30 août 2012

Nous vous informons...

Chers visiteurs, amis, frères et soeurs dans la foi chrétienne,

Touchés par l’impact du message percutant de l’Église des Vainqueurs, des amis nous sollicitent pour recevoir la série des 5 brochures  afin de prospecter leur environnement.

Nous vous présentons quelques extraits sur cet ouvrage que notre frère Martin BUSCH nous offre généreusement ; un ouvrage théologique inédit avec son plan juridique qui nous donne ’enfin’ une base solide, afin que nous convergions chacun d’un même pas avec assurance à la rencontre de notre Seigneur Jésus-Christ Glorifié et que nous vivions ensemble avec Lui d’un même cœur. La route est désormais accessible.

Cette église est-elle une nouvelle dénomination ? 

« Si l’enseignement de l’Eglise des Vainqueurs change par rapport aux différents courants dénominationnels de l’Histoire de l’Eglise, elle ne peut être une nouvelle dénomination même si elle le voulait. 
Tout d’abord, elle est issue de tous les grands courants dénominationnels de l’Histoire de l’Eglise tel que  nous l’avons démontré dans l’écrit relatif aux lettres aux sept églises du début du livre de l’Apocalypse.  Le nom « Eglise des Vainqueurs » vient de la Parole de Jésus « Au vainqueur, je donnerai … » (Apocalypse 2 :7 etc.). Elle est composé de chrétiens issus des différents courants dénominationnels qui à titre individuels ont entendu ce que l’Esprit dit aux églises (« Celui qui entend ce que l’Esprit dit aux églises » Apocalypse 2 :7). Les grands courants dénominationnels continueront à exister parallèlement sur terre jusqu’à la fin du monde. Celles et ceux qui se seront convertis à Jésus-Christ sans aller plus loin, seront sauvés au jugement dernier parce qu’inscrits dans le Livre de Vie. Toutefois celles et ceux qui auront entendu ce que l’Esprit dit, feront partie de l’Eglise des Vainqueurs et bénéficieront de ce que Jésus veut leur donner.
Pourquoi l’Eglise des Vainqueurs ne peut-elle être une nouvelle dénomination, une organisation nouvelle ? Parce que, comme nous le verrons encore plus tard, son siège, son Quartier Général est réellement au ciel et que c’est Dieu Lui-même Père, Fils et St Esprit qui dirige directement, clairement et réellement cette église. En effet la métamorphose permettra à ces chrétiens de réellement monter esprit, âme et corps au ciel pour recevoir ordres et missions de la part de Dieu directement comme l’Apôtre Jean l’a réellement vécu. 

Ces affirmations sont évidemment étayées, démontrées dans mes différents écrits précédents. Toutefois il semble nécessaire d’avoir une vision peut-être plus concrète de ce que représente l’Eglise des Vainqueurs et son environnement. 
Josué et Caleb avec les autres « espions », sont allés dans la terre promise et en ont fait une description où coulent le lait et le miel. Leurs contemporains n’y sont pas allés et durent mourir dans le désert. L’Apocalypse de Jean a révélé Jésus-Christ glorifié et le « pays promis » où les premiers chrétiens auraient dû aller. Presque 2000 ans se sont écoulés entre temps. Toutefois nous et/ou nos descendants devrons y aller tôt ou tard. Le Pays Promis doit effectivement être dégagé de nos ennemis comme nous l’avons vu. Mais le Seigneur est avec nous, mieux Il est en nous et nous en Lui. Il nous a fait des promesses. Allons-y par amour pour Lui et pour nos frères. Jésus-Christ nous attend ! Il aimerait tellement que nous commencions la « Conquête » !

