Pasteur Yves GRAVET
Chacun cherche à assurer son avenir…
Chacun cherche son refuge.
Chacun cherche à sauver son mode de vie…
Chacun cherche son coin de paradis.
Chacun veut sauver sa planète terre.
Chacun marche avec ses propres repères…
Mais ! Combien de ces repères sont à l’image de ces lampadaires qui s’éteignent ?
Et voici, les ténèbres viennent peser de plus en plus sur la vie des familles ; les angoisses viennent recouvrir de nombreux cœurs dans l’inquiétude d’un lendemain incertain ; des souffrances lancinantes produisent des gémissements qui s’élèvent çà et là.
Satan, le prince du monde de ténèbres offre ses solutions idéologiques par lesquelles il vient dominer dans l’esprit de ceux qui faiblissent, et c’est ainsi qu’il vole des vies, détruit des structures familiales. Les suicides, les crimes, la corruption, les révoltes gagnent des cœurs çà et là. Les pilleurs font entendre leurs armes pour accomplir leurs méfaits. Tout cela se passe même au milieu de bonnes choses qui, çà et là, se manifestent en vue d’apporter un tant soit peu d’espérance dans un cadre que l’on dit « maintenir sous surveillance ». Mais en vain. Existe-t-il vraiment un refuge où la paix demeure ?
Et pire encore, jusqu’au sein de notre christianisme des croyants sont pris dans ce filet de l’oiseleur… alors que… oui !… alors que le message de notre Seigneur Jésus nous destine à un mode de vie bien plus glorieux, nous donnant toute chose pour être « des gagnants ! », récompensant « celui qui vaincra… ! » (Voir Apocalypse la lettre aux 7 Églises).
Bref. Au risque de me répéter, notre nature humaine a été rendue perdante par la désobéissance au plan glorieux dans lequel Adam et Ève vivaient dans la perfection de Dieu. Gagnée par l’injustice et la rébellion, notre nature humaine a été séparée dans sa globalité de la perfection de Dieu. Elle a perdu son éclat glorieux, subissant inévitablement le vieillissement et les œuvres de la maladie, et tant d’autres maux.
Le don de l’Amour de Dieu a donc été d’envoyé Jésus, né sans péché, afin de porter cette nature humaine jusqu’à ce qu’elle reçoive, par la crucifixion, le jugement définitif de notre condamnation.
Voici pour l’œuvre de la croix.
Que nous l’acceptions ou que nous ne l’acceptions pas, la croix demeure afin de nous rappeler cette œuvre incontournable de Justice et d’Amour pour notre salut qui implique notre engagement personnel pour être assuré de passer notre vie éternelle dans la demeure céleste de Notre Père.
L’œuvre de la croix est simple à comprendre.
Pour quelle raison Jésus, Lui qui n’était pas corrompu, donc innocent de tout mal, a-t-Il appris à marcher dans l’obéissance de Dieu Son Père jusqu’à être crucifié sur une croix ?
Injuste, direz-vous ! Et je suis bien d’accord avec vous sur un plan humain.
Ce qu’il faut comprendre dans cette crucifixion : La nature humaine a démontré ce qu’elle était à son comble, tout comme aujourd’hui, n’est-ce pas ! Elle n’a pas changé.
Vous en faudrait-il une preuve supplémentaire ?
Elle est capable d’aimer, et cinq minutes après elle est capable du pire, au point de haïr et d’aller jusqu’à tuer. Les peines de mort exercées çà et là ne changent pas la configuration. La nature humaine est soumise à Satan, le prince de ténèbres.
Jésus, le Fils de Dieu, a été envoyé pour vivre comme un homme dans notre humanité corrompue. Il a été tenté par Satan en toute chose comme nous pouvons l’être. Mais avec cette différence : Il n’a jamais succombé à la tentation au point de commettre le moindre mal.
Aussi, par Sa conduite et Sa Justice inspirées de Son Père, Il a mis en lumière la rébellion existante dans le cœur de ceux qui, soucieux de sauver les apparences de leur piété, s’étaient renfermés dans le légalisme politico-religieux.
Pour autant, « le joug » de la servitude, avec ces œuvres destructrices psychiques et physiques, pesait sur les gens ; ils étaient tenus en captivité.
Conducteurs aveugles qu’ils étaient, ils ont choisi la libération d’un voleur en échange de Jésus, l’homme de Nazareth.
Lui qui était innocent, ils L’ont déclaré « blasphémateur » car Il leur démontrait que leur religiosité ne pouvait pas les sauver ; ils Lui ont donc fait vivre l’application de leur propre justice : la crucifixion sur une croix.
Face à leur jugement, conscients de l’innocence de Jésus, les Romains s’en lavèrent les mains.
Pour autant, aveuglés par cette haine et cette soif d’exercer leur propre justice, ils ne virent pas que dans cette sentence, c’était leur propre nature – notre nature humaine qui fut portée à la croix par Jésus, L’envoyé de Dieu, pour y subir le châtiment qui lui était réservé.
Il ne pouvait en être autrement.
Notre nature humaine, ayant perdu la gloire de Dieu qui lui était attribuée à l’origine, a reçu Sa sentence, et cela une fois pour toutes.
C’est fait.
Jésus a tout accompli.
Il n’y a rien à rajouter à Son sacrifice.
Il a satisfait à la Justice de Dieu pour nous racheter de la malédiction.
Désormais, si nous voulons avoir avec Lui notre place dans la maison de Notre Père, notre salut se trouve en Jésus Seul.
En dehors de Lui, il n’y a point de salut.
Accepter cette œuvre, c’est commencer par s’arrêter devant cette croix (sur laquelle Jésus n’est plus) et, sous l’influence bienfaisante du Saint-Esprit, laisser notre cœur s’incliner dans la grâce de Dieu, jusqu’à fléchir les genoux.
C’est méditer sur cette œuvre comme étant « LE » témoignage de l’Amour que Dieu notre Créateur et Notre Père a manifesté par Son Fils Jésus afin de nous racheter.
Et de reconnaître que Lui Seul a vaincu concrètement Satan. Lui qui avait la puissance de nous asservir et de nous maintenir dans la mort, a été rendu impuissant (Hébreux 2 :14, 15, Apocalypse 1 :18).
Jésus est Le Premier-né d’entre les morts au nombre desquels nous sommes tant que nous n’avons pas pris la décision de reconnaître et d’accepter Son alliance. Il a été enlevé de notre humanité pour monter au ciel afin d’y recevoir de Dieu le Père, Honneur, Gloire et Immortalité (Romains 2 :7).
À partir de là, ce n'est plus le "moi", c'est-à-dire notre nature charnelle qui vit. Mais, comme l’argile est placée entre les mains du potier qui va la façonner pour en former un vase en lui donnant la forme qu’il lui plaît, nous confions notre vie entre les mains du potier, Jésus-Christ, qui, par le Saint-Esprit, forme alors notre esprit, libère notre âme, et régénère notre corps jusqu’à le revêtir de Sa nature céleste en vue de nous rendre semblables à Son image, car Il nous offre en partage Sa vie glorieuse.
C'est sur la base de Ses promesses que nous sommes appelés à être dirigés par le Saint-Esprit, jusqu’à parvenir à « ETRE » ce que Jésus a fait de chacun d'entre nous. C’est ce que le monde attend.
Difficile ? Non !
Possible ? Oui !
Il suffit d’accepter dans notre cœur que « tout est possible à Dieu », de croire « que rien ne Lui est impossible ». Et de là, en le démontrant par des actes dits « actes de foi », saisir « ce que nous croyons avoir obtenu de Lui par pure grâce », afin d’entrer concrètement dans le vécu de la foi qui nous vient de Sa Parole.
Cette foi est gagnante.
Elle est la clé pour réussir notre mode de vie auquel nous sommes conviés à la table du Roi des rois.
Au départ, chez certaines personnes, la foi reste le simple fait de croire, et qu’à partir de là tout peut leur arriver. Et ils attendent, comme par enchantement, une faveur au bon vouloir de Dieu.
Cela ressemble à un malade qui resterait avec une ordonnance dans la main, attendant les effets positifs d’un remède qu’il possède sur « papier », mais qu’il n’est pas allé chercher à la pharmacie et ne peut donc pas le consommer : il peut attendre longtemps la faveur de ce remède, car rien ne se passera dans son corps. Et il restera soumis à la cause de ses maux.
Comme vous pouvez imaginer que votre compte bancaire est approvisionné, et ne jamais aller vérifier le solde disponible sur votre compte. Soit vous dépensez ce que vous ne possédez pas ; soit vous ne dépensez pas, parce que vous ignorez ce que vous possédez.
Beaucoup de personnes ont fait naufrage par rapport à la foi, parce qu’elles ont agit aveuglément en demeurant dans le domaine de la chair et du sang, ignorant alors ce qu’elles possédaient réellement avec Jésus dans les lieux célestes. Sans calculer le prix de leurs actes, elles sont allées « par leur propre foi » jusqu’à sacrifier aveuglément leur vie et leurs biens.
Satan est un voleur.
Ce genre de foi ne l’importune pas. Elle le sert.
Nous ne naissons pas avec la foi, même si nous naissons dans une famille qui pratique un tant soit peu la religion chrétienne. Nous pouvons marcher avec des croyances et faire partie des aveugles. Or, la foi véritable ne nous fait pas marcher comme des aveugles.
La foi qui vient de Dieu est la clé qu’Il nous donne pour demeurer dans le repos, dit le repos de la foi, et vivre ainsi avec assurance au bénéfice de Sa Justice.
Cette foi vient à nous…
Elle vient à nous…
Elle vient à nous…
Oui ! Elle vient à nous… aussi petite soit-elle.
Cette foi vient de quelque part.
Elle est motivée et approuvée par l’Amour de Dieu.
Elle a Sa source.
Elle est Sa provision.
Elle a Sa propre nature.
Elle a Ses composants.
Elle produit Ses bons fruits.
Elle reçoit comme récompense le témoignage favorable de Jésus.
C’est dans notre union avec Lui qu’elle naît de Lui dans notre cœur.
C’est Lui qui est le Chef et le Consommateur de cette Foi.
C’est dire que Jésus ne consomme pas n’importe quelle foi.
Mais celle qui Lui est agréable vient de Lui, de Sa Parole, de la même nature que Lui.
Elle est la clé qui porte l’empreinte de Sa nature glorieuse avec laquelle nous avons un libre accès dans le lieu Très-Saint.
Elle est la clé unique qui restitue les bénédictions du ciel sur la terre.
Elle est la clé avec laquelle « nous allons acheter gratuitement » la bénédiction de Dieu.
Cela vous choque ?
Car la bénédiction de Dieu a un prix !
Et ce prix n’est pas du domaine de la chair et du sang.
Il n’est pas le prix d’un sacrifice humain.
Il est celui de la FOI qui vient de ce que l’on entend et de ce que l’on voit dans les lieux célestes, là où Jésus nous a fait asseoir ensemble avec Lui (Éphésiens 2 : 6).
Cette foi est la monnaie unique au monde, à l’effigie du Roi des rois, avec laquelle nous recevons la possession du « tout pleinement en Jésus » pour le restituer judicieusement de Sa part sur la terre comme au ciel.
Il nous donne à cet effet la forme qui Lui plaît pour ÊTRE comme Lui : « LA FOI EN ACTION ! »
Voilà NOTRE mission à laquelle nous sommes tous destinés à vivre glorieusement: ETRE LA FOI EN ACTION !
« Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent ! Venez, achetez et mangez, venez achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer ! Pourquoi pesez-vous de l’argent pour ce qui ne nourrit pas ? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents. » Ésaïe 55 : 1, 2.
La foi est et reste le moyen unique pour démontrer d’une manière concrète ce que nous croyons posséder réellement et conformément à la volonté de Dieu, mais non à notre propre volonté.
La foi vivante ne peut donc rester à l’état de bonnes intentions chrétiennes, ni être cloisonnée dans une spiritualité imaginaire qui équivaut à une foi flottante à tout vent de doctrine.
Elle n’est pas « une monnaie morte ».
Car, en fusionnant par le Saint-Esprit avec Jésus dans Sa gloire, nous pouvons entendre de Dieu le Père, voir de nos yeux dans les lieux célestes.
Et, revêtus du vêtement de gloire de Son Fils premier-né, Lui qui nous appelle « frères » (Hébreux 2 :10 à 18), nous sommes les membres de Son corps, donc sensés être de la même nature que Lui.
Nous avons mission de restituer Ses moindres bienfaits, à commencer au sein de ceux qui Lui appartiennent, non par force ni par l’intelligence, mais au moyen de la Foi qui nous vient de Lui.
Elle est la clé qu’Il nous donne pour servir en conséquence et en toute circonstance de quoi rendre glorieux notre mode vie.
Son Amour motive l’action de cette foi qui met en lumière le témoignage de notre ferme assurance de posséder ce que nous entendons de Lui ou de ce que nous voyons de Lui dans la maison de Notre Père.
Maintenant, c’est un fait, chacun choisit de vivre ce qu'il croit, bon ou mauvais.
Il y a ceux qui payent, même très cher, pour connaître leur avenir, savoir ce qu'il faut croire...
Combien de ces citernes crevassées s’affichent sur les pages des quotidiens et proposent leurs « boissons pétillantes de mensonges ».
Attention au contenu : Poison pour une mort spirituelle certaine voire physique, même si elle est lente ! Un poison sans limite qui répand ses effets néfastes jusqu’au sein de la famille.
Lire Actes 16 : 25 à 34.
« 25 Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient.
26 Tout à coup il se fit un grand tremblement de terre, en sorte que les fondements de la prison furent ébranlés ; au même instant, toutes les portes s’ouvrirent, et les liens de tous les prisonniers furent rompus.
27 Le geôlier se réveilla, et, lorsqu’il vit les portes de la prison ouvertes, il tira son épée et allait se tuer, pensant que les prisonniers s’étaient enfuis.
28 Mais Paul cria d’une voix forte : Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.
29 Alors le geôlier, ayant demandé de la lumière, entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas ;
30 il les fit sortir, et dit: Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ?
31 Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille.
32 Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu’à tous ceux qui étaient dans sa maison.
33 Il les prit avec lui, à cette heure même de la nuit, il lava leurs plaies, et aussitôt il fut baptisé, lui et tous les siens.
34 Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa famille de ce qu’il avait cru en Dieu. »
Ce geôlier a compris où était Sa source de salut pour lui et sa famille. Il a reconnu l’œuvre de Jésus. Il a accepté Son œuvre salvatrice. Il a fléchi devant Lui. Il s’est alors engagé avec Lui pour exercer la Foi qu’il venait de recevoir de Lui. Il a écouté et reçu Ses instructions et ainsi connu un autre mode de vie au moyen de cette foi gagnante.
Il n'y a qu'une Seule source qui nous assure la Vie, c'est Jésus-Christ Glorifié !
Il n’y en a pas d’autres.
Il est Le Fils de Dieu qui nous rassemble dans la maison de Notre Père pour servir les intérêts de Son Royaume et vivre dans le repos au bénéfice de Sa Gloire.
Nous sommes devenus cohéritiers, associés à Son héritage par pure grâce.
Il nous assure fidèlement notre présent, ainsi que nos lendemains.
Nous avons de Lui la clé pour saisir et faire vivre ce tout pleinement que nous avons obtenu de Lui.
C’est de cette manière que nous apprenons à connaître la valeur de Ses promesses ; c’est d’elles que nous tirons Son mode de vie gagnant qui glorifie notre présent et notre avenir.
Ainsi, aimer Dieu Notre Père, c'est activer la clé de la foi sur ce que nous entendons de La Parole de Dieu, sur ce que nous voyons d’une manière concrète dans les lieux célestes, et adopter alors le comportement et les actes jusqu’à la manifestation de ce que nous croyons avoir reçu de Lui.
Méditez ces passages.
Genèse 6 :8 à 22.
Noé a été divinement averti, il a vu le modèle de l’arche.
