12 avril 2014

48 Le fond et la forme

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS : 

48
LE FOND ET LA FORME


INTRODUCTION

« Dieu,… à la fin des jours… nous a parlé par son Fils qu’il a établi héritier de tout par qui il a fait les ères ; lui (le Fils) qui est le resplendissement (apaugasma = reflet, rayonnement, éclat) de sa (de celle de Dieu le Père) gloire et la caractère (charakter= caractéristique, caractère, empreinte, expression) de sa substance (upostasis = substance, base, fondement, contenu, fond, profondeur, être, nature, l’âme, ce qui est au fond de l’âme, réalité profonde, confiance inébranlable ; upo = sous, à l’origine, par le fait de ; stasis stabilité, fermeté, résistance, qui se tient, état immuable, existence) portant le tout par la parole de la puissance (rhèmati tès dunameos = parole, langage de la puissance, force, du pouvoir, discours, événement, parole dynamique), ayant fait la purification des péchés, s’est assis à la droite de la majesté (mégalosunè = majesté, hauteur, magnificence, gloire) dans les cieux » (Hébreux 1 :1-3)
«Comportez-vous entre vous comme en Christ Jésus qui en forme (morphè = forme du corps, figure extérieure, apparence,  morphologie) de Dieu ne considéra pas comme une proie à rester identique à Dieu mais s’est lui-même vidé (kenoo = vider, rendre vain, sans effet, se dépouiller, se priver de force, épuiser, évacuer, faire sortir), ayant pris la forme d’esclave en devenant identique aux humains et quant à son aspect (skèma = forme, aspect, apparence, ce qui est visible, attitude extérieure, figure ; cf. schéma) découvert (eurisko = découvrir, trouver, montrer)   comme un humain, il s’abaissa lui-même devenant obéissant jusqu’à la mort, la mort de la croix.. » (Philippiens 2 :5-8).
Nous observons deux pôles conceptuels à savoir :
L’upostasis correspondant davantage à la personnalité, à l’âme, à l’esprit, au fond ou fondement, à la nature, à la profondeur de Dieu, de Jésus-Christ et par extension à l’homme créé à Son image. De l’upostasis émanent par exemple l’amour, la justice, l’intelligence ou au contraire de l’homme vivant loin de Dieu la haine, l’injustice, le péché, la méchanceté, la bêtise, l’obscurantisme etc. …
La morphè et le skèma correspondant davantage à la forme, à la corporéité, à l’apparence, à l’aspect, au schéma, à la structure, à ce qui est visible, à la morphologie, à la figure, à la forme du corps de Dieu, de Jésus-Christ et par extension à l’homme créé à Son image. De la morphè et du skèma émanent par exemple ce que l’on voit c’est à dire la taille, la beauté, la splendeur, le rayonnement, la gloire, la lumière, le feu et de l’homme mortel vivant loin de Dieu à terme la déchéance physique, la maladie, le vieillissement et la mort etc. …

Nous retrouvons ces concepts dans l’Ancien Testament à savoir :
Yatsar en hébreu à traduire par « former » (façonner, fabriquer, concevoir, forger) est à distinguer de bara ; « créer » qui consiste à faire à partir de rien (expression consacrée : ex nihilo).
 Dieu forma l’homme à partir de la poussière de la terre. Il prend une espèce de forme ou de matière, en l’occurrence de la terre, pour former une nouvelle forme celle de l’homme ou son corps. Il lui insuffla un souffle de vie (nichemah hayim ; Genèse 2 :7) par lequel Il glorifia la forme de l’homme à Son image et mit en lui ce qui correspond à l’âme.
Nous retrouvons encore l’expression yatsar en Zacharie 12 :1 : « Parole de Yahvé qui a déployé les cieux, fondé la terre et formé (yatsar) l’esprit (rouah) animant l’homme (veyotser rouah adam becoreboh).
 L’appel de Dieu à Jérémie est aussi intéressant (Jérémie 1 : 5ss) : « Avant que je t’eusse formé  (yatsar) dans le ventre de ta mère, je te connaissais… » Jérémie préexistait à sa formation corporelle par Dieu dans le ventre de sa mère. Son âme et son esprit préexistaient à sa conception et à sa naissance puisque Dieu le connaissait avant. Jérémie existait déjà préalablement au niveau de son âme et de son esprit, mais il n’était pas « complet » ! Il fallait encore la formation du corps ou de la forme
Dieu a donc formé l’âme et l’esprit de l’homme ou son « upostasis » puis le corps (morphè) dans le ventre maternel.

