30 août 2020

ÉLISÉE : UNE HISTOIRE INCROYABLE DE FOI 6

 À travers la vie de Élysée, nous voyons que la plupart des miracles qu'il a fait sont presque identiques à ceux de Jésus. Dans 2 Rois 4:8-37, Élysée fit un de ces miracles similaires qui portait sur la guérison de l'enfant d'une femme Sunamite. Quand Élysée rencontra la femme pour la première fois, il fut tellement ému de sa gentillesse et de son hospitalité qu'il décida de la récompenser avec ce dont elle avait le plus besoin, un enfant. Dieu donna à la femme un enfant mais des années plus tard, l'enfant mourut et la femme demanda l'aide d'Élysée pour le ramener à la vie. Il y a deux choses intéressantes dans ce passage. La première est la manière ridicule par laquelle Élysée ressuscita l'enfant, en se couchant au dessus de lui bouche à bouche, les yeux dans ses yeux et les mains sur ses mains. La seconde est le fait que les efforts d'Élysée pour ressusciter l'enfant ont échoué la première fois. Combien de fois vous êtes vous retrouvé dans la position d'Élysée ? Vous demandez à Dieu de faire quelque chose et vous savez qu'Il peut le faire mais rien ne passe la première fois que vous demandez. Cela peut prendre des jours, des mois, ou même des années. N'abandonnez pas la première fois que vous échouez. Continuez à prier. Continuez à chercher Dieu. Il répondra à votre prière d'une meilleure manière et à un meilleur moment. Ne vous découragez pas et continuez à prier. Quelle est cette chose que vous demandez mais que Dieu n'exauce toujours pas ? Que pouvez vous faire pour vous assurer de ne pas abandonner dans votre requête et votre recherche de Dieu par la prière ?

«Un jour, Elisée passait par Sunem. Il y avait là une femme de haute condition qui insista pour qu'il accepte de manger. Chaque fois qu'il passait par là, il se rendit désormais chez elle pour manger. Elle dit à son mari: «Vois-tu, je sais que cet homme qui passe toujours chez nous est un saint homme de Dieu. Faisons une petite chambre indépendante et mettons-y pour lui un lit, une table, un siège et un chandelier, afin qu'il puisse s'y retirer quand il viendra chez nous.» Elisée revint un jour dans la région. Il se retira dans la chambre à l'étage et y coucha. Il dit à son serviteur Guéhazi: «Appelle cette Sunamite.» Guéhazi l'appela et elle se présenta devant lui. Elisée dit à Guéhazi: «Dis-lui: ‘Tu t'es donné toute cette peine pour nous! Que pouvons-nous faire pour toi? Faut-il parler en ta faveur au roi ou au chef de l'armée?’» Elle répondit: «Je vis bien tranquillement au milieu de mon peuple.» Elisée dit: «Que faire pour elle?» Guéhazi répondit: «En fait, elle n'a pas de fils et son mari est vieux.» Elisée dit: «Appelle-la.» Guéhazi l'appela et elle se présenta à la porte. Elisée lui dit: «A la même époque, l'année prochaine, tu embrasseras un fils.» Elle répondit: «Non, mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante!» Cette femme devint enceinte et elle mit au monde un fils à la même époque, l'année suivante, comme Elisée le lui avait dit. L'enfant grandit. Un jour qu'il était allé trouver son père vers les moissonneurs, il lui dit: «Ma tête! Ma tête!» Le père dit à son serviteur: «Amène-le à sa mère.» Le serviteur l'emporta et l'amena à sa mère. L'enfant resta sur ses genoux jusqu'à midi, puis il mourut. Elle monta le coucher sur le lit de l'homme de Dieu, ferma la porte derrière lui et sortit. Elle appela son mari et dit: «Envoie-moi un des serviteurs et une ânesse; je veux vite aller vers l'homme de Dieu et revenir.» Il demanda: «Pourquoi veux-tu aller aujourd'hui vers lui? Ce n'est ni le début du mois ni le sabbat.» Elle répondit: «Tout va bien.» Puis elle fit seller l'ânesse et dit à son serviteur: «Conduis-moi et avance! Ne m'arrête pas en route sans que je te le dise.» Elle partit donc et se rendit vers l'homme de Dieu au mont Carmel. L'homme de Dieu l'aperçut de loin et dit à son serviteur Guéhazi: «Voici notre Sunamite! Cours donc à sa rencontre et demande-lui: ‘Vas-tu bien? Ton mari et ton enfant vont-ils bien?’» Elle répondit: «Bien», mais dès qu'elle fut arrivée près de l'homme de Dieu sur la montagne, elle lui attrapa les pieds. Quand Guéhazi s'approcha pour la repousser, l'homme de Dieu dit: «Laisse-la, car elle est dans l'amertume, et l'Eternel me l'avait caché, il ne me l'a pas révélé.» La femme dit alors: «Ai-je demandé un fils à mon seigneur? Ne t'ai-je pas dit de ne pas me tromper?» Elisée dit à Guéhazi: «Noue ta ceinture, prends mon bâton à la main et pars. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue pas et, si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas. Tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.» La mère de l'enfant dit: «L'Eternel est vivant et ton âme est vivante! Je ne te quitterai pas.» Elisée se leva et la suivit. Guéhazi les avait devancés et avait mis le bâton sur le visage de l'enfant, mais il n'y eut ni voix ni réaction. Il repartit à la rencontre d'Elisée et lui annonça: «L'enfant ne s'est pas réveillé.» Lorsque Elisée arriva dans la maison, il vit l'enfant mort, couché sur son lit. Elisée entra, ferma la porte sur eux deux et pria l'Eternel. Il monta sur le lit et se coucha sur l'enfant; il mit sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains et s'étendit sur lui. Le corps de l'enfant se réchauffa. Elisée s'éloigna, marcha de long en large dans la maison, puis remonta s'étendre sur l'enfant. Alors l'enfant éternua sept fois avant d’ouvrir les yeux. Elisée appela Guéhazi et lui dit: «Appelle notre Sunamite.» Guéhazi l'appela et elle vint vers Elisée qui dit: «Prends ton fils!» Elle alla se jeter à ses pieds et se prosterna jusqu’à terre. Puis elle prit son fils et sortit.»

