérison d'ailleurs intrinsèquement liée à la métamorphose du corps...
Par ailleurs les divers scandales moraux-éthiques et faux enseignements au sein des églises rajoutent malheureusement du crédit aux côtés mythiques irréels et imaginaires des divers cultes !
1. Le mythe-culte et la chute
Depuis la chute le mythe religieux imaginaire humain mensonger s'est glissé dans la « distance » entre la réalité (espace-matière-temps) et la vérité (englobant le « tout » y compris le céleste biblique).
Le « vous ne mourrez pas … vous serez comme des dieux » (Genèse 3 :4-5) du Serpent en cas de consommation du fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, est le premier mythe séducteur-mensonger traitant indirectement YHWH ELoHiM de menteur. En réalité il s'agit d'un demi-mensonge encore plus séducteur car YHWH ELoHiM voulait d'emblée l'immortalité et le fait d'être comme des dieux ou à Son image pour l'homme et la femme. Il voulait simplement que l'homme et la femme ne décident pas de ce qui est bien et de ce qui mal ou prennent la place du Créateur, parce qu'ils n'en étaient pas capables en tant que créatures et ne le sont toujours pas ! L'acceptation de ce mythe diabolique par le couple humain a engendré la chute.
Le second mythe ensuite inventé par Adam ayant bien appris la « leçon » du Serpent, est la mise à l'index de sa soi-disant « aide », la femme, et indirectement de YHWH ELoHiM Lui-même : « La femme que tu as mise auprès de moi m'a donné de l'arbre et j'en ai mangé » (Genèse 3:12). La mise en cause de YHWH ELoHiM par Adam Le considérant au final comme fautif du problème à cause de la femme est le summum du mythe humain. Il s'agit du soi-disant éternel « cherchez la femme... » avec toutes ses conséquences terriblement néfastes !
YHWH ELoHiM aurait en quelque sorte trompé et piégé Adam par la femme considérée comme tordue puisqu'ayant la première cédé à la séduction d'ailleurs sous toutes ses formes du Serpent... Puisqu'elle est « tombée » la première, elle doit par conséquent endosser toute la responsabilité...
Ainsi Adam ne s'est absolument pas repenti d'avoir désobéit lui aussi puisqu'il s'est défaussé à l'encontre de sa femme. Il a de fait maintenu le mythe dans sa relation avec YHWH ELoHiM. Ainsi le mythe-culte marqué par une relation faussée s'est malheureusement maintenu tout au long de l'Histoire.
Pour y pallier d'emblée provisoirement, YHWH ELoHiM a fait couler du sang d'expiation par des sacrifices d'animaux pour revêtir de leur peau l'homme et la femme. Il Lui fallait « couvrir, voiler » la disparition progressive du revêtement de Lumière et de Feu qui revêtait leur corps et le laissait « à nu », exposant au grand jour leur noirceur mortelle ne leur permettant plus de rester dans le contexte de la Gloire divine parfaite d'immortalité. Cette dernière est la seule à permettre un culte authentique dans une relation directe et pure avec YHWH ELoHiM au Paradis.
Le sacrifice expiatoire de sang animal devint de la sorte une nécessité provisoire dans l'espace-matière-temps pour établir une relation cultuelle avec YHWH ELoHiM toutefois toujours imparfaite donc partiellement d'ordre mythique. La Mort n'a pas eu l'autorisation d'intervenir par une extermination immédiate, globale et définitive. Elle devait laisser un délai temporel pour une seconde chance de grâce divine à la créature humaine durant sa vie terrestre dorénavant limitée et à travers les générations successives du genre humain. L'Histoire était « née ».
Ainsi l'échec non seulement d'Adam et d'Eve mais aussi quelque part celui de Dieu Lui-même par solidarité avec eux par rapport à Son plan initial d'amour, aura pu à terme être supprimé. Ce fut par l'expiation de la Croix de Jésus-Christ qui devra à ce jour encore être suivie de la glorification d'immortalité des croyants par la Nouvelle Naissance du sein de notre Maman céleste l'Esprie Sainte ou formation de l'Eglise des Vainqueurs en vue des accomplissements apocalyptiques finaux !
Cette relation du début que nous pourrions aussi appeler culte fut très rapidement encore davantage entachée par l'histoire d'Abel et de Caïn, ce dernier ayant refusé qu'il fallait que le sang animal provisoire coule en guise d'expiation pour une possibilité de survie et de culte. Le remplacement du sang sacrificiel de substitution par des légumes de Caïn fut par là l'instauration d'une nouvelle sorte de mythe-culte religieux « païen » puisque faux, ayant engendré l'irrémédiable meurtre de jalousie d'Abel.