Nous constatons que l’Ancien Testament propose une compréhension semblable à celle du Nouveau Testament : « …le Dieu de la paix puisse-t-il vous mettre à part (agiadzo) [votre] tout entier et que [votre] tout entier l’esprit (pneuma), l’âme (psychè) et le corps (soma) soit sans défaut (amemptos) dans l’avènement (parousia) de notre Seigneur Jésus-Christ (1 Thessaloniciens 5 :23).
Il est évident que Paul parle de la première parousie de Jésus (Apocalypse 1 :10ss) où Il institue et forme l’Eglise des Vainqueurs où l’être tout entier, esprit, âme et corps ou le fond et la forme, est sensé être mis à part dans la Salle du Trône (cf. écrit : « Retour ou retours de Jésus-Christ ? »).
Les théologies, les philosophies, la littérature et les mentalités migrent d’un pôle à l’autre privilégiant soit l’un soit l’autre ou encore éliminant carrément un pôle au profit de l’autre. D’après ces textes Dieu comme l’être humain à l’image de Dieu a une « upostasis –nichemah hayim » et une « morphè – skèma - yatsar».


LE FOND OU LA FORME ?

Certains disent « A fond la forme » et d’autres disent « La forme au fond » mais d’après les passages bibliques ci-dessus on peut dire « Le fond et la forme, à fond ».
Au-delà des jeux de mots avec leurs limitations certaines, Jésus dit à Ses détracteurs : « Or afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a le pouvoir de pardonner les péchés, je te l’ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit et va dans ta maison… » (Matthieu 9 :6 ; Marc 2 :10 ; Luc 5 :24). Les scribes, choqués par le fait que Jésus ait pardonné les péchés au paralytique, autrement dit Il S’est occupé du « fond » comme Dieu seul est autorisé à le faire au niveau du pardon (Marc 2 :7), vont en avoir pour leur grade car la question qu’Il leur pose est sans appel : « Car lequel est le plus aisé de dire : Tes péchés te sont pardonnés ou de dire : Lève-toi, prends ton lit et marche ? »
Eux comme nous, avons la réponse, car s’occuper de la forme ou du corps du paralytique implique quelque chose de visible : ça marche ou ça ne marche pas et cela aux yeux de tous. Avec Jésus ça marche ou plutôt, il a marché : il s’est levé et est allé dans sa maison. Jésus démontre par la guérison de la forme qu’Il est Dieu et qu’Il a donc le droit de pardonner les péchés ou est en droit de s’occuper du fond !
Pour sortir du dilemme posé par « Le fond et la forme, à fond » comme Jésus le préconise, l’Eglise, par manque de parole dynamique de puissance avec résultats pour la forme, s’est cantonnée au « fond », à l’homme intérieur moins risqué car invisible et finalement a atteint le « fond du trou mortifère » tant pour la forme que finalement pour le fond.
Pour ne pas prendre de risques évidents, elle s’est « spiritualisée » et a donc fini par réduire le corps à une coquille sans importance de toute façon destinée à disparaître et à se désintégrer. Par sa théologie, elle a donc absorbé la forme, le contenant, l’apparence, l’homme extérieur par le fond, la substance, le contenu, l’homme intérieur. Elle fut en outre largement influencée par les méthodologies philosophiques grecques partant de l’observable même pour sa mythologie pour construire ses premières théologies.
De plus la pensée grecque a à la fois méprisé et sublimé tour à tour la forme par l’esthétisme : pensons aux statues de nus aux corps parfaits ou le fond : pensons au suicide de Platon et à l’expression « amour platonique » qui est un amour non physique.
Au Moyen-Age avec l’omniprésence de la religion catholique romaine la forme était généralement absorbée par le fond au niveau du discours religieux bien que cela ne fut pas le cas dans tous les domaines plus précisément sociaux (noblesse, clergé, tiers état).
La civilisation occidentale sublime actuellement la forme ou le corps, l’apparence, le « paraître », le « look » et le blabla superficiel et considère le fond surtout à partir de cette sublimation. Le fond occidental est en effet construit à partir des sciences dites exactes, de l’observable, du visible, de l’image, de l’immédiateté entre autres financière et d’une littérature très souvent débridée. Ainsi elle absorbe le fond par la forme.

C’est comme si le vin était absorbé par la bouteille ou l’inverse. L’un ne peut pourtant pas aller sans l’autre. La bouteille sans le vin est vide. Sans la bouteille le vin se répand et ne peut être ni transporté ni consommé. La bouteille ou la forme n’est pas à confondre avec le vin ou le fond ni inversement.
Alors le fond ou la forme ? Non, le fond et la forme, à fond !


2 . LE FOND ET LA FORME, A FOND

« C’est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et ceux qui y ont dressé leur tente » (Apocalypse 12 :12).
Nous savons qu’il s’agit ici de celles et ceux qui, après l’enlèvement (Apocalypse 12 :5c) et que le Dragon ait été jeté sur terre hors des lieux célestes, habitent définitivement avec leur corps ou leur tente (2 Corinthiens 5 : 1-4 ; 2 Pierre 1 :13) dans les cieux.
Avant l’enlèvement l’Eglise des Vainqueurs évolue déjà dans les lieux célestes avec le corps glorifié (Romains 8 :23 ; 2 Corinthiens 3 :18 ; Apocalypse 5 :10 ; 6 :2 ; 7 ; 12 :1).

