14 octobre 2015

EXTRAIT DE L’ENSEIGNEMENT SUR LA SAINTE CÈNE DONNÉ par JOSEPH PRINCE

EXTRAIT DE L’ENSEIGNEMENT SUR LA SAINTE CÈNE DONNÉ par JOSEPH PRINCE

Smith wigglesworth prenait la sainte cène tous les jours et il a ressuscité 10 personnes, et lorsqu’il est mort il n’avait aucune maladie. Le Seigneur lui avait dit de prendre la sainte cène tous les jours.
Il y a un seul endroit dans le Nouveau Testament, où Paul dit : « C’est pour cette raison (au singulier) que beaucoup sont faibles, malades et que beaucoup sont morts.. »
Dans tout le Nouveau Testament Paul a mentionné une seule raison pour laquelle les chrétiens dans l’église sont faibles, malades et meurent avant leur temps.
C’est parce qu’en prenant la sainte cène, ils ne discernent pas le corps du Seigneur. Ils ne savent pas pourquoi ils mangent le pain. Et Paul dit que quand vous faites cela, vous prenez part au repas du Seigneur d’une façon indigne. Et au cours des années, l’église de Jésus-Christ a mal interprété cela, et a dit : « S’il y a des péchés dans votre vie, ne prenez pas la sainte-cène, ou vous allez tomber malades et mourir ! »
Ils ont transformé ce qui était une bénédiction en malédiction.
Quand j’étais un jeune chrétien, j’ai entendu la même chose : « Si tu as des péchés dans ta vie ne prends pas la sainte cène sans cela tu risques de tomber malade, ou de mauvaises choses vont t’arriver.
Et vous savez quoi ? Quand la sainte cène passait, je la laissais passer ! Ma mère n’a pas élevé un idiot. Si on me demande si j’ai des péchés dans ma vie, et que je risque d’être malade,  je préfère jouer la carte de la prudence. Et j’ai joué la carte de la prudence pendant longtemps, me privant ainsi de la bénédiction et des bénéfices du corps meurtri de Jésus et de Son sang.
Imaginons que vous ayez la malaria : vous tremblez, vous avez des sueurs froides, et j’ai de la quinine qui est un remède contre la malaria. Donc je vous apporte de la quinine, mais vous ne croyez pas en son efficacité. Alors je vous dis de la prendre, mais vous refusez de discerner qu’elle est la solution, le remède. Vous ne voulez pas recevoir le remède. En fait vous provoquez un jugement contre vous en faisant cela.
Ce n’est pas que la quinine vous donne un poison. Non, la quinine et le remède ! C’est quand vous refusez la quinine qu’en fait vous buvez un jugement contre vous. Vous refusez de prendre ce qui peut vous aider. C’est ce que la phrase dit.
Elle ne dit pas que si vous prenez le pain et la coupe de façon indigne, le sang et le corps vous détruisent ! Non, cela signifie que quand vous prenez la sainte cène, vous devez vous assurer que vous libérez au travers de votre foi, les bénéfices que par ce moyen Dieu veut vous accorder.
Dans le naturel votre corps se détruit chaque jour. Les cellules du cerveau meurent tous les jours.
Alors Dieu nous a donné la solution pour arrêter cette destruction, pour nous assister de façon surnaturelle. La sainte cène n’a jamais été faite pour vous détruire encore plus.
Et pour une certaine raison, les gens disent ne prenez pas la sainte cène si vous n’en êtes pas dignes.
La Bible dit de ne pas prendre la sainte cène d’une façon indigne. Qu’est-ce que cela signifie ?
Prendre le pain comme un rituel en ne sachant pas ce que l’on fait....juste parce qu’on a faim !
C’est ce qui se passait au temps de l’église primitive. Ils ne discernaient pas le corps du Seigneur, et donc ils ne libéraient pas leur foi, ne sachant pas ce que voulait dire ce pain.
Cette petite miette…Une femme a réclamé cette petite miette, et le diable est sorti de sa fille.
Donc, quand vous libérez votre foi, même une petite miette va libérer la guérison dans votre corps.
L’église a mélangé le pain et le vin. Les gens ne font pas la différence entre les deux.
Jésus n’a pas mélangé les deux en disant : « Prenez cela pour le pardon de vos péchés ! »
Le dernier soir Jésus a rompu le pain et l’a donné à Ses disciples, en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps ». Après cela Il a pris la coupe. Il a dit : « Buvez ! » Jésus a séparé les deux.
Chacune de ces deux choses a sa propre fonction : Lisons 1 Corinthiens 11 :29 « Car celui qui mange et boit de façon indigne, mange et boit une condamnation contre lui-même, en ne discernant pas le corps du Seigneur. » (Traduction du verset en anglais)
Il est dit : « De façon indigne ». Il n’est pas dit que la personne est indigne.
« De façon indigne » se rapporte à une action. La façon dont on fait quelque chose.
Ce n’est pas la personne qui est concernée, mais c’est la façon dont elle fait quelque chose.
Prendre la sainte cène de façon indigne, ne signifie pas qu’on est indigne, mais que la chose que l’on fait n’est pas faite correctement, qu’elle n’est pas faite comme Jésus l'a prévue.
Jésus a dit de prendre la sainte cène en discernant Son corps brisé, afin que tout notre corps aille bien !
Quand vous faites cela de cette façon, vous prenez la sainte cène de façon digne.
Parce que Jésus est mort pour des gens indignes. Les gens indignes sont les seuls qui prennent la sainte cène. Il n’y a aucune personne, aucune créature qui soit digne, même pas le meilleur d’entre nous ; Mais Jésus nous a qualifiés pour que nous ayons part à tout ce qu’Il nous a donné.
Ici, il n’y a personne qui n’ait pas de péché dans sa vie,  dans la chair. Dans notre chair, il n’y a pas de choses bonnes. Mais cela ne nous arrête pas, parce que Jésus-Christ est mort pour des gens indignes.
Donc ne prenez pas la sainte cène comme un rituel, ou parce que vous avez faim. Vous ne discernez pas la bénédiction et vous passez à côté.