2. Le mythe-culte et les divisions
Ce côté mythique est encore illustré par les divisions doctrinales et éthiques dont les cultes chrétiens divergents sont les reflets. « On prie comme on croit » dit-on !
En effet le mythe supplée aux carences de connaissance de l'être humain qui ne connaît « qu'en partie ». Les conceptions différentes de la Cène, des ministères entre autres démontrent cela. La réitérationdu sacrifice du Corps et du Sang de Christ de la Messe opéré par l'Église catholique romaine par les prêtres est le summum du mythe-culte car il est clairement écrit que Jésus est mort une fois pour toutes (Hébreux 7:27 ; 9:12 ; 10:10). Quel mythe que de croire que l'Église peut opérer dans la répétition le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ !!!
C'est pourquoi seule la Cène de Gloire du face à face peut mettre tout le monde d'accord. Ce « culte » glorieux du face à face ne sera plus entaché par le mythe parce qu'on « absorbera » réellement et glorieusement le Corps et le Sang de Feu et de Lumière métamorphosant de Jésus (Apocalypse 3:20).
Par ailleurs, la dichotomie entre paroles cultuelles d'une part et les faits réels d'autre part qui devraient en résulter au niveau des fruits laisse la place à une dimension mythique supplétive. Celle-ci « justifie » cette dichotomie et fabrique par là le fait religieux antinomique de la Révélation notamment dans le culte avec ses mythes.
Le mythe religieux cultuel se niche en effet dans les divisions entre la réalité immanente et la vérité prônée devant, comme dit, englober l'ensemble des réalités célestes bibliques. En d'autres termes, le mythe cultuel existe de par la rupture entre la réalité immanente, terrestre « voilée » et la vérité globale comprenant et révélant clairement les réalités célestes. Là encore, le mythe-culte est contre la Révélation qui justement « lève le voile ».
3. La Révélation a précédé le mythe-culte
« Adam connut encore sa femme ; elle enfanta un fils, et l'appela du nom de Seth, car, dit-elle, Dieu m'a donnée un autre fils à la place d'Abel que Caïn a tué. Seth eut aussi un fils et il l'appela du nom d'Énosch. C'est alors que l'on commença à invoquer le nom de YHWH. » (Genèse 4:25-26)
Avant Genèse 4:26 il n'y avait pas vraiment de mythe-culte trop dichotomique mais plutôt une relation de vis à vis au minimum conversationnelle directe avec YHWH ELoHiM nécessitant certes en principe, nous l'avons vu plus haut, le sacrifice animal expiatoire préalable.
Même le méchant Caïn avait cette relation conversationnelle avec Dieu que nous pouvons avec le recul aisément considérer comme extraordinaire voire enviable tout au moins dans sa forme et évidemment pas dans son fond (Genèse 4:5-15).
Nos prières et invocations actuelles semblant unidirectionnelles, sans réponse « normale » comme avec tout vis à vis, sont effectivement devenues par là des formes de cultes de type mythiques. En fait on s'adresse à Dieu sans vraiment attendre une réponse de Sa part.
L'invocation unidirectionnelle où il faut éventuellement essayer de « discerner » avec peine une ou des réponses, démontre que YHWH ELoHiM semble « caché », non révélé, qu'Il semble se taire. Ah, le silence de Dieu... quel jugement ! Bien entendu et heureusement de nombreux témoignages démontrent qu'il y eut, qu'il y a des réponses divines immédiates et merveilleuses ! Merci Seigneur !!! Ce sont ces exceptions qui confirment malheureusement la règle.
On est alors en droit de se poser la question de savoir s'Il a bien entendu ce que nous Lui avons dit et demandé. Ainsi, pour essayer de nous « rassurer » dans notre démarche religieuse, nous mettons un vernis religieux mythique de type plus ou moins incantatoire sur notre relation avec Celui qui n'est dorénavant même plus censé nous répondre.
Ce vernis est représenté par tous les « supports » religieux que l'être humain peut s'inventer à savoir des mythes sous diverses formes. Il met en place un peu de faste, de cérémoniel, de soi-disant vivant, spectaculaire, tangible, visible, rassurant, de consensuel collectif pour crédibiliser la religion, la dénomination, le « mouvement », l'événementiel religieux en question. Ces aspects mythiques clinquants servent à obtenir un certain « ordre fédérateur religieux » plus ou moins important.
4. Hénoc un précurseur de la fin du mythe-culte
« Hénoc marcha avec Dieu ; puis il ne fut plus, parce que Dieu le prit. » (Genèse 5:24 ; cf Hébreux 11:5).
Seule la solution « Hénoc » de vraiment « marcher avec » Dieu est valable. Le verbe hébreu HaLaK se traduit par aller, marcher, voyager avec, venir avec, retourner à, suivre, vivre simplement avec, couler entrer avec, dans.