Comme Dieu a formé le fond et la forme de ce qu’est l’être humain, Il tient à ce que non seulement l’upostasis ou le fond soit sauvé de la mort et de la destruction mais aussi la morphè ou la forme.

Jésus a pris la forme humaine d’esclave soumis à l’espace-matière-temps pour nous sauver en entier de notre prison. En remontant vers le ciel après sa mission salvatrice terrestre, il a fait captive la captivité ou encore il emmené des captifs esprit, âme et corps (Ephésiens 4 :8). Bref Son œuvre est une œuvre de restauration parfaite et complète pour que le fond et la forme de l’homme soient sauvés, totalement délivrés et retrouvent leur conformité au fond et à la forme de Dieu (Romains 8 :29) !
Quand Jésus est monté au-dessus de tous les cieux, Il veut « remplir toutes choses », Il a donné les ministères pour que nous aboutissions à l’unité de la foi, de la connaissance du Fils de Dieu, à l’homme adulte (fond), à la mesure de la taille de la plénitude du Christ (forme ; Ephésiens 4 : 13) autrement dit à l’Eglise des Vainqueurs avec le fond et la forme parfaits ! Pour cela il est indispensable qu’aussi la forme ou le corps puisse être métamorphosé, transfiguré afin de pouvoir monter dans les lieux célestes glorieux car la chair et le sang n’hériteront pas du royaume de Dieu (1 Corinthiens 15 : 50).

La mythologie grecque est d’ailleurs parlante à ce sujet : Morphée est la déesse des rêves et elle a pour parents Hypnos le dieu du sommeil et Nyx la déesse de la nuit. Hypnos a un frère jumeau Thanatos le dieu de la mort.
La forme, corps – morphè est dans une véritable prison et en danger très grave ! Arrêtons de rêver et tournons-nous vers la réalité, Jésus-Christ, venu sous la forme d’un esclave, nous délivrer de cet étau !!!

3.  COMMENT CELA SE FERA-IL ?

Telle fut la question d’ordre purement physique de Marie à l’Ange Gabriel ! Dieu le Père fécondera Marie par la puissance du Saint Esprit, ainsi Celui qui naîtra sera saint et sera appelé Fils de Dieu  (Luc 1 :34-35).
 Jésus-Christ a accepté de subir une métamorphose à partir de la forme de Dieu vers une forme humaine terrestre. Il S’est littéralement vidé (cf. 2ème texte de l’introduction) de la gloire céleste pour prendre la forme terrestre mortelle, limitée. Il lui aura été nécessaire de prendre conscience de qui Il était, de recevoir l’Esprit Saint, de jeûner, de prier, d’être transfiguré pour récupérer la force et la gloire suffisantes pour rester saint et parfait, accomplir Ses missions et vaincre juridiquement l’Ennemi sur la croix.
Au moment de la résurrection Il bénéficia d’une métamorphose de la forme humaine, le corps mort vers la forme de corps glorifié par le Saint Esprit (Romains 8 :11). C’est dans cette forme qu’Il put se déplacer surnaturellement sur terre et aussi monter au ciel.
Il emmena les captifs, rendit captive la captivité (Ephésiens 4 :8) en nous envoyant le Saint Esprit ce qui est avantageux pour Ses disciples (Jean 16 :7). Le Saint Esprit en effet est appelé à métamorphoser notre forme terrestre en la forme de Dieu (2 Corinthiens 3 :18) dans le but que nous récupérions l’aspect et l’image originelle d’Adam et d’Eve ! Ils étaient formés à l’image de Dieu au départ.
 Le début de la  Genèse peut nous éclairer quant au COMMENT.
Au verset 1 Elohim crée, c’est à dire fait à partir de rien, ex nihilo le ciel et la terre parfaits et beaux.
Mais d’après le texte, les éléments de l’univers, du ciel et de la terre n’étaient plus là qu’en tant que « matière première » dans les ténèbres. Cette matière première n’était que « tohou va bohu », informe et vide, solitude et chaos, sans fond et sans forme dans les ténèbres… ! Elle existait sous forme intermédiaire puisqu’elle existait encore mais dans un état terrible. Il fallait donc former,TRANSFORMER, METAMORPHOSER cette affreuse matière première !
Mais pourquoi cette matière première était-elle un tohu bohu affreux ? En effet, ce n’est pas normal car Dieu ne crée pas le tohu bohu. En fait c’est suite à la révolte et à la chute de Lucifer (Esaïe 14 :12-14 ; Ezéchiel 28 :12-18 ; Luc 10 :18) que la création initiale parfaite et belle du verset 1 a été mise dans cet état lamentable. Toutefois nous voyons que le Serpent continue à avoir accès au paradis et à la salle du Trône (Genèse 3 :1ss ; Job 1 :7ss ; Zacharie 3 :1ss ; Apocalypse 12 :10) et reste le Prince de ce monde (Luc 4 :6) à cause de la chute de l’homme.
Quel fut alors le plan de Dieu ?
L’Esprit d’Elohim couvait, couvrait, sondait, se mouvait sur le « visage », la face (ici phenè ; phanaim) des eaux.
Pour le parallélisme, il paraît que notre forme, notre corps contient 70 % environ d’eau… ! Nous avons aussi un « visage »… !
Suite à la chute d’Adam et d’Eve le tohu bohu a de nouveau fait un retour partiel mais pas aussi grave qu’en Genèse 1 :2 ou tout était carrément informe et vide. L’homme en l’état n’aurait pu y survivre. La création passa encore une fois à un état intermédiaire espace-matière-temps tel que nous le connaissons.
Il se trouve que l’Esprit Saint depuis la Pentecôte suite à l’œuvre de Jésus se meut à nouveau sur la terre au-dessus des humains : Il sonde, couvre, couve, plane comme en Genèse 1 :2 après la chute de Lucifer qui fut alors éjecté du 3ème ciel et surtout cantonné dans le 2ème ciel, le royaume des ténèbres (Ephésiens 2 :2 ; 6 :12), tout en ayant accès comme dit à la Salle du Trône pour accuser et bien entendu à la terre et ses habitants.

