12 juillet 2012

A l'Autel de la Paix

A l’AUTEL DE LA PAIX


1)      Dieu est un homme de Paix. (Cor.-14.33 ; Luc 1.79)

2)      C’est Lui, le Dieu de la Paix, qui doit être sanctifié, mis à part dans notre cœur. C’est Lui qui nous rend saint et nous garde parfaitement esprit, âme et corps. (1 Thes.5,23).

3)      Ce Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous nos pieds. (Rom.16,20)

4)      Les anges, de l’armée céleste, chantent les louanges de Dieu : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux ! Et paix sur la terre aux hommes qu’Il aime. » (Luc 2.14)

5)      Jésus, ressuscité, apparaît aux disciples : « La paix soit avec vous. » (Luc 24.36)

6)      Dieu déclare vouloir faire régner la paix dans le pays. (Lév.26.6)

7)      L’apôtre Paul écrit : Que Dieu, qui est l’auteur de l’espérance, vous comble de toute joie et de sa paix par votre confiance en Lui. (Rom. 15.13)

8)      Ce même apôtre nous enseigne : « Ce que vous avez appris et reçu de moi,ce que vous avez entendu DIRE et VU faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous » (Phil.4.9)

9)      C’est le Dieu de paix qui nous rend capables de faire le bien sous toutes formes, pour que nous accomplissions sa volonté. (Héb.1320)

10)  Nous avons à proposer la paix de Dieu aux habitants (Deut.20.10)

11)  La paix doit être donnée avec abondance (Daniel 4.1)

12)  Si Dieu est avec moi – si je retourne en paix – alors l’Eternel sera mon Dieu. Cette pierre – Jésus-Christ – que je dresse aujourd’hui comme stèle – autel – sur mon cœur devient mon sanctuaire – Maison de Dieu – et là j’offre le dixième – la dîme – de tous les biens que Dieu m’accorde dans sa grâce. (Gen.28.21)


La Parole de Dieu déclare que celui qui est humble jouit d’une paix profonde (Ps.37.11)

Si tu observes comment vit l’homme au cœur droit, l’homme au cœur intègre : tu constateras que l’homme de paix à un avenir (Ps 37. 26, 37)

L’homme qui regarde son prochain avec bonté sera béni, sous la protection de Dieu, parce qu’il partage son pain avec le pauvre (Prov. 22.9 ; cf Luc 6.33)

Tout au long des jours, cet homme a compassion et il prête aux autres. Ses enfants seront en bénédiction (Ps.37.26)

Oui, c’est bien à l’Eternel, ce Dieu de paix que tu dois remettre ton avenir en donnant ton cœur à Jésus-Christ ressuscité ; c’est Lui qui sera ton Bon Berger (Ps.37.5)

Dieu parle de paix à son peuple, à ceux qui l’aiment, à ceux qui ne retournent pas à tous leurs égarements (Ps.85.9)

La paix de Dieu passe par le bain « régénérateur » de la nouvelle naissance, en nous renouvelant par le Saint-Esprit (Tite 3.5)

Jésus nous enseigne, par son message, l’importance de cette régénération de l’esprit pour découvrir et connaître les choses du Royaume de Dieu.

Il enseigne à Nicodème, un docteur de la loi, qui, bien que connaissant les lois de Dieu, la théorie, cherchait à savoir d’où Jésus tenait cette sagesse pratique (Jean 3.3-5)

Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, nous régénère – nous fait naître à une vie nouvelle créée selon Jésus-Christ – pour une espérance vivante (1 Pierre 1.3)

Nous sommes régénérés (naissons à une vie nouvelle) par une semence incorruptible, la Parole vivante de Dieu.

Dans la paix de Dieu, il y a donc une régénération de notre vie, de notre esprit qui est nécessaire.

La paix de Dieu indique aussi l’idée de Sa Justice.

 Jésus-Christ est notre avocat, auprès de Notre Père, face à notre accusateur, celui qui culpabilise, celui qui condamne, celui qui vient pour dérober la paix dans notre cœur.

En Jésus il n’y a plus de condamnation. La Justice de Dieu ayant été pleinement satisfaite par le don de sa vie pour nous. Nous avons été graciés. La foi saisit la grâce de Dieu, le juge Suprême, suite à l’œuvre de la croix accomplie pour nous par Jésus, le Fils unique de Dieu.

Fort de cette grâce, nous ne vivons plus selon la nature du péché, mais selon la nature de Dieu reçue par la régénération de notre esprit.