Cette marche de cœur et de corps sur terre AVEC YHWH ELoHiM l'habitua d'emblée à être prêt à « déménager » au ciel sans mourir... comme ce fut le cas plus tard du prophète Elie !
La « mobilité » d'Hénoc AVEC YHWH ELoHiM ne laissait plus de place au mythe car elle l'en sortait par le constant changement de contexte, d'habitude religieuse traditionaliste mythique et zone de confort religieuse.
Hénoc, justement de par sa mobilité spirituelle, mentale et probablement physique, avait d'ores et déjà une relation, une communion, de dépendance d'amour libre, positive et constructive, de vis à vis avec YHWH ELoHiM Qu'il « suivait » réellement pas à pas. Cela engendra son l'expérience presque « logique » d'Immortalité ou Nouvelle Naissance En-Haut !!! Hénoc fut « pris » (LaKaCH : saisir, prendre, emporter, enlever, agréer, recevoir, épouser, emmener au loin, racheter).
Quand on marche, on change constamment d'environnement, le processus événementiel avec YHWH ELoHiM passe de surprise en surprise tant physique, que psychique et spirituelle ! Il n'y a alors plus « qu'un pas » pour « monter » ou « être LaKaCH » (pris) dans toutes ses significations !!! Voilà la seule et vraie « voie » pour que le mythe-culte soit dépassé par un vrai culte comme nous pouvons en voir les descriptions dans l'Apocalypse !!! Les prophètes, particulièrement Elie, marchaient eux aussi avec YHWH ELoHiM !
5. Le Père Noël des enfants « spirituels »
Le mythe religieux cultuel sera une sorte de Père Noël avec ses légendes, alimentant le monde imaginaire des enfants « spirituels ». Il aura toujours un caractère religieux, cultuel « bonhomme anesthésiant » d'aspect palliatif en attendant le moins péniblement possible la mort proche et certaine... !
Quand on voit mal et partiellement, on finit obligatoirement par imaginer ce que l'on croit voir mais qu'on ne fait que deviner.
Alors on suppose, on se crée des films, on greffe des semi-vérités et cela engendre des fictions imaginaires, légendaires donc mythiques qui deviennent très souvent des superstitions cultuelles religieuses aliénantes et faussement « rassurantes ».
Par exemple, les soi-disant apparitions mariales multiples ayant engendré des milliers de pèlerinages d'ordre cultuels avec toutes leurs idolâtries et superstitions sont clairement des mythes mensongers. Cela vient évidemment entre autres de la négation de la féminité de l'Esprie Sainte, féminité divine dont tout être humain né d'une mère a identitairement besoin dans sa foi et sa pratique. Le culte de Marie remplaçant l'Esprie Sainte relève ainsi d'un « supplétif » cultuel religieux mythique qui fonctionne d'ailleurs très bien.
La fin du mythe-culte ne pourra qu'être le face à face de la Révélation avec YHWH ELoHiM dans Sa Réalité visible et tangible en Vérité, permettant de Le voir réellement tel un être humain chrétien adulte devrait Le voir (1 Corinthiens 13:10-12).
Que nous le voulions ou non, le mythe-culte et la vie religieuse en général sont toujours partiellement mythique avec un côté Père Noël inévitable malgré les critiques des évangéliques du liturgisme des dénominations traditionnelles. Ils croient que leurs cultes sont préservés du mythe. Mais nous nous rendons compte que même les cultes évangéliques comportent des formes de liturgies même relativement dépouillées mais aux structures semblables répétitives et redondantes où le mythe-culte n'est pas de ce fait vraiment évitable.
Ainsi le mythe religieux cultuel même de caractère hautement charismatique est en quelque sorte l'airain et la cymbale qui retentissent (1 Corinthiens 13:1ss) s'il n'y a pas de RELATION, connexion ou communion vraies, visibles, effectives, directes, évidentes d'Amour où l'on « s'oublie ». Cette relation doit aboutir au bout du compte à la Révélation du face à face avec Celui qui est la Source de la vraie Vie.
Nous en sommes donc réduits à l'affirmation radicale et terrible que le culte est toujours partiellement mythe dans ces conditions. Il s'oppose au nom de la religiosité à la Révélation qu'on le veuille ou non. Souvent quand on vit des moments charismatiques de grâce très forts, on cherche toujours à reproduire le phénomène les fois d'après et c'est là qu'automatiquement le mythe s'installe et se renforce.
Le conflit entre Jésus, la Révélation par excellence et les pharisiens vint du fait mythologique religieux et légaliste généré par le pharisaïsme. Là encore, le mythe-culte est contre la Révélation. Il n'y a que peu de doutes que si Jésus déambulait aujourd'hui sur terre, il y aurait un conflit semblable mais surtout avec les chrétiens... ! Cela vient du fait d'une sacralisation du mythe-culte auquel « on ne touche pas » sous peine de sacrilège et de blasphème !
