29 octobre 2015

82 Possible, impossible

RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS :

82
POSSIBLE, IMPOSSIBLE ?


INTRODUCTION

« Tout est possible à Dieu – rien n’est impossible à Dieu » dit Jésus (Marc 10 :27 ; Luc 1 :37 ; dunatos : puissant, possible, fort ; adunatos : impuissant, impossible, faible, infirme, incapable ; cf. dunamis : puissance ; dynamite).
« Dieu dit à Jacob : Je suis [le Dieu Tout Puissant] El Shaddaï. » (Genèse 35 :11)  
« Je suis l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et vient, le Tout Puissant » (Apocalypse 1 :8 ; pantocrator : Tout Puissant, qui dirige tout ; cf. panthéisme ;autocrate).
« Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez à cette montagne, passe d’ici à là et elle y passerait, rien ne vous serait impossible. » (Matthieu 17 :20).

En langage biblique grec possible et impossible sont à mettre en rapport avec puissant et impuissant, capable et incapable. Le Tout Puissant en grec est Celui qui dirige tout, pantocrator et le Tout Puissant en hébreu Shaddaï est Celui qui se suffit à Lui-même, ce qui est une autre manière d’exprimer la toute-puissance. Ces qualificatifs sont évidemment à attribuer à Dieu et à Lui uniquement
Toutefois le passage biblique (Matthieu 17 :20 ; Luc 17 :6) de la foi de la taille d’un grain de moutarde rend l’être humain qui la possède semblable à quelqu’un auquel « rien n’est impossible » d’après Jésus, ce qui est énorme et paraît incroyable ! En effet Il a aussi dit que « rien n’est impossible à Dieu » !!! Mais si la foi est bien orientée vers le Dieu Tout Puissant, elle entraîne justement et logiquement le « rien n’est impossible » pour ce croyant en question.


1. La motivation à savoir l’amour, moteur de la foi

« La foi est la garantie (upostasis : garantie, assurance, confiance, conviction, motivation, passion, amourmanière de posséder, substance) de ce qu’on espère et la preuve de la pratique concrète (pragma, pragmatos : pratique, démonstration, chose, affaire, projet, acte, action ; cf. pragmatiquede ce qu’on ne voit pas. » (Hébreux 11 :1)
Noé espérait être sauvé (salut) du déluge annoncé par la Parole prophétique de Dieu, il a donc prouvé sa conviction et sa motivation par sa pratique qu’il croyaitque le déluge, qu’il ne voyait pas, allait avoir lieu en construisant concrètementl’arche. S’il y avait cru sans motivation concrétisée par une pratique évidente,uniquement avec les paroles, il se serait noyé comme ses contemporains.  
Noé était motivé et convaincu, c’est le moins qu’on puisse dire, car il en fallait, de la motivation et de la conviction avec des investissements de toutes sortes,pour construire cette espèce de paquebot sur la terre ferme ! (cf. écrit « L’appel de Noé »).

LA MOTIVATION ET LA CONVICTION DEPENDENT DE L’OBJET DE NOTRE FOI. L’objet de notre foi est ce qu’on « espère » fermement, de tout cœur et ce qu’on espère doit être garanti par la Parole de Dieu et par là par Dieu Lui-même.
Après la motivation – conviction - confiance ou ce qu’on AIME ainsi fondé et garanti, vient la pratique concrète et prouvée en vue d’obtenir de la part de Dieu ce qu’on ne voit pas. 
La maxime qui dit : « Quand on aime, on ne compte pas » est vraiment vraie.
La question qui se pose à présent : « Quel est l’objet de ma foi ? »