Genèse 1 :3 est le début de la métamorphose à partir d’une terrible matière première intermédiaire marquée par le tohu bohu vers une création à nouveau parfaite couronnée par la formation par Dieu de l’être humain mâle et femelle.
Ce passage nomme tout ce qu’il faut pour démarrer la métamorphose :
Elohim pluriel de El  est présent c’est à dire le Père, le Fils et le St Esprit. Il se décline dans la suite du verset.
Vayomer, « dit », est  le verbe dire, la Parole : nous pensons à Jésus, la Parole faite chair (Jean 1 :1ss).
Yehi,« soit, est », est le verbe être que nous retrouvons dans Yahvé : nous pensons au Père (Exode 3 :14).
Or, « lumière » : nous reconnaissons le Saint Esprit, la puissance divine, la gloire et aussi la substance, l’upostasis divine par laquelle les ténèbres sont chassés. Le feu est à l’origine de la lumière et il est dit que nous serons immergés dans le Saint Esprit et le Feu (Luc 3 :16 ; Actes 2 : 3).

 Dieu dit que la lumière soit [est] et la lumière fut [est] (Vayomer Elohim yehi or ; vayehi or)

La gloire de Dieu est prononcée dans le tohu va bohu satanique pour en faire à partir d’une matière première déchue ténébreuse l’or, le feu, la lumière la perfection. Au même titre que le tohu bohu, ce qui est informe et vide est métamorphosé, au même titre par Jésus non seulement notre fond qui est souvent vide mais aussi notre forme souvent informe doivent être métamorphosés par la Parole dynamique de vie prononcée engendrant l’explosion de la lumière : la substance glorieuse et la forme resplendissante caractérisant le fond et la forme de Dieu !



CONCLUSION

Le fond et la forme, à fond dans la métamorphose opérée par le Saint Esprit. « Que la lumière soit sur toi et la lumière est sur toi » dans le corps glorifié de Jésus !

En Jésus,

Martin BUSCH

11 avril 2014

213 LE DIEU DU « PLUS QU’ASSEZ »

213
LE DIEU DU « PLUS QU’ASSEZ »


Luc 5 :9

« Car l’épouvante l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, à cause de la pêche qu’ils avaient faite. »

En tant que jeune chrétien, j’ai grandi en entendant les prédicateurs prêcher que Dieu pourvoit seulement à nos besoins, pas à nos manques. Cependant, dans la Bible, Dieu nous montre clairement, qu’Il veut pouvoir non seulement à nos besoins, mais aussi à nos manques.