Un autre extrait  de la série « L’Église des Vainqueurs » qui nous donne ici la clé d’interprétation de l’Apocalypse… 


« Identifier l’Église des Vainqueurs est une première étape. En faire partie est un appel de Jésus-Christ glorifié à l’ensemble des chrétiens de toutes dénominations pour chercher et combattre. Les promesses à celui qui se repent et qui vaincra ouvrent des possibilités inimaginables sachant que le summum de toutes les promesses est contenu dans Apocalypse 3 : 21 : « Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. »
 L’enfant né de la femme glorieuse est enlevé et s’assoit avec Jésus sur le trône. Le procès contre les « frères » est terminé à ce moment-là. L’Église des Vainqueurs est allée jusqu’au bout et avec les anges « ont vaincu l’Accusateur à cause du sang de l’Agneau et à cause de la parole de leur témoignage et ils n’ont pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort. » (cf. Apocalypse 12 : 11).
Ils étaient revêtus du sang de l’Agneau (actuellement feu divin), ils ont apporté une parole de leur témoignage (ce qu’ils ont vu et vécu dans les lieux célestes et surtout le témoignage de Jésus glorifié), ils ont risqué leur vie mais l’Ennemi n’a pas pu les toucher.
Pour comprendre l’enseignement dans sa globalité, il est indispensable de lire le livre « L’Église de Vainqueurs » et le texte « Nouveau mode de mise en pratique et de vécu de l’Alliance biblique ».
Notre foi et notre enseignement doivent être réorientés selon la Révélation (=Apocalypse) de la part de Jésus-Christ et de la personne de Jésus-Christ glorifié. Le salut du corps pour une métamorphose via le Baptême de gloire et la Ste Cène de gloire permettant d’aller dans la salle du trône, devient indispensable. Que le Seigneur nous fasse grâce ! »

A consommer sans modération...

Est-il nécessaire de rappeler que l'association Vie Comblée offre cette bénédiction de notre Père grâce à la responsabilité de ceux qui, dans la foi, exercent la libéralité à leur convenance pour que cette bénédiction s'étende à d'autres. La foi se traduit par l'action de ce que l'on croit.

Vie Comblée est une oeuvre de Dieu qui a pour mission de bénir au Nom de Jésus.

Celui qui, à sa convenance, anonymement même, exerce la libéralité, agit par conviction et motivé par l'Amour de Dieu pour bénir au Nom de Jésus. Ainsi, ces hommes et ces femmes forment cette association Vie Comblée... aucune carte de membre, aucun abonnement, simplement l'action de la libéralité par obéissance à ce que le Saint-Esprit inspire dans le présent à l'égard de son oeuvre... 

Etes vous bénis par le blog Vie Comblée ? 

Vous pouvez, vous aussi, par votre libéralité, et à votre convenance, donner à cette oeuvre associative pour être au nombre de ceux qui, par amour et obéissance bénissent de la part de notre Seigneur Jésus pour semer (voir soutien) et porter à la connaissance d'un grand nombre qui n'accède pas à internet ce que le Saint-Esprit révèle et veut révéler, donnant ainsi l'occasion à chacun d'entrer dans les réalités du pays de la promesse que l'apôtre Jean a eu la grâce de nous décrire les dernières instructions de notre Seigneur Jésus à suivre. 

D'avance "Merci".

La série des 5 brochures de "L'Eglise des Vainqueurs" est disponible sur simple demande.

Fraternellement en Jésus.
Yves GRAVET

25 août 2012

EPISTHEO : 3 Pourquoi Dieu permet-il le mal?

EPISTHEO

Pourquoi Dieu permet-il le mal ?