Donc si l’on ne discerne pas le corps du Seigneur, on passe à côté de la bénédiction.
L’église primitive savait que la coupe était pour le pardon des péchés, mais les gens ne discernaient pas à quoi servait le pain.
C’est pour cette raison (si on ne discerne pas le corps du Seigneur), que beaucoup dans l’église sont faibles, et malades et qu’un certain nombre sont morts. Ils sont morts avant leur temps.
« De même après le repas, Il prit la coupe rendit grâce, (Il a rendu grâce) et leur donna en disant « buvez en tous » : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang versé pour beaucoup pour la rémission des péchés » (traduction de l’anglais)
A chaque fois que vous prenez la sainte cène vous renversez la malédiction dans votre vie.
Si nous discernons le corps du Seigneur, nous prenons la sainte cène d’une façon digne. Et par conséquent nous sommes tous forts, en pleine santé, et nous vivrons tous longtemps.
Donc, prendre de façon digne, signifie « discerner le corps du Seigneur ».
Le fait de prendre la sainte cène a des effets secondaires : Vous avez l’air plus jeune qu’il y a 5 ans.
Au travers de la sainte cène, le Seigneur a pourvu pour que nous ayons aussi la guérison de façon progressive, sans la pression de la prière de la foi où il faut croire tout de suite.
Avec la sainte cène, on va de mieux en mieux à chaque fois qu'on la prend. On peut la prendre comme on prendrait un médicament. La sainte cène rajoute des jours à votre vie et de la vie à vos années.
La guérison peut se produire aussi d’un seul coup en prenant la sainte cène.
Ce message est vital, car après le salut, la plus grande bénédiction sur cette terre, c’est la santé.
Si l’on est malade on ne peut rien faire. Même si l’on a toutes les richesses du monde (Famille, nourriture, voiture, maison), on ne peut pas en profiter en étant cloué sur un lit.
Donc la santé est la plus grande bénédiction dont vous devez jouir, pour profiter de tout le reste.
ACTES 2 : 41-42
« Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et ce jour-là, le nombre des disciples s’augmenta d’environ trois mille âmes. Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières. »
Il y a quatre choses que l’église primitive faisait :
Enseignement des apôtres (La Parole de Dieu)
Communion fraternelle
Fraction du pain (la sainte cène)
Prières
Conséquences :
ACTES 2 : 43
« La crainte s’emparait de chacun, et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres."
ACTES 2 : 46
« Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur."
A cette époque, les croyants se réunissaient  tous les jours, dans le temple ou dans les maisons.
Ils prenaient la sainte cène tous les jours, et il y avait des prodiges et des miracles.
Il n’y a aucune loi dans la Bible qui dit de prendre la sainte cène tous les jours. Mais si vous êtes malades, prenez la sainte cène de la même façon que vous prendriez un médicament prescrit par le médecin : Trois fois par jour.
Certaines personnes ont fait cela et la maladie est partie, même dans des cas très graves.
Nous devons faire le maximum pour discerner le corps du Seigneur.
Lorsque Jésus était sur la terre, Il guérissait tous les malades. Aujourd’hui, Il veut que nous marchions tous dans la santé divine. 
Quand le Seigneur a institué la sainte cène, c’était le jour où Il a été trahi par Juda. Ses disciples étaient là, et Il a pris le pain et l’a rompu. C’était du pain « matza » qui devait être sans levain, car le levain est le symbole du péché. Ce pain est strié, brûlé et percé. Il représente Jésus sur la croix. (Il a été battu, percé par les clous, brûlé par le jugement de Dieu qui est tombé sur Lui.)
C’est ce même jour que les juifs célébraient la Pâque (ancienne alliance). La sainte cène a été instituée le même jour que la pâque juive (La sainte cène célèbre la nouvelle alliance).
Jésus a pris le pain et l’a rompu, comme Son corps a été brisé par les coups et le fouet. Aucun de ses os n’a été cassé, mais Son corps a été cassé, pour que notre corps puisse être en bonne santé. Il a donné le pain à Ses disciples en disant que c’était Son corps.
L’impact sur les disciples a été énorme, quand Il a dit : « Ceci est mon corps ! ». Car ils ont vécu trois ans et demi avec Jésus, et ils ne l’ont jamais vu malade une seule fois. Et quand Jésus a dit de manger Son corps, ils savaient que cela faisait référence à la santé. Ils avaient vu les gens toucher Jésus et être guéris. Son corps et Ses vêtements étaient remplis de santé.
Les disciples avaient vu des gens sans mains, sans pieds, ramper vers Jésus pour le toucher, et être parfaitement guéris, à un point tel que les membres manquants étaient recréés.
Tous ceux qui le touchaient recouvraient la santé à cause de la puissance qui sortait de Lui.
Voilà deux façons extrêmes de voir la Sainte Cène :
L’enseignement de l’église catholique romaine
Ils prennent la sainte cène toutes les semaines. Ils croient que lorsque le prêtre prend le pain et prie, il se transforme et devient le corps de Jésus. Personne ne peut le toucher à part le prêtre et il passe devant les gens, et leur met le pain dans la bouche. Ils ne sont pas censés  mordre le pain, mais ils doivent l’avaler parce que c’est le corps de Jésus. On appelle cela la « Transsubstantiation ». Le pain devient littéralement le corps de Jésus. C’est pour cette raison que l’église catholique pense qu’un pécheur peut recevoir Jésus de cette façon, mais ce n’est pas scripturaire.
Donc l’extrême dans ce cas-là, est que le pain devient littéralement le corps de Jésus entre les mains du prêtre.