Dire que nous sommes sans péché est une illusion (1 Jean 1.8)

Cela n’est pas contradictoire avec ce que l’apôtre Jean écrit plus loin :

 «  Celui qui est né de Dieu ne s’adonne pas au péché, car la vie qui vient de Dieu a été implantée en lui et demeure en lui « (1 Jean 3.9)

La semence immortelle demeure en nous (1 Jean 3.9-10)

Nés de Dieu, nous ne pratiquons plus le péché. Nous ne vivons plus selon notre ancienne nature, mais selon la nature de Dieu, Parole vivante implantée en nous, intronisée dans notre cœur.

Le péché veut nous envelopper, aussi devons-nous fuir ces choses, qui font la guerre à notre âme, en portant notre regard sur Jésus, le chef et le consommateur de notre foi, de notre confiance en sa justice. Alors, nous nous adonnerons aux choses d’en haut et non à celles qui sont sur la terre. En pratiquant la Justice de Dieu, nous travaillerons alors à procurer la paix de Dieu.

Il nous donne la capacité de montrer aux pécheurs la voie que Dieu prescrit pour leur salut.

La régénération indique aussi le renouvellement.

 Le Saint-Esprit fait renaître – renouvelle – en nous un esprit bien disposé (Ps.51.12)

Celui qui est humble sait compter sur l’Eternel ; alors il renouvelle ses forces (Esaïe 40.31=

Intérieurement, nous sommes donc renouvelés de jour en jour. Nos détresses sont passagères. Nous ne perdons pas courage (2 Cor.4.16-18)

Le poids éternel de gloire surpasse ces choses. (cf 1 Jean 1.8 ; 3.9,10 avec Eph. 4.17 à 24)

Les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées. Elles vont à l’encontre de notre nature charnelle, tandis que dans l’esprit nous entendons bien Son appel : VIENS !

Mais si Satan à une emprise sur notre vie, il fait tout pour nous détourner des voies droites et équitables de Dieu. La jouissance de Satan est de nous tenir prisonnier dans ses pensées. Il sait que le jour où nous accepterons les pensées de Dieu, qu’il ne pourra plus se jouer de nous et disposer de notre personne pour faire ce qu’il tente de faire passer comme un paradis, alors que son monde est éphémère. Suivre les pensées de Dieu c’est évoluer dans la liberté de choix de vie avec le meilleur de Dieu pour nous, et vivre en paix.

Notre ancienne manière de vivre consistait à ouvrir les portes de notre cœur à toutes sortes de pensées qui façonnaient, meublaient notre vie, notre personnalité.

En recevant la semence vivante, qu’est la Parole de Dieu, notre repentance consiste à changer dans notre manière de penser, à être renouvelé par ce changement d’orientation.

La Parole de Dieu dit que nous devons avoir nos pensées et nos sentiments en Jésus-Christ, pour revêtir d’ardente bonté, de bienveillance, d’humilité, de douceur, de patience, tout ce qui affectionne la paix (Col.3.12)

Le pardon mutuel donne accès à l’amour de Dieu, le lien par excellence.

La paix, instaurée par le Christ, doit gouverner nos décisions.

 C’est ce qu’a expérimenté un homme de Dieu, comme Gédéon, lorsqu’il a élevé l’autel de la paix.

Cette démarche de foi, de la part de Gédéon, était une préfiguration de Christ sur l’autel, lorsqu’il s’est offert en sacrifice vivant pour instaurer définitivement La Paix divine en réconciliant l’homme avec Dieu.

Les Israélites en étaient réduits à un déclin tel, qu’ils étaient redevenus esclaves – lire Juges 6 ; ils vivaient dans des abris, se faisaient voler leurs récoltes ; ils en furent réduits à une grande misère.

Dieu ne se réjouit pas du malheur des siens. Il faut toutefois se rendre à l’évidence que la désobéissance conduit inévitablement à la perte de la paix.

De nos jours, et dans un pays comme la France, les revendications sociales exprimées avec vigueur, démontrent une incertitude dans le cœur de l’homme, quant à l’avenir, au manque de confiance à l’égard de ceux qui tentent de planifier la marche d’un peuple.