L’existence du Mal contredit-elle l’existence de Dieu ?
Alexis : « En apparence, l’existence et la perfection de Dieu sont contradictoires avec le constat du mal. Si, d’une part, Dieu est omnipotent, c’est-à-dire tout-puissant, capable d’accomplir sa volonté sans aucune restriction, et si d’autre part, Dieu est bon, c’est-à-dire que sa volonté c’est l’accomplissement du bien, alors le mal devrait être impossible. Dieu est bon et accomplit sa volonté, le mal ne peut donc pas lui faire face. Epicure a remarquablement bien exposé ce problème (LACTANCE, La Colère des Dieux, XIII, 20). Et aujourd’hui, beaucoup d’athées s’appuient sur ce paradoxe pour justifier leur athéisme. Nous constatons l’existence du mal, nul ne peut le nier, et cela semble contredire l’existence de Dieu. La contradiction est d’ailleurs si forte, qu’il suffit que le mal ne soit que possible, quand bien même il ne serait jamais accomplit, si l’homme a ne serait-ce que le pouvoir de l’accomplir, c’est déjà semble-t-il une preuve de l’inexistence de Dieu. »
Si la possibilité du mal semble être une preuve de l’inexistence de Dieu, c’est que ce n’est pas réellement une preuve. Comment la possibilité du mal pourrait-elle coexister avec l’omnipotence et la bonté de Dieu ?
Alexis : « Il existe une réponse satisfaisante à cette question : la liberté de l’homme. Dieu a rendu le bien et le mal possibles, afin que l’homme soit libre de choisir entre le bien et le mal. Si le mal est impossible, l’homme ne peut plus le choisir, il n’est donc plus libre. Donc pour que l’homme soit libre, il faut que le mal soit possible, tout autant que le bien. Mais pourquoi Dieu voudrait-il la liberté de l’homme ? Tout simplement parce que Dieu est amour. Or la liberté est une condition de l’amour. Le véritable amour ne résulte pas d’une contrainte, si l’homme n’avait pas la possibilité de choisir librement le bien, il serait en quelque sorte violé par Dieu. C’est donc quelque chose de bien que le mal soit possible. Car sans la possibilité du mal, la liberté de l’homme et son amour envers Dieu deviendraient impossibles. La possibilité du mal est donc quelque chose de bien. »
Mais au fond, dire que la possibilité du mal est un bien, n’est-ce pas dire que Dieu a voulu le mal et donc qu’il en est responsable ?
Alexis : « Vouloir la possibilité du mal et vouloir le mal pour lui-même ce sont deux choses différentes. La possibilité du mal implique aussi la possibilité du bien, alors que le mal en lui-même exclu le bien. Si un père aime son fils, il veut qu’il soit libre. S’il est libre, il peut aussi bien faire le bien que le mal, les deux doivent donc être possibles. Même si tout père a une préférence pour que son fils accomplisse quelque chose de bien, si l’enfant est libre c’est lui qui choisit. C’est donc l’enfant qui est la cause du bien ou du mal qu’il accompli. Le père est responsable de la possibilité du bien et du mal, puisque en donnant naissance à un enfant il lui offre cette possibilité, mais la réalisation du bien et du mal c’est le fils qui l’accompli et qui en est donc responsable. Ce n’est pas le père qui choisi si son fils fera quelque chose de bien ou de mal, mais le fils lui-même. D’ailleurs si le père pouvait enlever cette liberté à son fils, le fils ne serait plus responsable ni méritant, puisque le choix reviendrait au père. Il en va de même concernant Dieu et l’homme, Dieu a voulu que l’homme soit libre, capable du bien et du mal, que cette liberté soit réelle, c’est-à-dire que l’homme puisse réaliser sa volonté, Dieu a estimé cela bon, et pourtant l’homme seul est responsable de ce dont il est l’auteur, que ce soit en bien ou en mal. Dieu n’a pas voulu le mal pour le mal, mais il a voulu la possibilité du mal, une possibilité réelle c’est-à-dire qui puisse s’accomplir, non pour le mal lui-même, mais pour le bien que représente la liberté humaine. »
S’il y a une telle implication entre la possibilité du mal, la liberté et l’amour, peut-on concevoir quelque chose comme une ‘‘nouvelle terre’’, où il n’y aurait que bien et qu’amour, sans aucun mal, en d’autre termes ce que nous appelons le ‘‘Paradis’’ ?
Alexis : « Oui, il n’y a pas de contradiction à penser quelque chose comme le ‘‘paradis’’, à condition toutefois de réaliser qu’il n’est possible que s’il y a eut un temps non-paradisiaque qui le précède où la liberté est possible. Imaginons un espace où règnent l’amour et la bonté. La liberté est impossible comme telle, puisque le mal est impossible. Néanmoins, si l’homme avant d’y accéder, était face à la possibilité du mal comme du bien, il a pu librement choisir le bien. C’est donc librement qu’il accepte, dans un premier temps, de ne plus pouvoir accomplir le moindre mal, dans un second temps. Dans tous les cas, le mal doit avoir été possible, mais il peut tout à fait être restreint à un certain temps. »

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