‭‭2 Rois‬ ‭4:8-37‬ ‭S21‬‬



Les membres du Corps de Christ


 «En ce qui concerne les réalités spirituelles, je ne veux pas, frères et sœurs, que vous soyez dans l'ignorance. Vous savez comment, lorsque vous étiez étrangers au peuple de Dieu, vous vous laissiez irrésistiblement entraîner vers les idoles muettes. C'est pourquoi je vous le déclare, personne, s'il parle par l'Esprit de Dieu, ne dit: «Jésus est maudit!» Et personne ne peut dire: «Jésus est le Seigneur!» si ce n'est par le Saint-Esprit. Il y a diversité de dons, mais le même Esprit; diversité de services, mais le même Seigneur; diversité d'actes, mais le même Dieu qui accomplit tout en tous. Or, à chacun la manifestation de l'Esprit est donnée pour le bien de tous. En effet, à l'un est donnée par l'Esprit une parole de sagesse; à un autre une parole de connaissance, selon le même Esprit; à un autre la foi, par le même Esprit; à un autre des dons de guérisons, par le même Esprit; à un autre la possibilité de faire des miracles; à un autre la prophétie; à un autre le discernement des esprits; à un autre diverses langues; à un autre l'interprétation des langues. Mais toutes ces choses, c’est un seul et même Esprit qui les accomplit, en les distribuant à chacun en particulier comme il le veut. Le corps forme un tout mais a pourtant plusieurs organes, et tous les organes du corps, malgré leur grand nombre, ne forment qu'un seul corps. Il en va de même pour Christ. En effet, que nous soyons juifs ou grecs, esclaves ou libres, nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps et nous avons tous bu à un seul Esprit. Ainsi, le corps n'est pas formé d'un seul organe, mais de plusieurs. Si le pied disait: «Puisque je ne suis pas une main, je n’appartiens pas au corps», ne ferait-il pas partie du corps pour autant? Et si l'oreille disait: «Puisque je ne suis pas un œil, je n’appartiens pas au corps», ne ferait-elle pas partie du corps pour autant? Si tout le corps était un œil, où serait l'ouïe? S'il était tout entier l'ouïe, où serait l'odorat? En fait, Dieu a placé chacun des organes dans le corps comme il l’a voulu. S'ils étaient tous un seul organe, où serait le corps? Il y a donc plusieurs organes, mais un seul corps. L'œil ne peut pas dire à la main: «Je n'ai pas besoin de toi», ni la tête dire aux pieds: «Je n'ai pas besoin de vous.» Bien plus, les parties du corps qui paraissent être les plus faibles sont nécessaires, et celles que nous estimons être les moins honorables du corps, nous les entourons d'un plus grand honneur. Ainsi nos organes les moins décents sont traités avec plus d'égards, tandis que ceux qui sont décents n'en ont pas besoin. Dieu a disposé le corps de manière à donner plus d'honneur à ce qui en manquait, afin qu'il n'y ait pas de division dans le corps mais que tous les membres prennent également soin les uns des autres. Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. Vous êtes le corps de Christ et vous êtes ses membres, chacun pour sa part. Dieu a établi dans l'Eglise premièrement des apôtres, deuxièmement des prophètes, troisièmement des enseignants, ensuite viennent les miracles, puis les dons de guérisons, les aptitudes à secourir, à diriger, à parler diverses langues. Tous sont-ils apôtres? Tous sont-ils prophètes? Tous sont-ils enseignants? Tous font-ils des miracles? Tous ont-ils des dons de guérisons? Tous parlent-ils en langues? Tous interprètent-ils? Aspirez aux dons les meilleurs. Je vais encore vous montrer la voie par excellence.»