2. L’objet de la foi 

En fait il peut y avoir non seulement un objet de la foi, une chose que l’on espère fermement, mais aussi des milliers d’objets de notre foi absolument légitimes. Ce seront par exemple des guérisons, des délivrances de toutes sortes, le maintien en bonne santé, la paix, la protection, des œuvres et actions d’évangélisation, d’aides humanitaires, des fondations d’églises et leur croissance, des constructions, des réussites aux examens, des réussites professionnelles, l’abondance financière,des restaurations relationnelles familiales, de couples etc…
Nous le rappelons, tous ces objets sont totalement légitimes et absolument compréhensibles, car ils correspondent aux différents besoins pour mieux vivre ici-bas dans l’espace-matière temps. Quand l’Ennemi nous touche et nous blessedans l’un ou l’autre domaine, provoquant manques et souffrances, cela fait vraiment du bien quand on est soi-même délivré, quand un ou plusieurs de nos problèmes sont résolus, quand c’est le cas pour les prochesle cas échéant pour un pays et le monde et quand nous arrivons à concrétiser malgré les obstacles par et pour le Seigneur une œuvre, une église ou encore des réalisations diverses... ! 
La motivation sera effectivement l’amour de soi indispensable préalablepour l’amour du prochain. Si on doit aimer son prochain comme soi-même, il d’abord s’aimer soi-même pour pouvoir aimer son prochain !
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 19 :19)
Ainsi l’objet de notre foi sera nous-mêmes et le prochain ce qui est parfaitement légitime.
Il s’agit du second commandement duquel avec le premier « dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22 :40).
Mais quel est le premier et aussi le plus grand commandement ?
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée – ceci est le plus grand et le premier commandement ». (Matthieu 22 :37-38).
La motivation sera effectivement l’amour total (kardia : cœur, volonté, sentiments, vie intérieure ; psychè : âme, psychique, mentalité ; dianoia : intelligence, compréhension, pensée) envers notre Seigneur, notre Dieu : le préalable absolu, fondamental et indispensable.« L’objet » de notre foi sera le Seigneur notre Dieu, ce qui est évidemment parfaitement recommandable mais de surcroît structurant et fondateur.

Comment aimer, être motivé par ce qui doit être le plus important et le premier« objet » (ici pas dans le sens « chose » mais « objectif, but à atteindre ») de notre foi ?
C’est évidemment la bonne question : 
Avant le passage biblique sur les deux commandements d’amourde Matthieu 22 : 34-40, le sujet de controverse était la vie dans le ciel et l’affirmation que Dieu est le Dieu des vivants et non des morts ! Jésus dit que nous serons comme les anges dans le ciel. Il dit aussi à ses détracteurs qu’ils ne comprennent ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu (Matthieu 22 : 23-33).
Après ce passage biblique cité, Jésus aborde le sujet du Messie qu’Il est ou tout au moins qu’Il devrait être à leurs yeux et qui n’est pas de ce fait le fils direct de David, en revenant sur sonPsaume 110 (cf. Ecrit : « Le Marchepied de Jésus » ; « Le Seigneur dit à mon Seigneur assieds-toi à ma droite »). Il démontre que le Messie était assis à la droite du Père sur le Trône, donc Il fait clairement allusion à Sa divinité et à Sa gloire avant Sa venue sur terre et même la création de celle-ci (Matthieu 22 :41-46).

Autrement dit le Messie ne peut être le Messie que s’Il S’est trouvé préalablement assis à la droite du Père avant la création, c’est-à-dire qu’Il est aussi Seigneur et Dieu !

Nous n’avons pas besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre que respecter le premier et le plus important commandement, à savoir l’amour total envers Dieu déterminant tout le reste, est absolument CONDITIONNE par notre présence corporelle réelle PREALABLE tels des anges dans le ciel devant le Trônevoire SUR le Trône, selon l’exemple que Jésus nous a donné et selon Sa prière dite sacerdotale :
« Comme tu m’as envoyé dans le monde, je les envoie de même dans le monde…Père, je veux que là où je suis, ceux que tu m’as donnés soient eux aussi avec moi et qu’ils contemplent la gloire que tu m’as donnée, car tu m’as aimé dès avant la fondation du monde » (Jean 17 :18+24). C’est on ne peut plus clair !

Comment aimer Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme, de toutes nos pensées, de toutes nos forces si on n’a pas été préalablement dans la Gloire céleste avec Lui, imprégnés par Sa Lumière et surtout de Son amour inconditionnelcomme le fut Jésus ?
Comment manifester le miraculeux céleste sur terre sans limites si nous ne connaissons pas réellement Dieu dans Son environnement de gloire ?
Nos limitations intellectuelles, psychiques, spirituelles et physiques dans notre prison espace-matière-temps nous empêchent d’avoir une compréhension juste des Ecritures et de la puissance de Dieu
Jésus Lui-même, AVANT de venir sur terre était assis avec Son Père sur le Trône d’après le Psaume 110 qu’Il cite et Jean 17. C’est LA solution pour porter un amour total au Père, sinon c’est tout simplement impossible ! Serions-nous supérieurs à Jésus, car nous devrions faire la même chose que Lui et même des œuvres plus grandes (Jean 14 :12) sans avoir préalablement fait notre apprentissageauprès du Père comme Jésus l’a fait avant de venir sur terre (Jean 15 :15b) ?
J’en veux pour preuve supplémentaire la Parole de Jésus qui affirme que si on a la foi comme un grain de sénevé, rien ne nous serait impossibleAlors oest absolument obligé de dire : ce n’est tout simplement pas humainC’est vrai : c’est divind’où la nécessité absolue de la montée esprit, âme et corpsmétamorphosé le plus rapidement possible dans ce divin pour ensuite manifester ce divin sur terre et qu’effectivement rien ne nous soit impossibleexactement comme Jésus a pu le faire et qui en avait de ce fait les moyens !
Que constatons-nous sincèrement ? Il n’y a pas grand-chose qui nous soit possible, presque tout nous est impossible, même si des femmes et des hommes de foi ont réalisé de très belles et grandes choses. Mais qu’est-ce que cela représente à l’échelle de la planète ? Bref nous sommes des incapables en puissance alors que cela devrait être l’inverse. En réalité, nous sommes trop souvent tels des mendiants devant Dieu pour essayer de satisfaire un peu nos besoins propres car l’objet de notre foi et de notre amour c’est nous puisque nous nous connaissons un peu et puis le prochain occasionnellement que nous connaissons aussi plus ou moins. Il est vrai que nous pouvons nous voir et voir le prochain !
Par la force des choses, même sans le vouloir, nous mettons le second commandement de ce chapitre avant le premier et le plus important car nous sommes tout simplement humains enfermés dans l’espace-matière-temps ! En effet nous ne savons pas vraiment au fond de nos trippes ce qu’est Dieu ni qui Il est alors comment l’aimer de façon tellement absolue et inconditionnelle ? 
Et si nous poussons la logique un peu plus loin : certes, nous croyons en Dieu parce que nous nous sommes convertis et que nous voulons être sauvés après la première mort mais il faut en réalité que nous apprenions à nous débrouillerquasiment tout seul et Dieu nous aide s’Il le veut bien puisqu’Il est souverain quelle que part dans Sa tour d’ivoire !  Dieu deviendrait-Il notre aide, notre collaborateuroccasionnel de surcroît ? Combien de fois n’entend-t-on pas l’expression : « Avec l’aide de Dieu ! » N’y aurait-il pas une « petite » inversion des rôles bien religieuse et hypocrite ? Qui est Dieu dans ce cas de figure ? Celui qui aide ? Etonnant !
Il est donc vrai, comme dit Jésus que nous ne « savons, ni ne connaissons, ni ne sommes capables » de comprendre (Matthieu 22 :29 ; verbe oida) l’Ecriture et la puissance de Dieu, au même titre que les sadducéens ou les pharisiens voire même Ses disciples ! Même pas cela ! Alors comment aimer et de surcroît de façon inconditionnelle et absolue Celui que nous ne connaissons pas vraiment, faute d’avoir été réellement préalablement avec Lui dans la Gloire pour apprendre de Lui ? 

Pourtant, l’objet premier de notre foi, « boosté » par une motivation qui est l’amour inconditionnel et sans limites envers notre Seigneur devrait être le Seigneur notre Dieu.
 L’objet « second » de notre foi, « boosté » par une motivation qui est l’amour envers nous-mêmes et notre prochain doit encore être le Seigneur notre Dieu parce qu’il conditionne tout le reste !  
C’est ainsi que notre espérance et notre conviction devrait être concrétiséesprioritairement dans la pratique concrète de la montée pour ensuite être rendus capables d’aimer Dieu de façon inconditionnelle et absolue puis de nous aimer nous-mêmes ainsi que notre prochain en revenant sur terre et accomplirefficacement les missions miraculeuses de l’impossible prévues dans l’Apocalypse .. 
Alors oui c’est seulement à cette condition que la Parole de Jésus prend du sens : le divin « rien ne nous sera impossible » pourra se réaliser car nous aurons été envoyés dans le monde COMME Jésus a été envoyé par le Père à partir du Trône ! Nous aurons au minimum la foi telle un grain de sénevé parce que nous aurons « l’amour, la passion, la motivation, la garantie, la confiance, l’assurance, la conviction, la substance, la manière de posséder » suffisantes pour pratiquer, démontrer ce qu’on ne voit pas, pour rendre visible l’invisible, l’impossible possible !