6. L'Apôtre Jean vécu le vrai dépassement du mythe-culte
L'exemple de l'Apôtre Jean que l'Eglise aurait d'emblée dû suivre, est parlant ! Par sa montée, en « devenant en Esprie » (egenomen en Pneuma ; Apocalypse 4:2ss jusqu’à 6:1) il expérimenta le vrai culte dans la Gloire et le face à face devant le Trône !
Pour vivre cela, il nous faut passer la porte ouverte dans le ciel et obéir à la voix telle une trompette qui dit « monte ici » ! (Apocalypse 4:1)
Si YHWH ELoHiM a fait cette grâce merveilleuse à l'Apôtre Jean Il veut aussi nous la faire et ceci dès aujourd'hui ! Encore faut-il prioritairement y croire, la vouloir, la rechercher, l'enseigner de tout notre cœur et aussi de tout notre corps ! Elle est et restera toujours encore, le fruit, l'accomplissement parfait du sacrifice expiatoire de la Croix et de la Résurrection ! Notre Maman céleste, l'Esprie Sainte est là pour accomplir cette grâce en nous enfantant En-Haut devant le Trône !!!
C'est pourquoi tout culte devrait « tendre vers » le vrai culte véritablement devant le Trône.
7. Concrètement, que faire ?
« Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » (Matthieu 6:33)
- Chercher : le culte doit d'abord être une recherche. Par définition une recherche signifie essayer de trouver quelque chose que l'on ne connaît pas !!! Cet aspect de recherche est clairement une démarche prophétique où l'on porte en avant (pro : en avant ; phéro : porter) l'inexploré, l'inconnu, l'inhabituel comme ce fut le cas pour Hénoc et Elie. C'est pourquoi l'Apôtre Paul prône pour le culte une recherche prioritaire du don de prophétie !!! (1 Corinthiens 14:1) La prophétie et le ministère prophétique doivent avoir une priorité : le Royaume et la Justice de Dieu !
- Le Royaume de Dieu : on le voit, on y entre par la Nouvelle Naissance En-Haut du sein de notre Maman, l'Esprie Sainte ! (Jean 3:5ss) Pour le culte, le Royaume de Dieu, donc y entrer et le voir, autrement dit la « montée » doit être le but de la recherche collective prophétique prioritaire !!!
- La Justice de Dieu : elle s'applique dans le sang justificateur de Jésus pour celles et ceux qui se repentent et acceptent le salut. Mais elle s'applique ensuite par les combats et le règne de l'Eglise des Vainqueurs sur terre !!! C'est pourquoi toutes les bénédictions décrites en Matthieu 6 seront de la sorte notre part !!! Par ailleurs les combats victorieux apporteront la réussite de l'évangélisation mondiale (Apocalypse 6:2 ; 7 :4ss), l'éjection du Dragon des lieux célestes (Apocalypse 12:7ss), l'éjection du Dragon de la terre , accompagné de l'instauration du Millénium (Apocalypse 19:11ss). Tout cela donnera une réponse vraiment messianique correspondant au messianisme de l'Ancien Testament et donnera une réponse importante à la lancinante question : « Si Dieu existait, il n'y aurait pas tant d'injustices et de malheurs sur terre ! »
Conclusion
L'Église est comme un enfant non éduqué et gâté méprisant un cadeau en n'ouvrant pas le paquet et n'en profitant pas !
Elle n'aime pas les « surprises » mais les traditions, les habitudes de toutes sortes qu'elle sacralise en conséquence ! C'est pourquoi elle aime le contrôle via entre autres le mythe-culte auquel tout « fidèle » doit obligatoirement se conformer, « prendre la forme », s'identifier à... en adoptant l'étiquette, la dénomination, le style de la dénomination considérée comme le Royaume de Dieu sur terre, d'où cette sacralisation intouchable et intangible ! Il faut donc radicalement désacraliser le mythe-culte et les ministères qui s'y identifient et s'y rattachent.
Le Royaume de Dieu s'est « approché » mais il n'est pas sur terre et se trouve uniquement au ciel. Il faut donc naître de nouveau une seconde fois En-Haut pour ENTRER dans le Royaume de Dieu et faire appliquer Sa Justice.
Désacralisons le mythe-culte, marchons avec Dieu, entrons dans le Royaume de Dieu par la montée et voyons ce qu'est le vrai culte dans une vraie relation avec Celui auquel nous voulons justement rendre ledit culte (cf. Apocalypse 22:3).
En Lui.
Martin Busch
En Jésus, Martin BUSCH
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire