15 juin 2020

Rentrez dans le pays de la promesse.

Rentrez dans le pays de la promesse.

Considérons un instant les actions manifestées dans le monde contre le peuple Juif dans toute sa diversité. Négatif ! Scandaleux ! Arrêtons ! dirons-nous. Et, pour soutenir Israël, nous prions pour que cela cesse.

Toutefois, nous connaissons cette expression « plus jamais cela ». Utopique ?

Cherchons à posséder la bonne lecture du ciel.

Dans toute épreuve, ne disons-nous pas que nous devons la regarder comme un sujet de joie ? Que nous devons en faire un tremplin pour entrer dans les promesses de Dieu ? Ce qui implique d’en avoir la lecture assidue, de s’en forger l’esprit.

Pour le peuple Juif, la synthèse de ces actes qui les vise, les incite toujours à prendre en considération leur terre promise, jusqu’à ce que chacun d’eux rentre en possession de leur part d’héritage. Osons lire le revers de la médaille, selon une expression courante. Autrement dit, ayons la bonne lecture du ciel.

L’œuvre de Jésus pour aller jusqu’à La Croix, nous pousse à nous frapper la poitrine « mea culpa! ». Certes. Aussi, nous ne devons pas nous éterniser à renouveler au quotidien cette attitude qui finit par dégrader notre espérance et rendre notre foi « foireuse ».

Toutefois, La Croix reste incontournable pour quiconque vient pour la première fois à Jésus, afin de prendre en considération pour quoi et pour qui cette œuvre salvatrice visant à nous justifier devant Dieu, Notre Père et Créateur.

Les épreuves rencontrées au fil de notre vie, nous révèlent ce que l’homme intérieur possède. Or, le secours est souvent attendu de l’extérieur. Certes.
Aussi, voici à qui l’homme intérieur doit s’’adresser de tout son coeur, de toute son âme.

 «Seigneur, ne m’abandonne pas; mon Dieu, ne reste pas loin de moi.
Viens vite à mon secours, Seigneur, mon sauveur.»
‭‭Psaumes‬ ‭38:22-23‬ ‭FRC97‬‬

«Interviens, secours-nous, délivre-nous au nom de ta bonté.»
‭‭Psaumes‬ ‭44:27‬ ‭FRC97‬‬

Job était l’enjeu d’un défi - procès intenté par Satan, face à Dieu, quant à sa capacité de demeurer le fidèle
serviteur de l’Eternel qu’il était.

Dans l’épreuve que Job traversait, il pouvait répliquer :
«Le sens de la justice était mon vêtement, mon respect pour le droit un manteau, un turban. Pour l’aveugle, j’étais les yeux qui lui manquaient, pour l’infirme, les pieds qui lui faisaient défaut. Pour les malheureux, j’étais devenu un père, je donnais tous mes soins au cas de l’étranger.»
‭‭Job‬ ‭29:14-16‬ ‭FRC97‬‬

Tel est l’enjeu de l’Eglise au stade de son histoire où elle se situe. Elle doit changer de l’intérieur pour sortir de ses lamentations sur elle-même. Cesser de se vanter en valorisant son extérieur.

Jésus-Christ en elle - en toi -, voilà l’espérance de la gloire.

En Lui.
Pasteur Yves Gravet

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