3. Possible, impossible

« Impossible n’est pas français » a dit Napoléon qui a misérablement terminé sa carrière, empoisonné, comme prisonnier à Ste Hélène…avec des milliers de cadavres sur la conscience à cause des guerres incessantes menées sous son impulsion !
Nous, nous disons : « Impossible n’est pas divin ». Dieu se situe toujours à la frontière de l’apparemment impossible !
Ce fut vrai pour Abraham qui quitta son pays pour s’engager dans un voyage incertain, s’installer en Canaan et devenir papa à 100 ans avec Sara sa femme de 90 ans.
Ce fut vrai pour Noé avec l’arche, pour le Peuple hébreu au bord de la Mer Rouge puis devant le Jourdain en vue de la Conquête, devant Jéricho et finalement aussi en 1948 après un exil de deux millénaires du Peuple élu qui existe toujoursmalgré les persécutions terribles alors que de nombreux autres peuples ont disparuentre temps
Ce fut vrai avec la naissance miraculeuse de Jésus, la croix suivie de la résurrection et de l’ascension. 
Ce fut vrai, alors que basée sur un témoignage et message d’une poignée d’Apôtres, l’Eglise se soit formée et existe toujours encore
Yahvé, Celui qui est, se situe par « essence - nature » toujours à la frontière de l’humainement impossible pour que le croyant puisse passer au « divin rien n’est impossible ». Quelle est « l’essence », de Dieu, Sa nature ? Elle se distingue entre autres à l’identité du Messie Jésus vrai Homme et vrai Dieu qui est la Porte, le passage du terrestre au divin, le Chemin.
Qu’est-ce qui est vraiment fondamentalement humainement impossible au jour d’aujourd’hui ? Au vu de la révélation que le Seigneur nous donne aujourd’hui par Sa Parole, où se situe le curseur de l’impossibilité pour que notre foi puisse être correctement orientée ? 
Le curseur de l’impossibilité aujourd’hui se situe plus que jamais à la frontière de l’espace-matière-temps, à la porte de la Salle du Trône. 

L’Apôtre Jean issu de l’Eglise charismatique primitive se situait très exactement à cet endroit à Patmos. Il reçut la révélation de Jésus-Christ Glorifié. Il « monta » et transmit ensuite l’Apocalypse ou la Révélation à l’Eglise de son époqueainsi qu’à nous puisque le texte nous fut conservé. Comme cette Eglise n’a pas accepté le message, ce fut la décadence jusqu’à la Réforme du 16ème siècle suivied’une lente remontée allant jusqu’à l’Eglise charismatique du 20ème siècle.
Cette remontée se fit à travers différentes étapes où il fallait passer de l’humainement impossible au possible divin. 
A l’époque de la Réforme du 16ème siècle, faire passer le message de la Justification par la Foi seule et de la Grâce ainsi que la mise à disposition pour les croyants de la Bible imprimée en langue parlée par les peuples, relevait de l’impossible dans une société très bloquée par un catholicisme romain déviant,papiste, intransigeant et totalitaire dominant toute la société d’alors.
Le « Je suis » se trouvait alors à cette frontière de l’impossible pour permettre le passage au possible. C’était et c’est toujours Sa nature divine.
Le Baptême des croyants au 16ème siècle, la Repentance et la Conversionpersonnelles au 19ème siècle, le Baptême du Saint Esprit et de Feu avec les Dons et les Ministères Charismatiques au 20ème siècle furent des frontières de l’impossible dans des contextes ecclésiaux très bloqués, divisés, repliés sur eux-mêmes et très dogmatiques au sens péjoratif du terme.
Le « Je suis » se trouvait alors à ces frontières de l’impossible pour permettre les passages au possible. C’était et c’est toujours Sa nature divine.
Au 21ème siècle, l’Eglise charismatique du 20ème siècle est à nouveau en place comme au 1er siècle.  
Comme au 1er siècle et comme cela fut révélé à l’Apôtre Jean, l’institution de l’Eglise des Vainqueurs par Jésus-Christ Glorifié avec le Baptême de Feu et deGloire, la Ste Cène de Feu et de Gloire entraînant le salut ou la métamorphose du corps du croyant et sa montée à la Salle du Trône en vue des missions décrites dans l’Apocalypse sont la frontière de l’impossible dans un contexte matérialiste et scientiste actuel très poussé ayant même pénétré les églises où l’on attend de voir avant de croire
Le « Je suis » se trouve aujourd’hui à cette frontière de l’impossible pour permettre le passage au possible. C’est Sa nature divine et elle en est la garantie ENJésus-Christ, la vérité.