Par exemple, le fameux « Psaume du berger » commence par « L’Eternel est mon berger ; je ne manquerai de rien. » (Psaumes 23 :1) Un autre Psaume dit « Craignez l’Eternel vous ses saints ! Car rien de manque à ceux qui le craignent. Les lionceaux éprouvent la disette et la faim. Mais ceux qui cherchent l’Eternel ne sont privés d’aucun bien. »  (Psaumes 34 : 9-10)

Un des noms de notre Dieu est Jehovah Jireh, ce qui signifie « Celui qui pourvoit ». Il pourvoit plus qu’assez. Le Dieu du « Plus qu’assez » est venu en chair et a marché au milieu de Son peuple. Et pendant qu’Il marchait sur les bords de la mer de Galilée, Il ne donnait pas à Ses disciples de petites bénédictions. C’est pour cela qu’Il a dit à Pierre : « Avance en pleine eau, et jetez vos filets (pluriel) pour pêcher. » (Luke 5 :4) et non « jetez votre filet (singulier). » et ce qu’ils ont pris s’est avéré être une prise prête à faire couler le bateau et  rompre les filets ! C’était une bénédiction si grande et si inattendue, que Pierre et tous ceux qui étaient avec lui ont été « étonnés par le nombre de poissons qu’ils avaient pris. »

Bien Aimé, voyez le cœur de Dieu pour vous aujourd’hui. Il veut vous faire prospérer de façon tellement grande : N’acceptez pas moins, en pensant qu’Il ne pourvoit qu’à vos besoins et pas à vos manques. Si vous avez besoin d’un travail, sachez qu’Il ne veut pas que vous priez seulement pour un travail, mais pour un poste important. Quand vous avez un poste important, vous avez de l’influence et vous pouvez impacter des vies. Peut-être avez-vous besoin de plus. Eh bien ne priez pas seulement pour cela, mais aussi afin que vous soyez en mesure de donner plus.

Vous pouvez commencer en étant pauvre, lorsque vous suivez Dieu. Mais vous ne pouvez rester pauvre, lorsque vous suivez le Dieu du « plus qu’assez ». En fait, comme Pierre, vous serez étonné que Dieu pourvoit au-delà de ce dont vous avez besoin et au-delà de ce que vous avez demandé !

Pasteur Joseph Prince

21 COMMENT REUSSIR DANS VOTRE ENTREPRISE (1ère Partie)

21 
COMMENT REUSSIR DANS VOTRE ENTREPRISE
 (1ère Partie).

Les projets de beaucoup de gens échouent parce que, lorsque Dieu met un projet dans leur cœur, ils ne cherchent pas la volonté du Seigneur  pour la mise en œuvre de ce projet. Pour réussir un projet, il faut beaucoup de choses mais pour échouer, il faut peu de choses.
La réussite d’un projet dépend de plusieurs facteurs. Il faut se propulser au dessus des choses humaines afin de voir les choses célestes, invisibles car à cause de vous, Dieu va appeler à l’existence, les choses qui ne le sont pas. Il faut aussi développer des attitudes et des comportements.

Proverbes 27 : 9 En réalité nous avons besoin de nous voir comme Dieu nous voit réellement. Le temps de l’église est arrivé et Dieu attend quelque chose de la part de chacun de ses enfants. Dans votre famille, il ya des gens qui attendent de vous pour attester la réalité de l’existence de Dieu. Dieu connait les projets de votre vie et c’est pour cela que vous ne devez accuser personne de vous avoir empêché de faire la volonté du Seigneur car les projets de Dieu sont individuels. Les projets qu’il a formés pour vous sont des projets de bonheur et non de malheur afin que vous continuiez de faire ce que son fils Jésus a commencé de faire. Dieu a quelque chose de précieux qu’il a mis en chacun de nous et tels sont ses projets. Si vous cherchez et observez bien, vous rentrerez dans les projets de Dieu.

Que faites-vous ? Votre vie est-elle fondée sur la Parole ? Il faut une adéquation entre ce que vous êtes à l’intérieur et ce que vous êtes à l’extérieur. Car nos pensées déterminent nos actions, nos actions déterminent nos attitudes et nos attitudes sont à l’origine de nos réussites ou de nos échecs par rapport aux projets. Les échecs et les succès dans ce que nous entreprenions dépendent de ce que nous sommes réellement.
Les attitudes réelles à avoir pour réussir les projets de Dieu sont :

Avoir une vision
La vision est la direction, le sens que Dieu donne à votre vie. Comment cela naît-il dans la vie du chrétien ? Elle naît  par le fait de votre communion avec le Seigneur, la relation réelle et vivante avec Dieu (prière, écoute). Lorsque la vision naît quelle doit être votre attitude ? Quelles sont les choses que vous devez développer en vous ?
Josué 1 : 8 Vous ne devez réaliser les choses que par rapport à la Parole de Dieu, ce qui y est écrit. Parlez la Parole et vos pensées seront induites par elle et vos attitudes seront influencées. C’est alors que vous  aurez du succès et vous réussirez. C’est l’ensemble de nos succès qui font notre réussite. Dieu a un projet pour vous et il veut que vous soyez recommandables par rapport à ce projet. Si vous voulez faire vivre le projet de Dieu, puisez dans la Parole.