L’incertitude, quant à cet avenir, est criée sur la voie publique : « Où allons-nous ? » « Que mangerons-nous demain ? » «  Nous voulons que … ! » «  Il faut faire en sorte que … »

L’homme sans Dieu – mais avec beaucoup de religions – n’a pas d’avenir devant ses yeux. Il a toutes les raisons de connaître les angoisses dans son monde enténébré. Il ne vit pas en paix et le monde ne peut pas satisfaire à cette paix dont il recherche instamment.

L’homme est devenu esclave de celui en qui il a placé sa confiance pour espérer un avenir plus heureux, mais en vain…

Le temps passe et cette espérance est devenue une illusion. Comme une maison construite sur le sable, la tempête arrive et tout s’écroule.

Une paix divine ne s’invente pas, elle ne se fabrique pas ; Elle existe de toute éternité, et Dieu Seul en est l’Auteur incomparable.

Mais comment amener la paix à quelqu’un, lorsque des ombres subsistent devant lui ?

Gédéon a donc œuvré dans des priorités, comme celle qui consistait d’abord à élever l’autel de la paix. Aujourd’hui, l’homme doit d’abord élever sur son cœur l’autel de la paix, en acceptant l’œuvre de Jésus-Christ à la croix comme étant la voie unique de son salut, de sa guérison, de sa prospérité, de sa paix.

C’est dans cette attitude de cœur que Gédéon s’est décidé à suivre scrupuleusement le conseil de Dieu pour ce qui allait suivre. Sachant bien entendu que Dieu voulait le meilleur pour les Israélites, comme aujourd’hui encore Dieu veut le meilleur pour tous ceux qui veulent bien écouter et suivre son conseil contenu dans Sa Parole ; cette Parole qui s’est faite chair en la Personne de Jésus-Christ.

Gédéon est allé ensuite ôter les dieux étrangers qui se trouvaient au sein de sa famille, de sa tribu.

Jésus est venu détruire toutes les œuvres de ténèbres qui subsistaient contre nous.

C’est par la foi, qui nous vient de Dieu, que nous acceptons ces choses comme portées à notre compte puisque, je le répète, Jésus a satisfait pleinement à la Justice de Dieu Son Père – Notre Père - ; c’est donc par la foi en Jésus que nous n’avons plus à nous soumettre à des puissances de ténèbres comme la disette, la maladie, et bien d’autres choses de nature à détruire notre vie, et particulièrement à nous détourner de l’Amour de Dieu.
Cet Amour doit trôner sans réserve sur notre cœur, au milieu d’un monde qui s’agite tant que les hommes n’accepteront pas de se réconcilier avec Dieu, par cette nouvelle alliance de Jésus-Christ Ressuscité.

Gédéon n’est pas entré en action dans un climat de colère, mais dans un climat de paix intérieure. Il était lucide, pleinement conscient de ce qu’il devait faire et des conséquences auxquelles il s’exposait en personne.

Instaurer la paix de Dieu au milieu des siens ne se fait pas sans réaction de la partie adverse qui réfute cette paix. Jésus a rencontré des réactions de ce genre, même de la part de ses proches qui le prenaient pour un fou. Bien entendu qu’aujourd’hui parlait de l’Amour de Dieu au milieu d’un monde malade, aveuglé, les réactions ne peuvent pas toujours être tendre ; Mais nul n’est plus grand que le maître.

L’apôtre Paul nous enseigne bien que nous avons à combattre, non pas des personnes, mais des esprits méchants dans les lieux célestes qui savent très bien ce que Jésus a fait pour nous, afin que nous soyons accrédités de Son autorité.

L’autorité, que le croyant né de nouveau reçoit par Jésus, est une autorité spirituelle sur toutes les œuvres de ténèbres, à ne pas confondre avec autoritarisme ; c’est une autorité accréditée au Seul Nom de Notre Seigneur Jésus-Christ qui règne dans toute Sa gloire à la droite de Dieu le Père.

La foi est donc éprouvée, elle est la démonstration de notre attachement, de notre détermination à rétablir les règles définies selon La Parole de Dieu. Il n’y a pas de paix sans fondement véritable.

Pour Gédéon, dans cet ouvrage spirituel, et social également, Dieu était SA PAIX, SA FORCE ; rien de pouvait le faire reculer dans sa démarche, il était déterminé à honorer le Dieu de Paix venu pour délivrer le peuple de sa misère.

Par amour pour son peuple, Dieu pouvait disposer d’un homme comme Gédéon afin que les Israélites soient délivrés de leur détresse profonde. Il y a 2000 ans, Dieu a disposé de Son Fils Unique, Jésus-Christ, pour nous délivrer de notre misérable vie. Gloire à Son Nom !