Les protestants
Martin Luther croyait comme les catholiques que quand le prêtre prononçait la parole, Christ était présent dans le pain. Un autre homme de Dieu réformateur suisse nommé Zwingli, a vu l’erreur de Martin Luther et bien qu’étant un grand homme de Dieu, il a basculé dans l’autre extrémité. Il a dit que le pain et le vin n’étaient que des symboles.
Dans beaucoup d’églises, le pain et le vin sont pris comme cela, comme des symboles servant à rappeler. Dans ce cas-là, il n’y a pas non plus de puissance.

Entre ces deux visions, Il y a le milieu : Comment Dieu voit la Sainte Cène?
Jésus a dit : « Prenez, ceci est mon corps… »
Voici l’interprétation correcte : Jésus a pris le pain, l’a rompu et a dit : Prenez…
Il faut d’abord le prendre, et ensuite le manger. (Ensuite il y a une pause dans le texte grec).
Puis Il a dit : « Ceci est mon corps brisé pour vous ».
Tant que c’est dans la main de Jésus, c’est encore du pain. Quand Il le met dans la main des disciples, c’est encore du pain. Quand vous le recevez, c’est encore du pain.
Puis vous le mettez dans la bouche et vous le mâchez : C’est encore du pain.
Mais au moment où vous l’avalez, où il descend dans votre corps, de façon mystérieuse, cela devient le corps du Seigneur.
Encore une fois, Jésus a dit : « Prenez, mangez (et ils ont mangé). Il y a là une pause, puis Il a dit : « Ceci est mon corps brisé pour vous ».
Vous devez croire que quand vous prenez le pain, la transformation ne se fait pas à l’extérieur, mais à l’intérieur du corps, parce que votre corps est le temple de Dieu.
C’est la même chose pour la coupe.
Il a pris la coupe, l’a donnée à Ses disciples. Puis dans le texte grec, il y a une pause.
« Prenez, buvez… ». Ils l’ont bue.
Après qu’ils l’aient bue, Il a dit : « Ceci est la coupe de la nouvelle alliance en Mon sang »
Ils savaient qu’à l’intérieur d’eux, le pain et le vin étaient devenus le corps et le sang du Seigneur.
Donc ce n’est pas totalement littéral, ni totalement symbolique. C’est les deux en même temps.
Quand la sainte cène est prise dans un esprit de foi, de grandes choses se passent.
Quand vous prenez le pain, vous voyez Jésus sur la croix en train de porter votre problème.
Si vous avez un problème aux yeux, vous le voyez porter votre problème aux yeux, si c’est un problème de cheveux, vous le voyez porter votre problème de cheveux, etc…
Et quand vous voyez cela, remerciez le Seigneur, et dites-lui : Je prends une partie de ton corps en pleine santé. Il y a eu des meurtrissures, et dans Tes meurtrissures j’ai été guéri.
La même chose pour la coupe.
La guérison peut être immédiate ou graduelle.