Pasteur David TRAORE

47 Repentez-vous !

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS : 

47
REPENTEZ-VOUS !


INTRODUCTION

La repentance est le commencement de tout début : « Repentez-vous (verbe grec métanoéo = changer d’avis, d’esprit, de connaissance, de manière de voir, se repentir) et convertissez-vous (verbe grec épistrépho = se tourner vers, se retourner, se détourner ; détourner pour remettre dans le droit chemin, retourner, revenir, se convertir, ramener)  pour que vos péchés soient effacés. » (Actes 2 :38 ; 3 :19). Voilà ce que Pierre dit à ses auditeurs de faire à la Pentecôte, moment de la naissance de l’Eglise.
C’est un appel constant dans l’Ancien Testament (Par exemple Zacharie 1:3 ; Malachie 3 :7 etc… verbe hébreu shouv = revenir, retourner), sans compter Jean-Baptiste (Matthieu 3 :2) et Jésus Lui-même (Marc 1 :15 ; Luc 13 :3 etc…).

REPENTANCE, GRACE, JUSTIFICATION

Une fois convaincus de péché, de justice et de jugement par le St Esprit (Jean 16 :8), nous sommes appelés à :
nous repentir et à nous détourner du péché.
sincèrement demander pardon à Dieu et au(x) prochain(s) pour la vie de péché contraire à Sa Parole et à Sa Loi, loin de Lui, et aussi, si possible, réparer le mal perpétré.
nous détourner réellement et concrètement de toutes nos forces, de toutes nos pensées et par tous nos actes du péché.

Certes nous remarquerons que nous n’y arrivons pas avec nos propres forces et que sans l’aide et la transformation du St Esprit, c’est impossible. Mais pour que l’aide et la transformation du St Esprit puissent intervenir, il faut obligatoirement manifester notre propre volonté d’y parvenir et travailler à notre salut même si Dieu produit le vouloir et le faire (« ..travaillez à votre salut avec crainte et tremblement…Dieu…produit le vouloir et le faire Philippiens 2 :12-13). En effet, nous ne sommes pas des robots entre les mains de Dieu, sinon il n’y aurait plus de péché, ni de responsabilité ni de possibilité de condamnation ou de salut par la foi pour l’homme. L’homme a le libre arbitre et peut faire jouer sa volonté dans un sens ou dans un autre.

Comme dit, l’homme n’y arrive pas, tout en étant exhorté à essayer d’y arriver. C’est évidemment paradoxal.

La solution pour sortir de l’impasse est tout d’abord de croire en la justification obtenue par le Sang de Jésus versé sur la croix. Il S’est totalement substitué à nous. C’est là que se situe la grâce car elle ne peut être accordée que si l’homme se rend compte qu’il est dans l’impasse totale de l’impossibilité de plaire à Dieu. Le légalisme dit au contraire que l’homme peut, en respectant la Loi divine et très souvent d’autres lois à caractère religieux, mériter le salut tout ou partie ce qui est contraire à l’Evangile (Galates 5 :4).

La solution c’est ensuite de « travailler à notre salut avec crainte et tremblement ». Dieu nous fait participer activement à Son œuvre et cette participation nous maintient dans la foi sur la durée. Ce travail à notre salut ou cette participation est le moyen de persévérer dans la foi salvatrice. La foi demande de l’entretien au quotidien. Si on ne persévère pas dans la foi on perd le salut. C’est pourquoi, il est indispensable de noter que ce maintien fidèle dans la foi sur la durée par la participation de l’homme à l’œuvre de Dieu pour soi et les autres est indispensable au salut. Il s’agit en fait de la sanctification sans laquelle nul ne verra le Seigneur (Hébreux 12 :14 ; 2 Corinthiens 7 :1 ; 1 Thessaloniciens 4 :3+7 ; 2 Thessaloniciens 2 :13 : « Dieu vous a choisis…pour le salut par la sanctification de l’Esprit et par la foi en la vérité » ; 1 Pierre 1 :2).
La justification et la grâce n’autorisent ni l’économie de la repentance sincère, ni la continuation du péché (Romains 6 :15) mais mènent par la participation de l’homme dans la sanctification de l’Esprit incluant la repentance à l’affranchissement du péché avec comme fruits la sainteté aboutissant à la vie éternelle (Romains 6 :22).