Parallèlement, Israël, l’indicateur prophétique par excellence, était encore au Pays promis au 1er siècle malgré l’occupation romaine et pouvait encore pratiquer dans le Temple jusqu’à sa destruction en 70. S’en suivit rapidement la Révélation de Jésus Glorifié à Jean en 92 environ. Aujourd’hui Israël est à nouveau au Pays promis et la reconstruction du Temple paraît imminente, même si cela paraît totalementimpossible. Il ne pourra que s’en suivre à nouveau comme au 1er siècle la Révélation de Jésus-Christ Glorifié avec la montée à la Salle du Trône non seulement pour un apôtre comme Jean mais aussi pour celui ou celle qui écoutera ce que l’Esprit dit aux églises et qui passera par la repentance pour accepter enfin ce que l’Eglise des débuts avait refuséIl ou elle montera à la Salle du Trône, deviendraphysiquement l’Epouse de l’Epoux et accomplira les missions décrites dans l’Apocalypse. De nombreux Juifs messianiques monteront aussi à ce moment-là (Apocalypse 3 :12)
Par la suite Israël bénéficiera du réveil le plus important lié aux victoires de l’Eglise initiale des Vainqueurs durant la Grande Tribulation (Apocalypse 6 :2 et 7 :4-8).
Le « Je suis » se trouve aujourd’hui à cette frontière de l’impossible pour permettre le passage à ce possible. C’est Sa nature divine et Il n’est pas ailleurs. 

Conclusion

Dieu EST amour (1Jean 4 :16) : il s’agit en réalité du secret de la puissance absolue de Dieu notamment du Saint Esprit qui nous a été envoyé pour nous guider vers le face à face d’amour (1 Corinthiens 13 :5-13).
L’amour vrai et parfait est la qualité principale qui manque à l’Ennemi et qu’il a refusé par orgueil, le contraire de l’humilité. Il peut faire certes des imitations, mais ce n’est que pour mieux tromper ses victimes. Puisque l’amour véritable lui manque, il a de toute façon perdu d’avance. 
Nous avons vu que l’amour envers Dieu est la motivation, le moteur de notre foi. Dieu est « l’objet » prioritaire absolu de notre foi, sachant que Dieu en tant que Dieu n’est pas un « objet » dans le sens d’une chose mais bien dans le sens d’un objectif, d’un but à atteindre. Pour vivre cet amour avec Dieu, la base de tout, il faut réellement vivre préalablement avec Lui esprit, âme et corps glorifié
C’est la raison pour laquelle le message de la métamorphose du corps, avec à la clé la montée réelle auprès de Lui ne peut que correspondre à la vérité bibliquepuisqu’il est l’accomplissement de tout ce que nous pouvons rechercher de meilleur. Il ne peut en découler qu’un amour véritable et efficace envers nous-mêmes et envers notre prochain.
C’est pour cet accomplissement glorieux que Jésus-Christ a payé par amour premier et parfait pour moi, pour toi, au prix le plus fort sur la Croix. 
Les exhortations vigoureuses, c’est le moins que l’on puisse dire, de Jésus-Christ Glorifié aux 7 églises, consistent à expliquer et à révéler que l’Evangile, la Bonne Nouvelle c’est l’amour parfait qu’Il nous porte et que cet amour parfait implique aussi l’Arbre de Vie ou l’immortalité ou la métamorphose du corps de morten un corps glorieux, la montée auprès de Lui qui est amoureux de nous et qu’Il veut par conséquent réellement vivre avec nous dès aujourd’hui dans la Gloire !
Laissons le premier commandement d’amour envers Dieu, le plus grand et le plus important à sa première place et replaçons dans la foulée le second commandement d’amour de nous-mêmes et du prochain à sa deuxième place ! 
Laissons le Saint Esprit qui est avec nous sur terre, particulièrement dans et par le réveil charismatique actuel, nous libérer de l’espace-matière-temps par la métamorphose de notre corps de gloire en gloire pour passer au face à face éternel ! (2 Corinthiens 3 :18 ; Zacharie 4 :6 ; Actes 1 :8 ; Romains 15 :13 ; 1 Corinthiens 13 :5-13 ; Ephésiens 3 :20 ; 1 Thessaloniciens 1 :5).
Arrêtons d’amputer l’Evangile avec la première mort soi-disant seule issue de sortie de notre prison espace-matière-temps car Yahvé se tient à la frontière de cet impossible pour que le possible de la « montée » se fasse avec l’immortalité à la clé. 
Donnons une direction juste à notre foi par une conviction et une motivation d’amour humbles qui tiennent une route au final très logique et compréhensible par des démonstrations, des pratiques concrètes prioritairement orientées en vue de faire connaissance avec Celui qu’on ne voit pas par notre montée vers Lui ! 
A Dieu rien n’est impossible et rien n’est impossible à celui qui croit !


En Jésus
        Martin BUSCH
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Possible, Impossible - Martin BUSCH

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