Vous vous demandez comment quelque chose d’aussi simple peut amener la guérison.
Rappelez-vous que la malédiction est venue dans le monde, à cause d’un simple acte : manger.
Pourquoi le contraire de la malédiction ne pourrait-il pas être aussi simple ?

Genèse 3 : 6
« La femme vit que l’arbre était porteur de fruits bon à manger, agréable à regarder, et précieux pour ouvrir l’intelligence. Elle prit de son fruit et en mangea. Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea »

Elle prit du fruit, en mangea, et en donna à son mari. C’est ce qu’on appelle « la chute de l’homme ».

Voici maintenant l’inversion de la malédiction :

Matthieu 26 : 26
« Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain et prononça la prière de bénédiction, puis il le rompit et le donna aux disciples…

Eve a pris, a mangé et a donné.
Jésus a pris, a rendu grâce et a donné. Et il a dit : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »
Il prit ensuite une coupe et remercia Dieu, puis il la leur donna en disant : « Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui est versé pour beaucoup, pour le pardon des péchés.

A chaque fois que vous prenez la sainte cène, vous inversez la malédiction dans votre vie.
Si vous prenez la sainte cène dans un lieu, les démons qui sont là s’enfuient.
A chaque fois que vous prenez la sainte cène, vous dites aux principautés et dominations que la mort du Seigneur est efficace pour vous. 
Dans l’Ancien Testament, à chaque fois qu’Israël perdait une bataille, Ils sacrifiaient un agneau pour l’holocauste. Ils déclaraient la mort du Seigneur, et les choses changeaient.
Quand les choses n’allaient pas, ils offraient l’agneau, et ensuite ils avaient la victoire et la protection.
Aujourd’hui, on ne refait pas le sacrifice de Jésus, car Il l’a fait une fois pour toute. Mais on prend la sainte cène pour nous rappeler et proclamer, devant les principautés et les dominations, et devant  les puissances de l’air qui sont invisibles, que nous mettons notre vie, nos familles et tout ce que nous possédons dans la mort de Jésus, et nous avons la protection!
Et nous le faisons jusqu’à ce que Jésus revienne.
Quand vous buvez la coupe, rappelez-vous que nous avons la rédemption par Son sang.

Qu’est-ce que la rédemption ? Un prix payé pour vous sortir de la malédiction de la loi, et de toute malédiction transgénérationnelle.
Avant de sortir d’Egypte, les enfants d’Israël on fait l’aspersion de sang sur les deux poteaux et le linteau de la porte de leurs maisons. Puis ils ont mangé l’agneau rôti au feu.
Pourquoi ont-ils fait cela ?
L’agneau qu’ils ont mangé est le même agneau dont on a pris le sang pour asperger les poteaux et le linteau de la porte.
Donc le sang était fait pour que l’ange de la mort passe au-dessus des maisons. Quand il verrait le sang, il saurait qu’une mort s’était déjà produite à cet endroit. Le jugement passerait alors au-dessus de leur tête.
Nous tous qui croyons en Christ, le jugement est passé au-dessus de nos têtes à cause du sang de Jésus.
Pourquoi devaient-ils manger l’agneau rôti ? Dieu leur avait dit de ne pas le manger cru.
L’agneau rôti était l’image de Jésus sur la croix, recevant le feu du jugement de Dieu à notre place.
Les Hébreux ont dû manger toutes les parties de l’agneau, et le jour suivant quand ils sont partis, ils avaient tous de l’or et de l’argent, et aucun d’entre eux n’était malade. Et pourtant il y avait aux moins 3 millions de personnes.
Le sang sur la porte les a sauvés de la damnation éternelle, et l’agneau rôti leur a donné la santé pour tout leur voyage vers la terre promise.
Le sang de Jésus vous empêche de connaître la destruction éternelle.
Le corps de Jésus vous donne la santé physique et émotionnelle, et la vie sur la route qui vous mène au ciel.

La sainte cène est réservée aux croyants.


(D'après un message sur cd: "La puissance de guérison donnée au travers de la sainte cène")
Traduit et transcrit par Evelyne Sordet










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