Ainsi, appelons péché ce qui est péché et refusons de tourner autour du pot. Bien entendu si la repentance et le retour concret à Dieu dans le cadre de cette participation ont été sincères et authentiques ne dévaluons surtout pas la justification et la grâce qui seules permettent d’effacer le péché, la culpabilisation et toutes ses conséquences néfastes. Mais la persévérance dans la participation pour garder la foi évitant de la sorte la rechute fatale est indispensable pour garder le salut (Hébreux 6 :4-8).
Ainsi travailler avec crainte et tremblement à notre salut ne doit pas impliquer la doctrine du salut par les œuvres avec du légalisme en prime comme l’enseignait l’Eglise catholique romaine mais signifie le maintien dans la foi en l’œuvre de Jésus-Christ sur la durée sans lequel on risque de perdre le salut.
A l’opposé nous ne pouvons parler de salut par la foi seule comme l’enseignent les Eglises de la Réforme. Il faut plutôt parler de salut par la foi maintenue grâce au travail persévérant avec crainte et tremblement à notre salut, la sanctification et les œuvres en général (Colossiens 1 :22-23 : « pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproches si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l’espérance de l’Evangile que vous avez entendu »).
L’Apôtre Jacques a clairement écrit que la foi sans les œuvres est inutile (Jacques 2 :20). Par conséquent si dans ce cas la foi est inutile, elle est inutile, c’est à dire qu’elle ne donne pas le salut. Il écrit plus loin : « Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres et non par la foi seulement. » (Jacques 2 :24). D’ailleurs les Réformateurs n’aimaient  pas l’Epître de Jacques et pour cause ! Luther parlait « d’épître de paille ». Ils y opposaient Ephésiens 2 : 8 –11 : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres afin que personne ne se glorifie. Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » et surtout le fameux Romains 1 :17 redécouvert par Luther : « Le juste vivra par la foi » (cf. aussi Galates 3 :11 ; Hébreux 10 :38).
Que dire alors de la parole déconcertante de Paul qui écrit : « Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous ; et ce qui manque aux souffrances de Christ, je l’achève en ma chair pour son corps qui est l’Eglise » (Colossiens 1 :24).
Là encore parlons de participation du croyant sur la durée pour garder la foi : « Car pour moi, je sers déjà de libation et le moment de mon départ approche. J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée… » (2 Timothée 4 :6-8a)
En réalité il y a une saine et indispensable interaction équilibrée entre les deux pôles finalement considérés par Jacques, comme par Paul et Jean (1 Jean 1 :7-10 ; 3 :5-9)  pour ne nommer qu’eux.
Pour que cette interaction puisse se faire de façon efficace, il faut commencer par se repentir. Il ne s’agit pas de se flageller mais d’accepter de se repentir par rapport à un enseignement erroné ayant fait beaucoup de dégâts relatif à la justification. La repentance signifie aussi se remettre en cause devant Dieu de fond en comble au niveau de notre être déchu, de notre identité frelatée engendrant la pratique du péché. Alors intervient la justification via cette foi maintenue dans l’espace-matière-temps.


2 . REPENTANCE, GRACE, GLORIFICATION

« Si tu ne te repens, … » (Apocalypse 2 :5b ; 2 :22c ; 3 :3). Voilà le même appel à la repentance que Jésus-Christ glorifié fait à une grande partie des sept églises de l’Apocalypse.
 Par la nature des reproches de Jésus nous voyons qu’ils portent autant sur les œuvres (Apocalypse 2 :23c ; 3 :2 par exemple) que sur une foi pas uniquement centrée sur le sacrifice de Jésus (Idolâtres et Nicolaïtes : légalistes et gnostiques Apocalypse 2 :14, 15  par exemple).
La foi maintenue n’a pas vraiment tenu le choc après quelques décennies d’existence de l’Eglise dans l’espace-matière-temps. Jésus-Christ glorifié lors de son premier retour promis pour les Siens (Matthieu 16 : 28 ; Marc 9 :1 ; Luc 9 : 27 ; cf. écrit « Retour ou retours de Jésus-Christ ? ») n’a pas manqué de le souligner, d’où l’appel à la repentance. La justification nécessite la repentance préalable mais comme les promesses faites aux 7 églises décrivent les aspects de la glorification avec le passage dans les lieux célestes à la clé, la repentance préalable est tout aussi indispensable.