‭‭1 Corinthiens‬ ‭12:1-31‬ ‭S21‬‬


Fabien Weigel - Que t’importe ? Toi, suis-moi.

ZOÉ LA VIE
FABIEN WEIGEL
PROVISION DE VIE
« QUE T’IMPORTE ?TOI, SUIS-MOI »

 

LIBÉREZ L’ONCTION DANS VOTRE SITUATION

 LIBÉREZ L’ONCTION DANS VOTRE SITUATION

 

 

 

Lévitique 2 :1

 

1 Lorsque quelqu’un fera à l’Eternel une offrande (de grain)  en don, son offrande sera de fleur de farine ; il versera de l’huile dessus, et il y ajoutera de l’encens.

 

L’offrande de grain dans l’Ancien Testament parle du sacrifice de Jésus, et l’huile dans la Bible parle de l’onction du Saint Esprit. Alors l’offrande de grain de fleur de farine  sur laquelle on a versé de l’huile, parle de l’humanité de Jésus ointe par le Saint Esprit.

 

Jésus est pleinement Dieu. Mais quand Il est venu sur la terre, Il s’est littéralement dépouillé en prenant la forme d’un serviteur. (Philippiens 2 :7). C’est la raison pour laquelle Il fallait qu’Il soit oint par le Saint Esprit, avant de pouvoir commencer Son ministère. (Jean 1 :33) Bien que pleinement Dieu, Il a fait les choses par la puissance du Saint Esprit.

 

Jésus était oint pour apporter les bénédictions de Dieu dans la vie des gens. Il a parlé pour la première fois de Son onction, alors qu’Il prêchait dans sa ville natale : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres… » (Luc 4 : 18)

 

Aujourd’hui, l’onction de Jésus est venue sur vous. (1 Jean 2 :20) La Bible dit que « l’onction que vous avez reçue de Lui demeure en vous ». (1 Jean 2 :27) Mais comment cette onction est-elle libérée ?

 

Mon ami, c’est quand vous invoquez le nom de Jésus. Dans le Cantique des Cantiques 1 :3, les vierges représentant l’église, aiment Son nom, qui est comme un parfum (onction) qui se répand, quand il est prononcé. Quand elles invoquaient Son nom, Son parfum était libéré, et l’onction était déversée.

 

Alors quand vous invoquez le nom de Jésus, vous libérez l’onction. Invoquez Son nom, quand vous n’avez pas le moral, et Son onction va vous relever. Si vous vous sentez sec et vide, dites juste : « Jésus, Jésus. » Avant que vous ne le réalisiez, une rivière rafraîchissante va jaillir, quand Son onction va couler à flots. Invoquez Son nom quand vous avez besoin d’une réponse, et Son onction va libérer cette réponse pour vous.

 

Romains 10 :13 dit que « Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». Alors, invoquez le nom de Jésus, et voyez Son onction libérer votre délivrance, votre guérison, votre protection, votre prospérité, et vous donner tout le nécessaire.

 

 

                                                                                                          Pasteur Joseph Prince

 

La pensée du jour

 

L’onction que vous avez reçue de Jésus habite en vous, et est libérée dans votre situation, quand vous invoquez  Son Nom.

TV-VIECOM - REFLEXION - Du Corps misérable au Corps glorieux

3 ministères en 1 seul Corps de Jésus-Christ. 3 Messages sur 1 seule voie vers notre destinée commune. Michelle et Yves Gravet. Jacques Cola...