Il est passé à l’action pendant plus de 120 ans jusqu’au temps fixé par Dieu. Il a restitué sur la terre ce qu’il voyait De Dieu dans les lieux célestes, et il l’a fait au milieu des révoltés, des rebelles, des moqueurs, des pilleurs, des gens qui croyaient penser juste, qui vantaient leurs œuvres charitables, mais qui ne voulaient pas entendre ni voir venir ce que Dieu avait prévu.
Genèse 13 : 14 à 18 .
Abram a été interpellé par Dieu à lever les yeux, de manière à voir tout le pays qui, découlant de Sa volonté, lui était donné en possession pour lui et sa postérité.
Il est passé à l’action en bâtissant là un autel à l’Éternel.
C’est sur cet autel que notre corps doit être livré pour rendre à Dieu le culte qui Lui revient, tandis que, comme Abram, nous entendons de Dieu et voyons de Lui tout ce qu’il nous donne en possession dans notre union avec Son Fils premier-né, Jésus Glorifié !
Et vous pouvez suivre bien d’autres exemples de ce genre qui illustrent cette FOI qui vient de Lui, comme étant la clé pour obtenir de Dieu ce qu’Il nous promet. Il n’est pas homme pour mentir.
La question qui est sur mon cœur et je vous la soumets humblement :
Qu’entendez-vous en ce moment ?
Que voyez-vous en cet instant ?
Ne ressentez-vous pas l’Amour de Notre Père dans votre cœur ?
Ne vous dit-Il pas :
« C’est possible, si tu crois que Je peux le faire pour toi et avec toi ! »
Vous avez la clé de la foi pour agir et libérer le miracle de Dieu qui vous habite, et cela en faveur de Son œuvre, et de faire suivre ainsi ce que le Saint-Esprit nous donne de faire entendre en tout lieu où Il nous dirige et nous associe à investir des actes inspirés par Lui.
Alors, sans aucun doute, vous et nous, nous obtiendrons de Lui Honneur, Gloire et Immortalité !■
Soyez bénis.
Fraternellement
Pasteur Yves Gravet
Ma prière pour toi:
« Ami(e), sur quoi bâtis-tu ton mode de vie ? Les reflets négatifs de la nature humaine se manifestent de plus en plus violemment, la porte de l’Espérance reste ouverte à « quiconque » veut bien écouter et entendre Jésus frapper à la porte de son cœur. En acceptant d’incliner ton cœur devant Lui, tu reconnais alors que ta nature humaine est entachée par le péché, et n’a rien de glorieux ou si peu à offrir. Tu reconnais et acceptes que Jésus ait porté pour toi ta propre nature humaine à la croix. Et que, désormais, tu as été libéré(e) du joug de Satan et de ses œuvres qui pèsent sur ta vie.
Ami(e), tu n’es pas destiné(e) à rester dans ce mode de vie où l’amour du plus grand nombre se refroidit. Tu n’es donc pas un(e) « étranger(e) » pour vivre en dehors de la maison de Notre Père. Il s’y trouve une place pour toi. Tu es invité(e) à fusionner avec la nature glorieuse de Son Fils Jésus, par qui et pour qui toutes choses subsistent, et à entrer dans la maison « du Père » pour y vivre au bénéfice de Sa gloire, de Sa Justice à ton égard.
Ainsi, il n’y a plus maintenant de condamnation pour toi qui « EST » en Jésus. C’est le temps de Lui ouvrir ton cœur et de Lui dire : « Seigneur Jésus, je reconnais que tout ce qui vient d’être dit est la vérité, je suis au nombre de ces personnes, et je demande Ton pardon. Tu as le pouvoir de changer mon cœur de pierre en cœur de chair, de me transformer esprit, âme et corps. Je me confie en Toi Seul. Je reconnais que par ton sacrifice, ton sang versé pour moi purifie ma nature de tous péchés. Je te demande à être immergé(e) dans ta nature céleste et a en être revêtu(e) jusqu’a devenir semblable à Toi. Aussi, je réponds à ton appel : viens demeurer sur ma vie. Instruis-moi par le Saint-Esprit, afin que je suive Tes voies, car elles sont justes ! Merci Père. Amen.» ■