Nous retiendrons deux passages montrant que la suite de la justification est la glorification :
« …ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés » (Romains 8 :30 ; cf. aussi 8 :17).
« Bien aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu (justification) et ce que nous serons (glorifiés) n’a pas encore été manifesté (période avant l’Apocalypse) ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté (1er retour de Jésus glorifié pour les Siens ; glorification), nous serons semblables à lui (glorification), parce que nous le verrons tel qu’il est (glorification). » (1 Jean 3 :2).
Cette glorification devait avoir lieu lorsque Jésus glorifié a institué l’Eglise des Vainqueurs en Apocalypse 1 à 3. Seul Jean l’a vécue. Les échecs évidents apparaissant dans une histoire de l’Eglise si longue de 2000 ans démontrent clairement que la glorification n’était ni recherchée ni vécue. La foi avec les œuvres vise à la perfection (Jacques 2 :22). L’Eglise a failli sur toute la ligne parce qu’elle ne s’est repentie ni par rapport à la justification, ni par rapport à la glorification apportant la perfection.
La source du problème est clairement l’abandon de l’amour premier pour Dieu (Apocalypse 2 :4). Il s’agit de cet amour fou, inexplicable (1 Corinthiens 13) qui nous « donne des ailes » avec cette envie irrésistible de nous approcher de Dieu par amour (Matthieu 22 :37 ; Marc 12 :30 ; Luc 10 :27). Cet amour pour Dieu doit se situer au niveau de l’être intérieur : cœur, âme, pensée et au niveau du corps : force physique (Iskus, iskuos = force physique, vigueur, puissance).
Si nous revenons au passage d’1 Jean 3 :2 nous remarquons clairement que la glorification concerne le corps. Car c’est d’abord avec le corps glorifié que nous serons semblables à Lui et c’est avec les yeux du corps glorifié que nous le verrons tel qu’Il est. A ce moment-là, à savoir la période avant les événements de l’Apocalypse, cela ne s’était évidemment pas encore manifesté. Mais au moment où Jésus glorifié apparut à Jean (Apocalypse 1 :12ss) et qu’Il lui dit plus tard de « monter » devant le Trône (Apocalypse 4 :1), il fallait que son corps soit métamorphosé ou glorifié car « la chair et le sang ne peuvent hériter du royaume de Dieu » (1 Corinthiens 15 :50). Donc cela s’était manifesté !
L’Eglise d’alors comme celle qui suivit et l’actuelle furent et sont appelées à aimer Dieu non seulement avec leur cœur, leur âme, leur pensée mais aussi avec leur force physique, leur vigueur, leur puissance qui se situent clairement au niveau du corps. Le refus à cet appel ressemble un peu à un couple marié sans relations sexuelles donc physiques ou corporelles.
Avant que « cela ne soit manifesté » cet amour ne pouvait se situer qu’au niveau de l’être intérieur mais le résultat fut médiocre. Jésus glorifié appela donc à la repentance. Après que cela se soit manifesté à savoir le premier retour de Jésus pour les Siens en vue de la glorification et notamment pour Jean, comme l’Eglise n’a pas accepté de vivre cette expérience, cela fut non seulement médiocre mais catastrophique : Jésus glorifié nous appelle plus que jamais à la repentance.

3.  IL FAUT SE REPENTIR !

Il faut se repentir et/ou changer d’avis concernant l’enseignement sur la glorification ou le salut, la métamorphose du corps qui est valable depuis que «cela s’est manifesté ». Il faut se repentir à cause de l’abandon du premier amour qui est clairement lié à la carence de l’enseignement relatif au salut corps. Il faut se repentir car la déchéance morale, doctrinale et de puissance de l’Eglise sont clairement à mettre en relation au fait que notre corps ne soit pas inclus dans le processus de salut. Il faut se repentir car nous avons 2000 ans de retard dans l’accomplissement des missions que l’Epoux a prévues pour Son épouse qui doit pour ce faire être préalablement semblable à Lui !
Il faut se repentir car nous n’avons pas la foi pour recevoir la métamorphose du corps par grâce parce que notre participation, nos œuvres n’ont pas comme but premier d’amour pour Dieu de prendre la position céleste de l’Eglise des Vainqueurs en proximité réelle avec Lui. Il faut se repentir car nous n’aimons pas notre prochain comme nous-mêmes vu que dans notre situation actuelle emprisonnés avec notre corps dans l’espace-matière-temps, nous ne pouvons en aucun cas relever le défi de l’évangélisation mondiale efficace en vue du salut de milliards de personnes (Apocalypse 7) etc. …
Il faut se repentir car nous tergiversons et tournons autour du pot par rapport à notre péché et celui des autres car nous constatons que nous n’arrivons de toute façon pas à résister à la pression du monde et à répondre aux exigences concrètes de la Parole de Dieu dans notre prison espace-matière-temps. Il faut se repentir car nous n’appelons plus péché ce qui est péché.
Il faut se repentir car nous avons quelquefois la foi pour de rares guérisons miraculeuses, quelques changements miraculeux de circonstances terrestres mais pas pour le miracle de l’immortalité du corps ainsi que celui de la métamorphose miraculeuse du corps en vue de la « montée » vers notre Dieu que nous disons aimer. Sachons que l’Eglise des Vainqueurs produit le miraculeux et le surnaturel à foison ! Elle libère les lieux célestes et terrestres de l’oppression de l’Ennemi !
Il faut se repentir et s’humilier car ce n’est tout simplement pas notre priorité alors que c’est la priorité absolue de Jésus glorifié !

CONCLUSION

Parler, écrire de repentance n’est pas agréable surtout pour soi-même. Changer d’avis, d’état d’esprit, d’une manière de voir face à une connaissance nouvelle, autre, est passablement humiliant. Mais nous sommes appelés à revenir, à nous tourner vers le Seigneur pour nous remettre dans le droit chemin.
Il est là pour nous y aider.

En Jésus,

Martin BUSCH

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