Cette délivrance passait inévitablement par un choix, quant à la source de vie, pour une véritable régénération de l’Esprit, et une orientation nouvelle pour le peuple d’Israël en vue de la paix divine.

L’ambiguïté spirituelle d’un peuple l’expose inévitablement à un avenir trouble, incertain.

Une foi ambiguë ne peut produire que du trouble, de l’incertitude, du doute, de l’incrédulité.

Cette foi ambiguë dévie souvent sur des relations occultes des sources qui détériorent l’esprit, l’âme et le corps.

La Paix de Dieu s’instaure là où la foi en Sa Parole est sans ambiguïté.

 Le monde ne peut pas donner, ni instaurer cette paix aux seins des nations, sans passer par un changement réel et profond dans son orientation spirituelle, et une véritable régénération de l’esprit par le Saint-Esprit Lui-même (Jug.6.24)

S’il y a paix, c’est une paix superficielle, de nature fragile et qui sera éprouvée dans le temps que Dieu a fixé, et que nul ne peut définir. Il y a d’ailleurs beaucoup trop de spéculations sur ce sujet. C’est une chose que de s’occuper de la théorie, mais il ne faut pas négliger la pratique. C’est ce que Jésus a fait, reprochant aux pharisiens et autres religieux sectaires de son temps cet excès théorique de leur foi qui ne changeait rien dans le cœur de l’homme.

Sans moi, dit Jésus, vous ne pouvez rien faire (Jean 15.3). En d’autres termes ; «  sans la pratique, tel que je vous la démontre, vous n’arriverez à rien, et vous resterez esclave de votre propre justice qui ne change rien dans le cœur de l’homme et dans ses rapports avec Dieu »

La paix dans un pays, une région, une famille, passe par l’œuvre incontournable de Jésus-Christ. Là l’homme doit fléchir le genoux et considérer la plaie de son cœur, et demander au « Médecin Suprême » de le guérir  totalement, de le régénérer puissamment dans son esprit, de telle sorte qu’il est un cœur éclairé par la grâce de Dieu, et de poursuivre ainsi des voies droites.

Qui dit paix, dit donc régénération, remise à niveau de notre confiance en La Vérité.

Jésus est LA VERITE !

Placer notre confiance, avoir foi en Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, est une bonne attitude pour faire ce qui est bien, juste et bon (Ps 37.3)

La paix, la confiance, c’est la joie, le plaisir d’être consolé dans notre cœur. Le Saint-Esprit est LE consolateur.

Notre avenir est entre Ses mains, entre les mains de Celui en qui nous plaçons notre confiance ; Celui qui est notre source de paix : Jésus est LA PAIX !

Face aux succès « relatifs » des méchants dans ce monde, nous ne devons pas nous irriter, ainsi garder précieusement notre paix. Dieu regarde à notre conduite.

Une conduite dirigée par la Saint-Esprit Lui est agréable. Il affermit alors notre marche, et si nous trébuchons, nous ne tomberons pas car Il nous tient par la main (Ps.37.23,24)

Nous devons faire le sourd aux murmures et aux mensonges (Ps.38.14)

Le chrétien engagé de par sa foi active, doit mettre la priorité à annoncer la Bonne Nouvelle de la Paix, du salut en Jésus-Christ. Il ne doit pas la cacher. Pourquoi garder dans notre cœur comme un secret la délivrance que Dieu nous accorde en Jésus ?

Pourquoi cacher un si grand Amour, une si grande fidélité ? (Ps.40.1.,11)

Bien des malheurs nous environnent et nous dépassent. Beaucoup perdent courage à cause de cela. Nous sommes invités à abandonner des systèmes de pensées qui se sont que vanités, pour penser comme Dieu pense.

«  La Parole de Dieu juge les dispositions et les pensées du cœur. » (Héb.4.12)

Certains crient à Dieu, ce Dieu dont ils ne connaissent pas – ou si peu – parce qu’ils ignorent la voie d’accès, la voie de la paix que Jésus est venu ouvrir à l’homme.

Il est venu inaugurer cette voie par excellence avec son propre sang, sa propre vie offerte à la croix du calvaire ; c’est la voie de l’éternité.

C’est par cette foi, en Sa Parole, que tout homme est invité à retrouver LA PAIX avec Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ.

Jésus est la porte de l’Autel de la Paix. La porte est encore ouverte, il y a une place pour toi.

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